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John FIKS

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Tout ce qui a été publié par John FIKS

  1. Je vous livre ci-après le lien pour un simulateur de calcul de l’allocation chômage des intermittents du spectacle (c'est la version de février 2008) Il existe différents simulateurs mais celui-ci est pratique, clair et à jour... Enjoy it ! http://www.horslesmurs.fr/plugins/fckeditor/userfiles/file/Conseil/Outil%20Simulation%20CentresRessources.xls Sources : Fiche tirée du site horslesmurs.fr -Gestion-sociale-administrative
  2. Cela me conforte dans l'idée que passer par un administrateur ou une agence coûte peut-être un peu plus cher, mais nous met à l'abri de ce genre de d'inconvénient désagréable... Par contre, je ne comprend pas qu'il n'y ait pas envoi d'une facture... Sur la base de quel document le GUSO demande-t-il un règlement alors ?
  3. Bonjour Nirag... Pardonne-moi mais le GUSO n'a-t-il pas envoyé une facture à ta cliente ? Ce qui apparait en simulation n'a QUE valeur de simulation et n'est pas contractuel... Je me fais un peu l'avocat du Diable, mais souvent les erreurs commises qu'on reproche viennent à la base de soi-même (je ne parle pas de ce cas précis mais en général). Par contre, il est vrai qu'il aurait dû y avoir une relance s'il y a défaut de paiement... Quoi qu'il en soit, le montant à régler est celui qui est stipulé sur le contrat, qui doit être reporté sur la facture. Tout le reste n'a pas de valeur. J'ai bien peur pour ta cliente qu'elle n'ait comme solution que celle de régler ce qu'on lui demande... Elle peu toutefois, sur la base de sa bonne foi demander une exonération des frais de retard mais là, ça reste au bon vouloir du créancier. La leçon à retenir : ne jamais s'engager personnellement pour les propos d'autrui... Bon courage en tout cas !
  4. Mort de rire Bruno ! Hmmmm, si mes souvenirs sont bon, ça devient un running gag... Franchement, ce serait a incorporer dans la routine... Bises à tous les deux...
  5. Et puis, tout le monde n'est pas forcément non plus metteur en scène... Pour ma part, même si j'ai dans ma formation des cours de comédie et si j'ai déjà commis la mise en scène de plusieurs oeuvres, je suis toujours confronté à un problème majeur : me mettre en scène moi-même ! J'éprouve les plus grandes difficultés sur ce point, bref je galère à chaque fois... Autant pour les autres j'arrive à voir comment cela peut se faire, autant pour moi je manque toujours de cette vision extérieure, de ce recul objectif... J'ai tout simplement fait appel à un metteur en scène pour régler mon show. Bien sûr chacun n'a pas forcément la justification de le faire et je connais des magiciens qui ont cette faculté extraordinaire de se mettre en scène parfaitement eux-même... Mais si vous avez dans vos connaissance un metteur en scène, n'hésitez jamais à prendre conseil... Dans le cas du présent post, je pense que ses conseils pourraient apporter pas mal de réponses judicieuses...
  6. Réponse : NON ! car il n'a pas à justifier de 507 heures en 10 mois et demi et ses indemnités ont un coefficient beaucoup plus fort que le nôtre... LOOOL
  7. Ok, maintenant je sais pourquoi le gouvernement veut la peau des intermittents ! Avoue : tu ne leur as pas dit que tu ne bossais pas sous ce statut et ils ont tout confondu par la suite, hein ??? J'ai bon ???
