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Bonjour Clément,

sans doute mon intervention ne sera pas vraiment impartiale mais je persiste à croire que le chapelet est une arme dévastatrice. Il permet des effets très difficilles voire impossibles à réaliser autrement. S'il est vrai qu'un chapelet apériodique purement mnémonique est supérieur à un chapelet périodique, je reste assez fier du C-PAP qui présente les avantages des deux systèmes.

Le seul conseil que je vous donnerai si vous vous décidez à travailler cette technique est d'abord de vous octroyer un bon arsenal de fausses coupes et de faux mélanges totaux, préalables indispensables à l'utilisation d'un chapelet. Parmi les différents types de chapelet, le meilleurs sera celui qui vous assurera les effets les plus variés avec un temps de réaction le plus court possible.

Au total c'est une merveilleuse méthode

Très amicalement

Publié le
Un chapelet "A" de 26 cartes mélangé en queue d'aronde (même par un spectateur) avec un chapelet "B" de 26 autres cartes permet d'obtenir un jeu de 52 cartes composé de deux chapelets "A" et "B" (chacun des deux chapelets gardant ses propriétés).

vu que certains semblent avoir laissé échapper le côté 'génial' de la chose, je vous le présente sous un autre angle.

je retire d'un jeu neuf les 4 as (chapelet A), le jeu restant étant le chapelet B

Si mes as sont dans l'ordre pique-coeur-trefle-carreau. je les insére dans cet ordre (= mélange queue d'aronde) dans le restant du jeu.

Eh bien c'est extraordinaire : mes as sont encore dans l'ordre pique-coeur-trèfle carreau !

C'est génial, merci Gérard.

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Pour faire suite au message de Gérard et de Ratecekou,

A partir des principes sus nommés, Benjamin Earl, propose une routine plus que miraculeuse.

Même si ce n’est pas la notion de chapelet comme souvent on l’entend, il s’agit tout de même d’un effet de chapelet.

Ouvrez la parenthèse (dans Chao il y a un développement très intéressant sur ce qu’est un chapelet, un système ou un arrangement. A la lecture de ces énoncées, c’est évident. Mais cela jette un certain éclairage ou un éclairage certain sur toute les possibilité qu’offre le chapelet) fermez la parenthèse.

Vite dit :

Un jeu est mélangé et remis au spectateur.

Le magicien tourne le dos,

Demande au spectateur de couper et compléter la coupe

De regarder et retenir la valeur de la carte qui est sur le dessus du jeu,

De la perdre dans le milieu du jeu,

De mélanger le jeu

De couper le jeu et de remélanger le jeu.

De couper le jeu et de remélanger le jeu bis.

Bref, une carte est choisie librement, remise dans le jeu. Puis le jeu est mélangé au moins 3 fois par le spectateur.

Le magicien reprend le jeu et sera capable de révéler l’identité de la carte ou de la produire un endroit incongru comme la litière du chat pelé.

Pas de complice, pas d’aimant, pas de FI ou de FP, pas de jeu truqué.

Frédéric

Comme le dit si bien Claude Rix le chapelet est une très bonne AMI(E)*

*Le E pour aller avec très bonne. E comme pour efficiente, efficace etc.

Publié le

Soit un jeu composé de 26 cartes "A-B-C...." de la couleur rouge et de 26 cartes "A-B-C..." de la couleur noire.

Si on mélange les 26 cartes rouges en queue d'aronde avec les 26 cartes noires. Chaque demi-jeu gardera le même ordre dans sa propre couleur.

Si maintenant on fait prendre une carte (spectateur N°1) dans le tiers inférieur du jeu, une carte (spectateur N°2) dans le tiers central du jeu et une carte (spectateur N°3) dans le tiers supérieur du jeu. On ne connaitra pas le nom de ces cartes mais on saura qu'elles ont été prises dans l'ordre alphabétique.

De là, plusieurs possibilités s'offrent au magicien (qui veut réfléchir un peu plus loin que de mélanger les 4 as avec le restant du jeu) et qui ne cherche pas (une fois de plus) la polémique.

C'est une des possibilités du double-chapelet. Il y en a d'autres...

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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