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Publié le
La version pro est fournie avec une un sarbacane à 2 bouts ce qui permet de réaliser le tour 2 fois.

Ah c'est bien ça. Merci.

Tu parles de la version pro, mais la version ultimate pro aura peut-être un désinfectant pour enlever la salive fraîche ou décoller les traces de salive non fraîche.

Je me demande s'il va y avoir une

Medical Care Special Edition - Vall Saint Grall Ultimate Pro 06.666 qui va sortir ?

Avec en plus donc du désinfectant, quelques doses de vaccins H1N1 fournies ainsi que des seringues (ou mieux encore des fléchettes médicinales spéciales pour Sarbacane pour rester dans la thématique logique et le côté unique).

C'est vrai quoi en cette période où il ne faut émettre de substances que vers son mouchoir, son coin de bras etc... la sarbacane où on ne fait pas que souffler tout doux hein mais où certaines personnes font parfois un bon "pfffeuu"... bah (effet 666 ?) ça pourrait te mettre en quarantaine tout un resto ou toute une salle ça...

En cas de quarantaine, pas grave néanmoins, car y'aura un magicien pour divertir tout le monde...

Bref donc une spéciale limited édition dans le temps (tant que dure la grippe) ça peut être pro et avoir son intérêt...

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Publié le
Tu parles de la version pro, mais la version ultimate pro aura peut-être un désinfectant pour enlever la salive fraîche ou décoller les traces de salive non fraîche.

Ou une sarbacane à 3 bouts pour réaliser la routine 3 fois.

Circulez !

Publié le

Perso, je trouve l'effet en lui même bon.

Maintenant, il est vrai que je n'aime pas trop la présentation, et qu'il y a comme un problème avec le matériel...

Le problème d'anachronisme entre le matos (cible plastifiée et jaunie "à l'arrache") et l'histoire du grand père.

Soit on présente un effet en faisant en sorte que le spectateur plonge dans l'histoire; dans ce cas on fait en sorte d'utiliser du matériel crédible (et ce n'est peut être pas ce qui a de plus difficile) ou on reste sur un effet moderne avec du matos moderne!

Tout ceci est un peu dommage car il réduit l'effet qui est plutôt très bon.

Publié le

- utiliser un morceau de papier vieilli (il y a un post à ce sujet quelque part sur le forum).

- ne garder que le vieux pendule du grand-père pour choisir le nombre : le pendule peut être remplacé par une vieille bague au bout d'un chaine ou d'une ficelle, bague ayant appartenu à sa mère qui avait un don par exemple.

- prédiction + morceau de papier vieilli plié + pendule dans un vieux portefeuille ayant appartenu au grand-père avec de "vieux" papiers dedans.

- utiliser un vieux jeu de cartes acheté sur une brocante ou en vieillir un.

Avec un peu d'effort, on peut rendre tout ça crédible et amplifier l'histoire et l'ambiance, et donc l'effet ;)

Publié le

Vous êtes durs et un peu injustes sur ce coup là...

1. Sans être l'idée du siècle, le principe du jeu dans le sac en papier est bon.

2. Certes, cet effet aurait pu être simplement décrit dans un livre ou dans une revue. Ou vendue sous forme d'un petit livret. Ou expliquée sur un DVD. On achète ici surtout l'idée, le matériel fourni est un plus qui permet de tester le truc tout de suite. Personne ne dit qu'il faut forcément le réutiliser tel quel.

3. Je ne suis pas d'accord sur "l'obligation" d'utiliser des "vrais" accessoires. On n'est pas tous obligés de faire une conférence historique avec visite du musée et utilisation d'objets néolithiques réels pour faire un effet de magie.

Si moi, aujourd'hui, j'avais le pouvoir de faire "vraiment" cet effet et que je veuille "l'habiller" un peu, je pourrais tout à fait utiliser une image plastifiée d'un parchemin pour "faire joli". Le "magie contée fantastique" est un style de spectacle, ce n'est, heureusement, pas le seul...

4. Si on se donne un peu de peine, le parchemin n'est absolument pas nécessaire. Ni la lettre du grand-père. Ni la sarbacane. C'est un effet de carte au nombre (mais pas "any"). Le vendeur a tenté de l'habiller avec une petite histoire. Certains peuvent la juger maladroite, c'est leur droit. Mais alors laissez tomber l'histoire et ne passez pas à côté de l'idée (vous savez, le coup de la lune et du doigt...)

Publié le

Dans la mesure où le "choix" du nombre est relativement restreint, on peut aussi mélanger réellement le jeu (voire même donner le jeu à mélanger au spectateur) et ainsi éviter l'utilisation d'un sac en papier et d'une pince.

Finalement ce tour fait parti des tours où chacun peut apporter sa pierre à l'édifice.

Publié le
Dans la mesure où le "choix" du nombre est relativement restreint

N'importe quel nombre entre 3 et 48 ne me semble pas "relativement restreint" pour un effet de carte au nombre...

T'es pas joueur Frantz.

"Joueur" ? Quel est ce terme ? La vie est-elle un jeu ? Sommes-nous là pour rigoler ? Non, la vie, c'est sérieux monsieur. La vie est froide et austère. On se doit d'être rigoureux et formel, sinon c'est le début du grand n'importe quoi. Point de fanfaronnade ni de tra-la-la pouët-pouët. Nous sommes là pour faire passer des messages, simples, précis et concis. Stop à toute forme de fioriture qui n'a pour effet que de nous détourner du vrai sens profond du message et, ©onséquemment, du vrai sens profond de la vie. Vivement le grand jour où nous pourrons enfin parler en binaire, avec des 0 et des 1, afin de ne pouvoir dire que ce que l'on veut dire, sans habillage artificiel et superfétatoire qui, en plus de dissoudre la partie importante du message, fait perdre un temps précieux, à la fois à celui qui écrit ce message, mais aussi à celui qui le lit. Or, tout ce temps de perdu, c'est autant de temps de passé en moins à réfléchir au sens profond de l'existence. Car le savez-vous monsieur, "le temps ne se rattrape guère, le temps ne se rattrape plus". Passez donc, monsieur, moins de temps à fanfaronner sur les forum. Grandissez un peu monsieur, vous n'êtes plus un enfant ! On n'est quand même pas là pour s'amuser, que diable !

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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