  8. Excellent ! Voici quelque chose qui devrait plaire à Jack... Le principe ouvre des possibilités assez sympas...
  9. Bonjour, sur le Nord/Pas de Calais, il y a : - NORD MAGIC CLUB Amicale Robert Houdin "F.F.A.P." Contact : Fernand Coucke (Président) à Neuville en Ferrain (59) Nord - Pas de Calais + tous les magiciens Belges intéressés 3 réunions par trimestre: Le 1er vendredi du premiers mois et les 2ème mercredis des 2 mois suivants * (sauf en Juillet/Août et Décembre) Site du Nord Magic Club - LES AMIS DE LA MAGIE DE CALAIS Président : FRANCHOIS Johnny ALIAS DJOGO à PEUPLINGUES (62) Site ADMC - MAGIE en FLANDRE Président : Joël Hennessy à BAILLEUL (59) Site du club Flandre Magie FFAP
  10. Encore une fois si le noeud est immobile (et par exemple caché dans la main) la solution pour laquelle j'opterais, c'est coller un morceau de corde blanche puis le morceau de corde de couleur (formant un noeud) puis un autre morceau de corde blanche... Les colles cyanolites permettent d'arrêter proprement les morceaux de corde et "soudent" les fibres entres elles (attention aux émanations). De manière générale, une teinture foncée "prend" mieux qu'une teinture claire, je pense que leur pouvoir couvrant est plus important... Je n'ai jamais fait d'essais avec de la peinture en bombe, mais j'imagine qu'il y a un risque d'écaillage à la longue... Pour moi la teinture des fibres, dans la masse, est la solution que je retiendrais...
  11. Bonjour, le problème que vous allez rencontrer est que la corde (en coton) va avoir tendance à absorber la teinture et que celle-ci va s'étendre par effet de capillarité. Donc tout le soucis est de ne teindre qu'une partie bien précise de la corde... Si le noeud n'est pas mobile il vaut peut être mieux faire un montage (par collage à la colle cyanolite) insérant un morceau de corde rouge qui sera noué enduite. Si cette solution vous convient, une teinture pour vêtement fait très bien l'affaire... Je vous déconseille les marqueurs ou autres qui vont avoir tendance à laisser des tâches sur les doigts lors de l'utilisation de votre accessoire... Pour mon spectacle de magie médiévale, j'ai teins une corde avec du brou de noix pour obtenir un aspect un peu sale et vieilli... Je vous engage toutefois à faire des essais sur un petit morceau car la couleur indiquée sur les boites de teinture N'EST JAMAIS celle que vous obtenez, cela dépend du support (corde ou tissus), de la durée de trempage, de la dilution de la teinture, etc. Petit truc qui me vient de ma grand-mère : une fois la teinture réalisée et le fixateur appliqué sur la teinture, rincez et passez au vinaigre pour enlever le surplus de teinture, ainsi vous ne risquerez plus d'avoir des traces inopinées par la suite par contact... Rincez encore une fois pour retirer le vinaigre... Bon courage...
  12. Sauf que l'amende risque fort de se voir accompagnée d'un refus de prise en compte de l'AEM donc du cachet pour l'artiste... Je ne sais pas, mais la date du 1er avril me laisse de plus en plus songeur... Tant du point de vue des agence avec qui je bosse que de celui de mon administrateur, rien d'officiel dans la mise en place à ce jour (J-10), alors ??? Par contre, je commence à en avoir marre de la suspicion sytématique de la part de certaines administration quand à notre honnêteté. Il faut peut être arrêter les c******es : Ce n'est pas nous qui avons mis en place ce système mais elles ! Nous nous efforçons de nous mettre en accord avec la législation pas toujours adaptée aux différents cas de figure et on nous en remet une couche... A croire qu'en France, la présomption d'innocence est à deux vitesse et ne s'applique pas aux intermittents... Encore une fois, ce ne sont pas eux qui font disparaître les trops perçus de cotisations... J'aimerais bien savoir où va passer l'excédent de l'exercice 2007 annoncé par l'UNEDIC ??? Il m'est d'avis que ni les salariés intermittents, ni les entreprises de spectacles ne risque d'en voir le quart de la moitié du commencement alors que dans les deux cas les charges pourraient s'en trouver allégées... Bon je dis ça, je ne dis rien, hein...
