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Publié le

cette version n'est pas maniable

mais il existe une version un peu plus chère 35-45 euros avec une commande à 3 voies (2 voies uniquement sur cette version le pico z).

il est beaucoup plus maniable et peut etre dirigé plus facilement et pareil n'est pas trop fragile

par contre l'autonomie est le gros point faible

  • 2 années plus tard...
Publié le

Les minis caméras existent sous forme de stylos voir dans les magasins pour l'espionite ou sur le net.

Publié le
Peut être pour précéder la routine des " mouches " de Duvivier une merveille , pleine d'humour et sortant des sentiers battus.

Ah ah ! Une fois de plus, il ne s'agit que d'une "récupération" (une variante) d'un effet d'un autre, en l'occurrence Aldo Colombini. C'est donc bien Aldo Colombini qui doit être crédité pour cette merveilleuse routine sortant des sentiers battus et pleine d'humour. ;)

colombini-flycards.jpg

Publié le

J'ai testé pas mal de choses avec ces mini-hélicos. Beaucoup d'idées, mais hélas la plupart non réalisables, l'objet supportant très difficilement d'être modifié ou -ne serait-ce qu'un peu- alourdi. Dommage...

J'aime ceux qui cherchent, je me méfie de ceux qui trouvent... (François Mitterrand)

Publié le (modifié)

Si vous cherchez un hélicoptère équipée de caméras ( 1 caméra devant, une caméra en dessous) , il y a ça:

[video:youtube]

Attention! Il n'est pas nécessaire de posséder une table tactile: un Ipad suffit

Sinon, j'ai découvert ça hier (mais sans caméra):

http://www.mybionicbird.com/

Je possède un des petites hélico dont vous parlez dans les messages précédents. C'est vrai qu'on peut les faire tomber de très haut, mais plus on va haut, plus ils sont incontrôlables ( la notice préconise de ne pas dépasser 30 cm de haut mais je vous rassure, on peut évidemment aller plus haut...mais plus on va haut, plus c'est incontrôlable...mais on peut aller plus haut...je l'ai déjà dit ??? ah bon??)

Sinon, je n'ai pas eu l'occasion de piloter l'AR drone (1er lien) mais j'en ai vu un de très près....Attention, ça brasse de l'air ! pas sûr que vos spectateurs apprécient (même les petits hélico à un seul rotor font pas mal de vent)

Modifié par Thomas
  • 1 année plus tard...
Publié le
Peut être pour précéder la routine des " mouches " de Duvivier une merveille , pleine d'humour et sortant des sentiers battus.

Ah ah ! Une fois de plus, il ne s'agit que d'une "récupération" (une variante) d'un effet d'un autre, en l'occurrence Aldo Colombini. C'est donc bien Aldo Colombini qui doit être crédité pour cette merveilleuse routine sortant des sentiers battus et pleine d'humour. ;)

colombini-flycards.jpg

En fonçons le clou dans la mouche (si je puis dire...) avec cet autre tour en rapport avec le sujet.

La Diminishing Lift de Marlo fut publiée en 1938. Grâce à cette technique, Marlo montre qu'il a quatre as de pique avant de révéler les quatre as.

Dans Cartes Oh ! Magie ? Année spéciale Volume 2 de novembre 1979, D.D. fait une adaptation de ce tour et de cette technique... sans citer Marlo ! : Au lieu de montrer quatre as, il faut montrer six 10 de pique. OK.

Le tour se nomme La Mouche, cinq des prétendus 10 de pique vont donc se "transformer", le premier en une mouche et les autres cartes en une série de dessins qui constituent une métamorphose graphique progressive de cette mouche en une sorte de lycanthrope avec une paire de jumelles. OK.

Mais... pour se faire, les dessins utilisés sont ceux d'un dessinateur de la revue Pilote et DD ne se souvient même pas de son nom ! De son propre aveu, l'effet décrit (dans un fascicule qui était en vente) utilise donc des dessins reproduits sans autorisation (ni du magazine ni du dessinateur).

Bref, encore un exemple de variante autour d'une technique originale (de Marlo en l'occurrence, non cité) et consistant à modifier le tour par ajout "d'accessoires" (des dessins utilisés et reproduits sans autorisation de l'auteur). Pour se dédouaner du procédé, DD écrit, je cite :

"J'ai utilisé pour ce tour extraordinaire des dessins extraits d'un journal Pilote d'il y a pas mal d'années.

Je ne me souviens plus du nom du dessinateur qui nous a permis de pouvoir réaliser ce tour, je m'en excuse auprès de lui, mais je tenais à le signaler pour que tout soit correct."

Ce mea culpa suffisait-il à DD pour constituer une autorisation de publier ce qui ne lui appartenait pas ? La démarche est-elle "correcte" ? Sans commentaire...

L’extraordinaire Diminishing Lift est de Marlo, les extraordinaires dessins de métamorphose sont d'un illustre inconnu, le tour a été réalisé par un bien mystérieux "nous" (relire la citation) mais, au final, le tour La Mouche est bel et bien estampillé Duvivier et lui seul.

Il s'agit UNE FOIS DE PLUS (comme ça arrive si souvent dans l'histoire de la magie) d'une variation de forme (dans ce cas une série de levées multiples permettant ensuite diverses transformation), c'est une des clés permettant de comprendre comment "on" peut augmenter à l'infini le nombre de "tours" qu' "on" aurait créés : en mettant des illustrations imprimées différentes pour des tours de petits paquets par exemple. Les techniques cartomagiques sont standard mais le tour a indéniablement l'originalité d'un visuel particulier (dans le domaine de la cartomagie en tout cas). Il n'est pas difficile à ce compte de faire mille et une variations. Pourquoi pas des manuscrits façon Léonard de Vinci qui se transformeraient "bêtement" en cartes à jouer ou autres - mdr - ou des photos de gangsters pour illustrer un classique de la cartomagie en remplaçant les as par ces photos de gangsters ? Donc pas d'inventivité dans les techniques cartomagiques, juste des variations de formes en substituant à des cartes traditionnelles des images, un procédé qui permet de gonfler le nombre de prétendues "créations" dans des proportions gigantesques puisque effectivement, des cartes peuvent s'imprimer en "n'importe quoi", il suffit de puiser dans le patrimoine et de "transformer" (revisiter) chaque tour à sa sauce (ça c'est positif) ; le tout serait d'être clair quant aux sources d'inspiration et d'être humble quant au résultat.

Je n'ai absolument rien "contre" cette idée de faire des tours avec des visuels particuliers ou de créer des histoires sympa sur ce principe. Ce qui pose problème, c'est de se présenter comme un grand créateur (ben oui, le tour est qualifié "d'extraordinaire" ; on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même mdr ) et d'être aussi peu clair pour ce qui est de citer les sources. Bravo et merci à Marlo pour sa Diminishing Lift qui permet tant et tant de tours originaux.

****

Une mouche en laisse, vous connaissiez ?

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=ct_rD3TBpV4

Invité RVminem
Publié le

Les vendeurs aux hélicos à 25 € sont spécialisés aussi dans les mini bagnoles téléguidées et planquées dans des cannettes.

Publié le

"Planquées dans des canettes " tiens cela va intéresser quelqu'un à mon avis !!.

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Invité
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  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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