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Voici un message poster sur un autre post

Nous nous permettons de vous signaler que le budget que vous vous êtes imparti ne correspond pas à la réalité des tarifs appliqués par notre profession. Si toutefois certains vous proposent ce tarif, nous vous invitons à vérifier leur immatriculation et/ou la qualité des prestations proposées.

Je pense que ce genre de réponse est plus appropriée.

PS: Lancelot, On as tous vécu cette situation ou quoi ? mdr

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Finalement notre meilleur pub et promo sera "le bouche à oreille"

C'est pour cela que je ne suis pas pour être dans l'annuaire.

Il ne faut pas comparer un chanteur de Karaoké et Johnny Haliday.(Lol)

Et puis il ne faut pas hésiter à balancer ce genre de combine.... si tu prends un spectacle à 100 euro que te reste t-il en poche ? (après les impot et les frais de déplacement) : 30 euro... moi pour ce prix là j'achète une flutte et je joue devant chez moi (Lol)

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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Nous nous permettons de vous signaler que le budget que vous vous êtes imparti ne correspond pas à la réalité des tarifs appliqués par notre profession. Si toutefois certains vous proposent ce tarif, nous vous invitons à vérifier leur immatriculation et/ou la qualité des prestations proposées.

Je pense moi aussi que ce genre de réponse est des plus appropriée. A ceci près que ( au risque de me faire incendier par Danilsen LOL ) Donc à ceci près qu'il faudrait remplacer notre profession par notre corporation.. juste pour dire qu'il y a des amateurs (éclairés) qui se sentiront ainsi plus concernés pour adherer également à ce retour.

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L'idéal aujourd'hui, c'est de présenter un "CV" magique pour montrer au demandeur que vous n'êtes pas débutant.

L'orientation sur votre site web par exemple montrera votre professionnalisme et vous permettra de garder contact avec lui.

Ils reviennent souvent l'année suivante en comprenant que le magicien à 100 euros qu'il avait embauché l'année précédente n'avait rien de professionel...

Et puis, si le prétendu magicien au rabai est plutôt beau gosse, ça ne laisse qu'un peu plus de 50% du public satisfait (les femmes, les homos).

Enfin, ce n'est que mon avis :)

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Une fois j'ai entendu un agent dire en parlant d'un close -up, "bah ce qu'il fait c'est pas terrible mais il est jeune et a une belle gueule il plait aux filles ! "

quand on en arrive là que veux tu faire ???

De la chirurgie esthétique !? mdr

Moi, lorsque les gens n'ont pas le budget pour un automate, je leur dit d'appeler un magicien ! Aïe, pas la tête ! mdr

Mon avis, n'est que mon avis, mais le restera toujours...

Fred SILHOUETTE

On n'a pas deux fois l'occasion de faire une bonne première impression. Lancelot

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HEP... HEP... HEP... j'vais mettre un copyright sur ma réponse, si y'en a plein qui copient...

En effet, je crois reconnaitre ma plume dans la citation que vous a mis Roland. C'est ce que nous conseillons tout le temps, mon épouse et moi, lorque nous recevons de telles demandes. Et j'encourage tout le monde à copier ça ;)

Mais ca n'empêche que le fait d'avoir un guignol qui casse les prix, ca me fout en l'air. Dernièrement, une demande de quelqu'un qui voulait une soirée cabaret, au tarif de 300 euros (budget global). Je lui ai envoyé un devis plus salé, et j'ai appelé pour lui expliquer le pourquoi du comment. Et bien, quelques jours plus tard, et bien je viens d'apprendre qu'elle avait trouvé un magicien inconnu au bataillon qui forcément a respecté son budget, lui...

Bazooka...

Mais en même temps, je me dis que ce n'est pas plus mal... J'aurai eu un clou pour accrocher ma veste (autrement dit... des conditions de merde).

Quand on pense à la mairie de Lorient qui avait fait une telle demande il y a quelques années. Morts de rire...qu'on est...

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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