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Plick (Pierre TLLFR)

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Tout ce qui a été publié par Plick (Pierre TLLFR)

  1. Bonjour, Je vends le livre Rêver de Max Maven, état neuf. Prix : 20 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  2. Bonjour, Je vends le livre Anthologie (1ère partie) de Luke Jermay, état neuf. Prix : 40 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  3. Bonjour, Je vends le livre Focus de Max Maven (éditions Marchand de Trucs), état neuf. Prix : 40 euros (+ frais de port). Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  4. Bonjour, Je vends le livre Anthologie de David Acer, état neuf. Ce livre est épuisé chez l'éditeur. Prix : 45 euros (+ frais de port). Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  5. Bonjour, Je vends S&D, Mentalisme (simple et direct) de Looch, état neuf. Best-seller des éditions Marchand de Trucs, ce livre est épuisé ! Prix : 30 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  6. Bonjour, Je vends Invraisemblance(s) de Gary Kurtz, état neuf (sous cellophane). Ouvrage incontournable contenant le répertoire de close-up de Gary Kurtz, paru aux éditions Marchand de Trucs. Ce livre est aujourd'hui épuisé ! Prix : 40 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  7. Bonjour, Je vends Subtilités psychologiques 1 de Banachek, en bon état (léger accroc sur la couverture). Livre paru aux éditions Marchand de Trucs, dans une traduction de Vincent Hedan et avec une mise en page de Benoit Drager. Il s'agit de la première édition (2014) épuisée. Prix : 40 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  8. Bonjour, Je vends S&D, Mentalisme (simple et direct) de Looch, état neuf. Best-seller des éditions Marchand de Trucs, ce livre est épuisé ! Prix : 30 euros (+ frais de port) Paiement par Paypal, virement bancaire ou chèque. P.
  9. Bonjour, Elle n'existe pas encore en vidéo, mais tu as aussi l'excellente version de La Marinière, avec une carte pensée et de la résine. Un classique ! "Il vous faut tenir le jeu de cartes de la main droite, & montrer les cartes à la compagnie, & en découvrir une plus que les autres, puis vous demanderez à quelqu'un de la compagnie, quelle carte il aura songée ; sans doute il ne manquera de songer celle qu'il aura vue la plus découverte : cela fait vous aurez un peu de poix de Bourgogne chaude, & la mettrez dessous la carte, & la jetterez au plancher, auquel elle ne manquera de s'attacher. Ainsi vous ferez voir la carte qu'on aura pensée." (La Marinière, "Autre Ieu pour faire tenir au plancher la carte qu'un de la Compagnie aura songée", La Maison académique, Paris, Étienne Loison, 1659, p. 169) p.
  10. Bonsoir, Oui ! Il s'agit de Maurice Sardina (1891-1977), qui était d'ailleurs le traducteur et préfacier de l'ouvrage. Plick.
  11. Voilà une précision éminemment anachronique !
  12. Bonjour, Ce n'est pas moi qui ai dit que "Houdin" était de trop dans la proposition de départ. Christian Fechner (vol. 1, p. 60, note 18) écrit en effet : "Par une étrange ironie, la première date que Robert-Houdin cite dans ses mémoires est celle du jour de sa naissance, le 6 décembre 1805, or celle-ci est erronée. Cette coquille d'imprimerie (?) qui a perduré dans les nombreuses éditions françaises et internationales des Confidences d'un prestidigitateur a permis, à certains de ses biographes, d'écrire que Robert-Houdin ignorait le jour exact de sa venue au monde. Cette interprétation est sans fondement car tous les papiers officiels de Robert-Houdin portent bien la date du 7 décembre, date qu'il ne pouvait donc ignorer." Avant d'accuser l'imprimeur, il est fort dommage néanmoins que Christian Fechner n'ait pas pris la peine de vérifier et de nous dire ce que Robert-Houdin avait écrit lui-même dans le manuscrit original des Confidences (qui se trouvait alors dans la collection du biographe). Christian Fechner poursuit en écrivant : "Il est par contre exact que sa famille, et ce dès sa plus tendre enfance, à cause d'une mauvaise interprétation du calendrier révolutionnaire, lui souhaita toujours son anniversaire à la date du 6 décembre : ceci explique probablement cela !" Voilà qui semble