  13. Ce sera avec grand plaisir, et j'offre la première tournée (de verres...)
  14. Oui. Mais tu dis que cela est plus "courant" ou plus "facile à faire" si l'on est en société plutôt qu'intermittent. Je ne vois vraiment pas pourquoi. C'est la tentation de le faire qui est plus facile à avoir... Tout simplement car en tant qu'intermittent, je refuse plus facilement un contrat (par exemple en dessous des prix "du marché" ou ne correspondant pas à mes conditions, et ce même si je n'ai pas bien travaillé dans le mois, alors que je me demande quelle serait mon attitude si j'étais chef d'entreprise et avait mes charges à payer à la fin du mois... Surtout si je n'ai pas bien travaillé durant plusieurs mois... Je ne veux en rien généraliser, mais j'estime dans ce cas que ne pas avoir d'obligations financières aussi lourdes que celles qu'ont les chefs d'entreprise me laisse alors plus de liberté dans mes choix... Maintenant concernant le black : non, c'est illégal et point final. Il y a eu ici même un post très interressant sur le pourboire, dans lequel il était rappelé que toute somme d'argent (y compris pourboire, terme -pas toujours- mais parfois utilisé pour désigner "le black") est soumise à déclaration. Un intermittent travaillant et se maintenant dans ce métier ne prendra pas ce risque (mais là aussi il y a des exceptions, comme celui se stationnant sur une place handicapée : c'est illégal et stupide mais s'il croit que c'est bien pour lui sur le moment !) car il risque gros...
  15. Salut Frantz. J'apporte donc quelques précisions... Je ne dis pas que se remplir les poches est facile, je dis simplement qu'il est parfois PLUS FACILE DE PRIVILEGIER l'aspect purement mercantile que celui artistique. La facilité est dans le choix et non dans le fait de gagner sa vie... Je pense que tous seront relativement d'accord sur ce point... Ah non, soyons honnêtes, ne nous voilons pas la face : C'est une réalité ! Et tu mets le doigt sur une faille du système qui arrange les intermittents dans certains cas mais beaucoup plus encore les sociétés pour qui il était facile d'engager du personnel à plein temps en le déclarant intermittent sur 8 cachets dans le mois, de lui payer ces 8 cachets (beaucoup moins qu'un salarié au régime général pour le même poste à plein temps) et de s'en remettre aux assedic pour payer le complément ! C'est le cas des "faux intermittents " et de certains "permittents" Mais il faut aussi dans ce cas parler de l'intermittent ayant largement son nombre d'heures et cette fois ci ne déclarant qu'1 cachet au lieu de deux, mais payé double... Et je t'assure que cela m'arrangerait bien car, et tu le sais bien pour cotoyer pas mal la profession, quand on se maintient en tant qu'intermittent du spectacle, on fait nos heures, et largement ! Pour te donner une idée, il ne s'est pas passé une année ou je n'ai pas été en carrence pour 2 ou 3 mois car, et c'est tout le paradoxe, j'avais trop travaillé ! Là ou je ne suis pas d'accord, c'est dans la généralisation de l'idée que c'est pratique courante... Un peu comme si j'imaginais que tous les responsables syndicaux du patronat prenaient 1 500 000 d'euros de prime de départ à la retraite... Insensé, non ? Quand au fait de ne pas déclarer, c'est illégal ! Et là aussi je te garanti qu'un intermittent serait fou de prendre un tel risque car non seulement il perdrait son statut mais en plus devrait rembourser aux assedic l'intégralité de ses indemnités (et il me semble que cela remonte sur plusieurs années). Par ailleurs tout ce qui n'est pas déclaré ne compte donc pas non plus pour la retraite... Ce n'est vraiment pas une option raisonnable au delà d'être illégale... D'ailleurs en matière "d'illegal", le seul truc que j'aime c'est le "magic club"...
