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Invité WillQw
Publié le

Si Tabary s'en mêle, on va plus s'y retrouver !! mdr

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Publié le

Supposons que l’on agrandisse la taille du meuble : ce sera inévitablement vers le haut. Il faudra ajouter les tiroirs supplémentaires selon un processus ascendant. Les tiroirs me paraissent suivre une progression numérique allant de bas en haut.

Le premier tiroir, donc celui du bas, est généralement destiné au stockage des topinambours, évidemment.

Publié le

d'accord avec Christian

le 1er étage est en bas, la 1ere marche de l'escalier aussi, la 1ere marche du palais des festivals, à Cannes est en bas (si ma mémoire est bonne) enfin et surtout, le 1er degré des 127 degrés vers la sagesse transcendantale du Sar Rabindranath Duval est aussi celui du bas (de bas en haut tu graviras, et la sagesse tu connaitras. sic).

le 1er tiroir est donc nécessairement celui du bas. A noter que pour les antipodistes, le 1er tiroir est aussi celui du bas.

Guillaume

Publié le
, la 1ere marche de l'escalier aussi, la 1ere marche du palais des festivals, à Cannes est en bas (si ma mémoire est bonne)

Pourtant quand je descends, je commence par la première marche et elle est en haut. :(

Circulez !

Invité lancelot
Publié le

Selon M. Escher :

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la réponse est : "Le premier tiroir, si l'on part du bas, est à gauche".

Publié le

Je suis très heureux de voir qu'au moins, je ne suis pas le seul à penser que le 1er tiroir, c'est celui du bas.

En effet, l'échelle part du bas, les immeubles aussi.

Il est vrai que si on vous donne une pile de dossiers, le premier est au dessus.

D'où l'élaboration de la loi simplifiée du tiroir de Sorano suivante, élaborée après plusieurs heures de réflexion cette nuit :

- si un objet n'est pas conçu pour recevoir des modifications et peut être considéré comme un tout (meuble, immeuble, escalier, classeur à pizza, topinambours, chaussettes vertes, ...), le 1er niveau se trouve en bas,

- si un objet est destiné à voir ses éléments changer de places ou à différer d'ordre (pile de dossier, podium, meilleurs magiciens du mois,...), le 1er niveau se trouve en haut.

- si un objet est un livre, les lois sont inversées.

- si la personne qui utilise l'objet n'est pas de taille standard ou si l'objet a une taille différente qui fait que les lois ci-dessus ne peuvent être appliquées, les lois sont fausses et chacun fait comme il veut.

Et voilà.

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

Publié le

Selon mes sources, la NASA se pencherait sur les implications de la loi du tiroir de Sorano pour les meubles en état d'apesanteur.

Dans l’hypothèse d’un polichinelle dans le tiroir, prévoir plutôt une table à langer et un coffre à jouets.

Par ailleurs, le tiroir du milieu dans le cas d’une figure anthropomorphique n’est pas évoqué par la loi du tiroir de Sorano, je m’interroge. (Voir ci-dessous).

Note : c’est pas du Buffet !

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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