plus réaliste en effet : une erreur de date transmise par la tradition familiale et que Robert-Houdin aurait naturellement transmise à son tour, sans que cela ne soit imputable à l'imprimeur. C'est sans doute ce qui a causé l'erreur de conversion dans la famille Robert... Après 1800, il y a un décalage d'un jour entre les deux calendriers. Le 16 frimaire de l'an I était bien un 6 décembre, mais le 16 frimaire de l'an XIV est un 7 décembre ! Cette date du calendrier grégorien est certainement "d'origine" pour ce document établi seulement en 1851. Il ne s'agit pas du véritable acte de naissance, mais d'un extrait d'acte de naissance délivré quelque 50 ans plus tard, le 21 mai 1851 (Christian Fechner lit "11 mars 1851" (?!), vol. 1, p. 60, note 19), peut-être en vue du changement de patronyme de Jean-Eugène Robert. Voici en pièce jointe l'un des deux exemplaires (celui conservé aux archives départementales de Loir-et-Cher) de l'acte de naissance original. Qu'importe le 6 ou 7 décembre... pourvu que cette petite querelle de dates nous offre le plaisir de nous replonger dans le monument littéraire des Confidences de Robert-Houdin et l'occasion de creuser l'incroyable mine d'informations de La Magie de Robert-Houdin de Christian Fechner. Bonne journée, Plick.
  13. Bonsoir Thibault, Il me semble que ton image est dérivée de la gravure sur bois publiée dans le livre Les Mille et un tours d'Anagramme Blismon (pseudonyme de Simon Blocquel), édité chez Delarue au milieu du XIXe siècle : on y voit Decremps - dont le buste est identique trait pour trait à ton image - debout entre sa bibliothèque et sa table de travail. P.
  14. Bonjour, Inutile de s'acharner sur ce détail insignifiant. Un tableau n'est pas un livre avec un titre. Les titres des tableaux anciens sont, pour la plupart, de pures conventions d'historiens de l'art pour qu'on puisse savoir plus ou moins de quoi on parle. Le panneau de Bosch de Saint-Germain-en-Laye est autant L'Escamoteur qu'il a pu être tout aussi légitimement, au fil des catalogues et des articles, Le Joueur de gobelets, Le Charlatan, Le Bateleur, etc. (et ce dans toutes les langues). Avec le temps, un titre l'emporte souvent sur les autres et on l'utilise dès lors par pure facilité et convention. En tout cas, Hendrick ter Brugghen n'a certainement pas donné un titre à sa toile. Et histoire de vous réconcilier, le musée de Minneapolis qui conserve cette œuvre (a-t-il de ce fait plus de légitimité pour imposer "son" titre ?) l'intitule The Gamblers, point ! Si Gérard veut rebaptiser l’œuvre Les Tricheurs aux dés pipés de Ter Brugghen en développant sa thèse dans un article scientifique, aucun historien de l'art n'y verra le moindre inconvénient. Pour plonger dans le tableau avec une bonne résolution et un rendu des couleurs un peu plus satisfaisant que l'infâme reproduction de Wikimedia, voyez le site du musée de Minneapolis : ici. P. P.S. : Ce tableau de Minneapolis faisait partie de la formidable exposition sur le caravagisme européen aux musées de Montpellier et Toulouse en 2012. Le catalogue contient une longue notice sur le tableau et les probables ajouts ultérieurs qu'il a subis (agrandissement, changement complet du fond qui était à l'origine un intérieur).
  15. Serait-ce vraiment un scoop ? On pourrait aussi regretter, dans le panneau de la ville, que Robert soit pris pour le prénom d'Houdin, que l'on confonde "théâtre de Robert-Houdin" et "théâtre Robert-Houdin", etc. Quoi qu'il en soit, l'erreur de la plaque de l'AFAP est ici minime. Méliès est né quelques maisons plus loin, face au théâtre de la Porte Saint-Martin. Mais il a bel et bien vécu ensuite au numéro 29, face à l'Ambigu-Comique. C'est déjà formidable que l'on parle de Méliès dans l'espace urbain... et que la numérotation des immeubles n'ait pas changé depuis 1861 (Christian Fechner n'a pas eu cette chance avec la maison du jeune Robert-Houdin au 63 rue du Temple : dans sa biographie de référence, il publie une photo du numéro 63 actuel, qui n'a en fait rien à voir avec l'immeuble où le père Eugène a habité... il faudrait plutôt aller chercher du côté du numéro 161 actuel, ce qui rapproche d'ailleurs grandement notre jeune horloger de son atelier.) P.
