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Iris :

Iris est là mais elle bloque sur l'énigme.

Ah, j’me sens mieux du coup ! Iris est là, certes, mais est-ce que Marinella ? Et Soso, elle n'est pas là ? Mystère…

Benoît :

Aurait-il une étoile sur Hollywood boulevard, à moins qu'il s'agisse de son adresse ?

Pour Hollywood Boulevard, je n’ai aucune nympho à ce sujet, quant à son adresse, je ne la connais pas. Donc un non massif (pas les os !).

Il se shoot au LSD !

Au MSD alors, Martin in the sky with diamonds… Non, ce n’est pas ça.

Pour être précis : Martin Gardner est lié à « quelque chose de nature cosmique » de façon extrêmement précise. Ses ouvrages, comme Casse-tête dans le cosmos que citait Monsieur M ou l’Univers ambidextre y sont sûrement pour quelque chose, mais ils ne sont pas la réponse. Pas de jeu de mots, pas de subtilités cachées, pas d’équivoque, pas de chemins de traverse. Une réponse nette et précise (même si l’énigme est imagée, c’est mon côté poête-pouêt).

Publié le

Un vrai maître a cette humilité naturelle qui fait qu’il se refuse à se faire appeler comme tel. Ce doit être son cas.

Je le précise aussi ici, comme je vous l'ai dit en privé, "Grand Maitre" étant l'anagramme justement de son nom.

Mais ce n'est pas grave ;)

"Ne nous laissons pas abattre, nous n'sommes pas des Kennedy!"

Publié le (modifié)
Je le précise aussi ici, comme je vous l'ai dit en privé, "Grand Maitre" étant l'anagramme justement de son nom.

Mais ce n'est pas grave ;)

Après vérification, il y a quand même deux lettres d’écart, mais ce n’est pas grave non plus. ;)

Modifié par Christian Girard
Invité lancelot
Publié le
ah mais les math et moi.... ;)

Ah mais bien sûr qu'on va te mater... no problem ! :)

Publié le
ah mais les math et moi.... ;)

Ah mais bien sûr qu'on va te mater... no problem ! :)

Je l'attendais ;)

Il ne manquerait plus que mon prénom soit Math, n'est ce pas ;)

"Ne nous laissons pas abattre, nous n'sommes pas des Kennedy!"

Publié le

Martin Gardner est d'origine américaine, donc étoile se dit star en anglais

L'anagramme de star est tsar, qui s'écrivait czar avant 1914. Étymologiquement parlant, l'origine du mot Czar vient de César (Jules), qui était à la tête de l'armé romaine.

De plus César, est dérivé de Cæsus, qui signifie lait en latin. On peut faire le rapprochement avec Voie lactée, puis étoile...

C'est en démontrant n'importe quoi, que l'on devient n'importe qui...

L'imagination est plus importante que le savoir.
Albert Einstein

Publié le (modifié)

Emi :

ah mais les math et moi....

Bon ok Emi, si on fait abstraction de toute rigueur mathématique, l’anagramme est parfaite en nombre. Et si on omet les lettres R et N, parfaite également en français. Mille bravos ! Mais à ce compte-là ça Martin Gardner ça fait aussi Grand Marnier (C’est ce que tu bois aux Cariatides ? Ah, les jeunes…).

Sinon il faut opter pour « Ring démarrant », anagramme parfaite pour le coup mais moins porteuse de sens. J’imagine : Ce grand marin ter (« Terre, terre ! »), de Martin Gardner ignare comme un mignard errant et rusé comme un renard grimant, disant en jouant aux échecs : garnir rend mat.

(Iris, Mystère, dites à Emi que ze suis un zentil, elle fait rien qu’à m’embêter en MP… Elle croit que ze me moque…)

Bon, on revient à l’énigme ?

Iris :

Notre homme aurait-il un coup de cafard... cosmique ?

Dans la constellation de l’Araignée dans le plafond alors. Eh non !

Emi :

Il ne manquerait plus que mon prénom soit Math, n'est ce pas

Ou Hilde, t’imagines ! L'horreur !

Ludovik :

Martin Gardner est d'origine américaine, donc étoile se dit star en anglais

L'anagramme de star est tsar, qui s'écrivait czar avant 1914. Étymologiquement parlant, l'origine du mot Czar vient de César (Jules), qui était à la tête de l'armé romaine.

De plus César, est dérivé de Cæsus, qui signifie lait en latin. On peut faire le rapprochement avec Voie lactée, puis étoile...

Ludo, tu es un grand malade, faut que je sorte de ton corps, et vite !

Tant que t’y es, STAR est l’anagramme de RATS, et Gardner serait du signe du Rat, ce qui nous ramène à l’astrologie chinoise, donc aux étoiles. J’ai bien fait de dire que c’était une solution simple et pas tarabiscotée (oh, joli mot : une tarabiscotte beurrée des deux côtés). Bravo quand même (mais n’oublie pas tes pilules).

Bon, j’étais sûr que c’était méga simple, comme quoi…

Vous êtes des as des stéroïdes ou pas ?

Au fait, Ludovik a donné un tour pour le magazine que dirige actuellement Benoît, c’est gratuit et téléchargeable ici :

PLANETMAGIE n° 106

Christian

Modifié par Christian Girard

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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