  16. Ce qu'il ne faut pas perdre de vue, c'est que chacun choisit son statut (chef d'entreprise, intermittent, etc.) en fonction de ce qui lui convient le mieux (et ce n'est pas que l'aspect financier ou fiscal qui est pris dans ce cas en compte). Pour la part, je le redis, des entrepreneurs ont besions des intermittents et les intermittents des entrepreneurs... Cela est pour moi vrai à tous les niveaux. La différence se fait surtout par le système de fonctionnement des uns et des autres... Nous avons la chance de vivre dans un pays où il y a plusieurs solutions qui nous sont proposées, il serait mal venu d'imposer tel ou tel système à quiconque. De toute façon dans les deux cas le problème se pose lorsqu'on ne travaille pas, alors... Vive les intermittents et vive les entrepreneurs...
  17. C'était mon cas lorsque j'étais en micro-entreprise. A l'époque il ne m'était fiancièrement pas possible de créer une EURL. J'étais en exploitation directe, avec responsabilité sur mon patrimoine, des cotisations forfaitaires énormes, le tout me laissant 40 % du chiffre, 45% sur lesquels j'étais encore imposé sur le revenu... Ce qui revenait à l'arrivée à avoir reversé 75 % de ce qui rentrait... J'ai continé à payer pendant deux ans après clotûre de l'entreprise... Mais je concède qu'il s'agit d'un cas de figure particulier... En tout cas cela m'a refroidi... Par contre je le redis le statut d'intermittent me laisse plus de liberté que je pense en avoir si j'étais à la tête d'une entreprise... Attention, j'ai le plus grand respect pour des artistes chef d'entreprise qui ne tombent pas dans la facilité du fric à tout prix... Mais je pense aussi comme le dis Danilsen qu'il y a des années fastes et d'autres moins... Or, lorsqu'on a la responsabilité d'une société, il faut trouver des solutions à ces années moins fastes... Et des choix (que je ne souhaite à personnes) peuvent devenir obligatoires à faire... En cela il n'y a pour moi pas autant de liberté, car le risque (et je ne parle ici que de risque) est alors de privilégier le financier au détriment de l'artistique... Ce n'est bien sûr que mon point de vue et je serais ravi de me tromper.
  18. Je ne le ferais pas CAR j'ai été à mon compte par le passé... C'est bon, j'ai donné (et beaucoup ! Plus de 75 % de mes revenus)... Par ailleurs, ce statut me permet une certaine liberté de penser, une liberté dans ma démarche artistique, chose que je risque de beaucoup moins avoir en étant chef d'entreprise (ou du moins d'en avoir les responsabilités car un artiste vivant de son art aujourd'hui manage forcément sa "carrière" comme une entreprise) car moins de temps pour l'artistique (pas mal de mes contrats viennent d'agences), plus de soucis de "plaire commercialement" à un client. Ne nou voilons pas la face : à un niveau professionnel il y a le public et le client. Le statut d'intermittent me permet, dans ma démarche artistique de donner de l'importance au public. Je crains de privilégier de façon exponentielle le client si je suis à mon compte... Donc pour résumer : garder le statut = liberté (pour moi !) et ce, à de multiples niveaux. Mais je sais qu'il y a des personnes travaillant sous l'étiquette d'entrepreneur qui le font très bien (et heureusement). Je pense juste que les uns ne peuvent avoir de pérénité sans les autres et inversement (+ de concurrence, baisse des prix de vente, arrivée de plus de monde travaillant au noir, etc.)
  19. Ah, mille excuses si mes propos étaient un peu bruts de coffrage, tu sais très bien que ce n'est en rien mon idée envers toi... Et il me semble que nous aimons suffisament l'un et l'autre ce métier pour savoir aussi en prendre soin et veiller à ce qu'il puisse encore être pratiqué... Le débat est forcément passionné ! Je ne suis pas convaincu pour ma part que le statut d'artiste intermittent soi mort et enterré et je me bagarrerais en tout cas pour sa survie... Même si cela peut paraître aujourd'hui utopique, les artistes, les organisateurs, les employeurs et le public a vraiment beaucoup a y gagner à le préserver... Certes, ce n'est que mon avis et il pèse bien peu en matière de décisions prises en hauts lieux... Mais là encore, j'aime bien attaquer les moulins... Amitiés à toi...