  16. C'était une (excellente) initiative de l'AFAP. La plaque a été posée en 1961. Voici un extrait de la revue L'Escamoteur qui relate l'événement (Maurice Sardina, "Une plaque à la maison natale de Georges Méliès", L'Escamoteur, vol. 16, n° 92, janvier-février 1962, p. 1473) :
  17. Et s'il y avait plutôt une erreur sur la façade de l'immeuble ? La famille Méliès a déménagé peu après au 29...
  18. Bonsoir, Merci Gérard pour ces photos. Pas tout à fait : il est né au 45 boulevard Saint-Martin, en face du théâtre de la Porte Saint-Martin. P.
  19. Bonjour, Tu peux déjà lire l'interview de Keith Barry dans laquelle il raconte (fièrement) les circonstances de cet enregistrement et dit quelques mots de la manière dont il a construit cette routine pour bluffer les magiciens : "Keith Barry Extraordinary Interview", Genii, vol. 69, n°7, juillet 2006, p. 72-79. p.
  20. Bonjour, C'est le fort sympathique Dr. Gene Matsuura, celui-là même qui a annoté The Magic of Slydini (1960) de Lewis Ganson pour en faire The Annotated Magic of Slydini (2001), édition citée plus haut (et qui est d'ailleurs disponible à moindre coût sous forme de livre électronique auprès de l'éditeur, L&L Publishing : ici). P.
  21. Bonjour, C'est le fort sympathique Dr. Gene Matsuura, celui-là même qui a annoté The Magic of Slydini (1960) de Lewis Ganson pour en faire The Annotated Magic of Slydini (2001), édition citée plus haut (et qui est d'ailleurs disponible à moindre coût sous forme de livre électronique auprès de l'éditeur, L&L Publishing : ici). P.
  22. Bonjour, Il me semble que le même tour est déjà décrit quinze ans plus tôt sous la plume de Rufus Steele qui l'attribue à Doc Miller : Rufus Steele, "That Number Down", 50 Tricks You Can Do, You Will Do, Easy to Do, Chicago, chez l'auteur, 1946, p. 34-35. Bonne journée, p.
  23. Seules les éditions publiées entre 1723 et 1770 contiennent le chapitre sur les tours de gibecière, ajouté après la mort de Jacques Ozanam. On ne trouve donc ce chapitre ni dans les premières, ni dans les dernières éditions des Récréations. Cela permet d'évoquer une formidable découverte... Jusqu'à ce jour, l'édition d'Ozanam de 1723 contenait la première explication connue en français du jeu des gobelets. Or Philippe Saint-Laurent a déniché, transcrit et annoté un manuscrit exceptionnel du milieu du XVIIe siècle qui vient bouleverser tout ce que l'on croyait savoir... et qui contient une très belle description illustrée du jeu des gobelets (Ozanam reste la plus ancienne description publiée). Ce texte inédit vient de paraître aux éditions Georges Proust et constitue une lecture fort recommandable : http://academiedemagie.com/fr/nouveautes/3020-la-magie-du-pont-neuf.html p.
  24. Bonjour, Belle trouvaille en effet si cette édition contient bien le chapitre d'une cinquantaine de pages sur les "tours de gibecière" (en dehors bien sûr des quelques descriptions de tours de divination ou recettes d'encre invisible réparties dans les quatre tomes). Les Récréations ayant été sévèrement remaniées par Jean-Etienne Montucla en 1778, la dernière édition contenant les "tours de gibecière" est réputée être celle de 1770. Comme d'autres sans doute, je serais donc très intéressé de voir la page de titre et le sommaire du volume de 1790 qui contient les tours de gibecière. Bonne journée, p.
  25. Concernant les horaires, le programme détaillé est sur le site du congrès, à la page "Planning". D'ailleurs, les deux conférences qui t'intéressent ont lieu le vendredi. Bonne journée, P.
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