Hola,
Après avoir manqué, lors du Gala de l’école Akiltour, le spectacle de Sylvain qui où, nous ne comptons plus les fois, a eu la gentillesse de se produire très amicalement et gracieusement ! Avec encore une fois, pour le plus grand plaisir des Plessis-Bucardésie(n)nes (personnes n’est parfait), il a gratifié ses spectateurs d’un show original. Mes détracteurs me diront « comment le sais-tu, tu n’y étais pas ! » Je n’ai eu que des retours élogieux des magicie(n)nes en herbes, de leurs parents et de leurs ami(e)s (Na !).
Bref, je ne vais pas vous faire un Roman, mais je ne pouvais pas encore faire le Mr Fion et je me suis rendu accompagné de mes amis R !chard, Greg.et un gentil couple de Mauriciens* au Théâtre le Temple transformé pour une soirée en temple de la Magie De la Poésie et de l’Humour.
Tout d’abord, un Truc de Ouf. Sylvain a dû et su performer par pas moins de 40°** ! Mais comme on dit the Show Must Go On (Un résident de New York aurait dit Le Chaud Must God …) ! Autrement dit, la performance dans la performance. Là, j’ai compris tout le sens de mouiller la chemise (Ce même résident aurait dit souiller la chemise).
Le spectacle à démarré avec un témoignage d’Amour (son plus beau tour de magie), suivit d’une jolie scène de théâtre de lumière noire que Prague n’aurait pas renié. Un moment de magie et poésie où le mot Amour, lutin et taquin jouait au transformiste pour enfin s’incarner en Mirouf !
Je ne vais pas vous énumérer la liste de chacun des actes qui ont coloré le spectacle, vous n’avez qu’à y être. Mais tous étaient originaux percutants et inattendus David douillet aurait dit « ils sont inimaginaux ! ».
En parlant d’humoriste, Sylvain sans quitter son habit de prestidigitateur (sauf la chemise) prenait la peau du One Man Stand-Up corrosif et caustique. Qualité qui associée au mentalisme donne des morceaux d’anthologie croustillant et savoureux tout en rafraichissant l’halène. Toujours utile lors de la distribution des bisous, sauf pour Bernardo qui n’avait pas besoin de l’ouvrir quoi que …
Pour celle et ceux qui ne comprennent rien à la mécanique quantique, Sylvain était là pour les conforter dans leur ignorance avec une démonstration brillante en utilisant le temps et l'espace.
Quand à jouer avec son nœud pour faire coulisser une corde sur le thème de « le vi est un long fleuve pas toujours tranquille » Il y avait là quelques risques, heureusement qu’un pompier (je vous rassure, ce n’est pas lui qui à mouillé la chemise) était sur scène et au cas où Michel Cymes dans la salle prêt à prodiguer soins sur les éventuelles brûlures (non pas avec la pratique du pompier).
En parlant de brûlure Sylvain à mis le feu à la salle déjà en surchauffe mais on ne lui en veut vraiment pas … nous en redemandions.
Enfin, le spectacle a été clôturé par le salut du plus joli et mignon des tours de magie de Sylvain… Là, je pense très sérieusement qu’il a eu recours à une complice ce qui bien entendu n’enlève rien à ce talent caché de Sylvain.
**climatisation défaillante et fuyante, à la fin du spectacle j’avais le bas de pantalon et les pieds trempés. Il faut dire qu’avec un débit de près d’un mètre cube à la seconde …
*je n’ai pas dit Humouricien ne pas confondre.
Frédéric