  20. NON ! Il y a déjà pas mal d'années qu'on veut tirer un trait sur le statut... Mettons-nous à notre compte ! Belle c******e ! J'ai donné pendant trois ans... Les résultats de l'année 2007 qui viennent d'être publié montre qu'un joli pactole est issu d'un compte bénéficiare des caisses assedics, bizarement on ne parle pas de facilité l'accession au statut, il semblerait que NOS cotisations (et j'entends par là ce que l'état ponctionne sur nos salaires) vont contribuer à reflouer d'autres caisses... Cela m'énerve un peu quand je vois écrit qu'un intermittent peut vivre des indemnités que lui verse les assedics : c'est FAUX ! Pour la simple et bonne raison que les indemnités sont calcluée à la fois sur le nombres d'heures travaillées et sur le montant en brut du salaire perçu... Cela donne un simple constante : ontouche des indemnités en rapport avec ce qu'on n'a pas gagné le mois venant de se déroulé en en fonction de ce que nous avons fait l'année précédente (je schématise mais cela revient en gros à cela). Donc si on ne travaille pas, on ne touchera rien l'année suivante et si on se contente d'un minima, la somme sera dérisoire...
  21. Je pense avoir suivi de relativement près (et pour cause) le débat sur ce sujet et encore une fois j'y vois beaucoup de contradictions (comme celle de prendre des morceaux de post et de les mettre bout à bout, sortis d'un certain contexte on fait dire au gens le contraire de ce qu'ils écrivent...) Sans vouloir soulever un point peut-être "sensible", s'est on demandé si les restaurant (et c'est normal qu'ils aient un code APE en tant que tel) et certains cabarets ont tenté quelque chose pour conserver un code APE leur permettant d'engager des intermittants... Je dis cela car je connais un "cabaret" au pied de la butte Montmartre, qui lui, s'en passerait bien. A tel point que cet établissement propose, via des sites de casting sur internet, de "recruter" des artistes par une annonce d'emplois qui s'avère en fait être un tremplin où les artistes doivent même payer leur entrée s'il ne sont pas accompagnés de deux autres personnes payant leur propre entrée... C'est à Paris, dans le quartier que tu cites et franchement, je ne les vois pas vraiment engagés dans la défense ni des artistes, et encore moins dans celle des intermittents... Le problème est peut-être ailleurs dans ce cas, non ?
  22. Mwouais... Rien d'officiel encore quoi... Je me méfie énormément de toutes ces rumeurs confirmée puis infirmées, etc. Pour ma part, la seule chose que j'ai pu obtenir de source officielle (et non par un syndicat ou des bruits de couloir) conrce les changement d'AEM, et c'est tout ! voir à ce sujet : http://www.legiculture.fr/Declarations-rapprochement-des.html Pour le reste : - mise en application des n° de déclaration de spectacle : le texte existe mais pas applicable et pas appliqué en tant que tel à ce jour (je suis désolé mais tant que l'organisme en charge de la mise en application n'aura pas informé les employeurs, cela est caduc. C'est, je crois et j'espère sans dire de bêtise, une obligation stipulée dans le code du travail.) - déclarer un intermittent au régime général : cela ne tient pas debout car un des principe de l'intermittent est justement de sortir des cadres du régime général. Tout dépend en fait du code APE de l'employeur qui entre ou non dans les activités de spectacle et des intermittents. Il y a un très bon site qui est legiculture.fr et qui donne les textes exacts, commentés et expliqués à base d'exemples concrets. Je vous invite à vous y reporter. Oui il faut être vigilant, mais il ne faut pas non plus prendre pour argent content ce qui me parait parfois être de l'intox (pas de la part de membres présents ici, mais de ceux qui fournissent certaines pseudo-informations...) Pardonnez-moi ce coup de gueule, je suis tout aussi concerné que vous par la défense des intermittents (et pour cause), mais cela nous dessert d'entrer dans le jeu des rumeurs.
  23. Toutes ces remarques sont pour moi très judicieuses (même si les effets ne sont pas finalement de plus en plus fort, tout dépend du rythme général de l'ensemble mais il en va en magie comme en musique, parfois un silence après un temps très fort est tout à fait approprié... Et ce, même si la recette "classique" de la progression tout au long du numéro fait ses preuves".) Nous parlons bien ici d'un enchainnement de plusieurs numéros par LE MÊME ARTISTE ? Dans ce cas le théâtre ou le café-théâtree apporte beaucoup d'élément de réponses. Une solution est de concevoir le show comme un tout, ce qui n'empêche en rien d'avoir un entre-acte par exemple. L'idée d'une intervention d'une autre personne n'est à mon avis valable que si sa présence est justifiée et pensée dans la mise en scène et l'histoire. Je rentre à l'instant du spectacle "Le magicien Voyageur" de Peter Din. Il y a trois grandes partie dans le show, avec une sortie entre chacune de ces partie. Peter Sort tout simplement de scène, une musique vient parfois entre l'entrée et la sortie. Mais à chaque fois la sortie est justifiée ou marque clairement la fin d'une action. La sortie la plus longue pour lui est celle où il va chercher Boby, son chien pour le numéro de ventriloquie. Il lui faut donc le temps de se préparer et même s'il est très rapide, l'action commence sur scène avant la sortie pour se poursuivre en coulisse puis revenir sur scène... Entre temps, le changement d'ambiance et l'équipement avec la marionnette a eu lieu. On ne se rend pas compte de la transition, et pourtant elle est bien là... Pour ma part, en condition de cabaret, je pratique souvent la fausse sortie et l'ammène même parfois sous la forme d'un gag (en revenant d'un autre côté ou avec un accessoire "marrant"). Cela FAIT PARTIE DE MON PERSONNAGE et est donc justifié. A mon sens, il faut mettre à profit ces moments de transition, les mettre en scène, et transformer ce qui peut sembler comme une faille en un moment fort à part entière. Je n'ai pas vu ton numéro et ne peut donc apporter que quelques idées qui ont fait leur preuves dans les cas précis que j'ai évoqué, mais peut-être que cela sera le début d'une voie possible... Cordialement,
  24. Je vais juste ajouter deux petites choses à toutes ces remarques... J'adore pour ma part disserter et échanger des idées politiques. Je suis moi-même engagé dans la vie politique locale... Il en va de même qu'en magie : on ne range pas tout en rentrant chez soi... MAIS : 1) La règlementation d'un forum public et la nettiquette de façon générale ne permettent que peu de possibilité d'avoir de vrais débat d'idées, voir rend illégale toute idée politique clairement exprimée car prosélitique. 2) JE NE DISCUTE PAS avec des personnes que je ne connais pas ! Il est vain de vouloir communiquer avec des personnes voulant conserver l'anonymat, cela ne sert à rien (je parle ici d'un réel anonymat et non de pseudos utilisés par des personnes tout à fait identifiable par l'interlocuteur)... Je n'ose pas même imaginer les pelotes de laines à débrouiller pour un modérateur et un administrateur de forum allant en ce sens... S'il peut encore faire quelque chose depuis la cellule de prison qu'il aurait tôt fait de rejoindre pour avoir laissé dire ou faire... Nous avons tous nos idées et nos visions sur de nombreux domaines. Et oui : presque TOUT est politique : la "vie publique" ! Mais j'aime assez lorsque je vais assister à un spectacle, me laisser porter par ce que l'artiste me propose sans pour autant chercher systématiquement un parti pris derrière cela... P.S. : Coucou Jean, je suis ravi de te croiser ici... Amitiés...
  25. J'ai aussi opté pour cette forme depuis une quinzaine de jours... Tout s'est bien passé pour l'enregistrement, le site doit faire les mises à jours pour la fin du mois...
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