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Il y a 10 heures, Otto WESSELY a dit :

Donc cette nouvelle technique de lévitation : Elle sera connue un jour pour que les magiciens du monde entier en peuvent profiter ?

Impossible de progresser dans n'importe quel domaine de l'art où des sciences sans partage des techniques.

Ne me comprenez ps mal, je dis "partages des techniques" et pas "copier des numéros".

Je cite quelques exemples : un élément dane la boule Zombie a été modifiée , ce qui rend la table de Losander faisable, le FIE a ouvert plein de nouveaux effets et possibilités, Finn Jon en fait des merveilles, les progrès en manipulation de cartes sont devenus légendaires depuis leur évolution au delà du  "back and front".

Qu'en pensez vous ? 

Bien sûr ! 

Cette technologie est nouvelle pour nous mais pas pour le milieu magique. Nous utilisons un 3 points automatisé comme Etienne Saglio le faisait déjà il y a des années. 

Mais nous avons conçu la technologie à notre sauce, avec nos besoins, notre interface utilisateur et nos fonctionnalités. Cela fait 2 ans que nous travaillons dessus avec notre équipe et nous espérons pouvoir sortir au plus vite une version aboutie. 

Kiss from Belgium. 

  • Merci 1

In The Air

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Publié le

Le passage de Solange était sympa mais pas innovant même si forcément en quick change au troisième passage c'est forcement compliqué. Cela reste toujours très pro et sympa.

Pour Mathieu, magnifique, Je suis fan de la mise en scène. Le magicien sur la vidéo qui copie le spectateur qui dessine un must et le fond qui change à la fin pour le château de Versailles lieu d’habitation de la spectatrice vraiment top. Très beau mélange magie et numérique jusqu’à la sortie finale du magicien de la vidéo. Très très bien pensé bravo. Allez même si cela reste anecdotique juste pas fan de la sélection de la spectatrice avec une fontaine de cartes. La carte à jouer faisait trop "magie classique" dans la thématique du numéro à mes yeux, mais clairement un petit détail. Espérons pour la magie qu'il aille loin en finale et succède à Antonio mais il y a une forte concurrence d'artistes de valeur.

  • J'aime 3

www.dedales-hypnose.fr

Publié le
Il y a 23 heures, Clément KERSTENNE a dit :

Bien sûr ! 

Cette technologie est nouvelle pour nous mais pas pour le milieu magique. Nous utilisons un 3 points automatisé comme Etienne Saglio le faisait déjà il y a des années. 

Mais nous avons conçu la technologie à notre sauce, avec nos besoins, notre interface utilisateur et nos fonctionnalités. Cela fait 2 ans que nous travaillons dessus avec notre équipe et nous espérons pouvoir sortir au plus vite une version aboutie. 

Kiss from Belgium. 

Comme hab' je n'ai rien compris, donc :

- comment ça marche ?

-où peut on acheter ça ?    et

- combien ça coûte ?

😉 otto

www.ottowessely.fr

Publié le

Un grand bravo 👏 à Mathieu pour l'ensemble de ses prestations. 

Je le souhaite le meilleur et espère qu'il accomplisse son rêve au travers d'un spectacle produit qui tourne en France. 

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Bravo à lui,  c'est très inventif  et pas évident de synchroniser tout ça !

Le problème de cette émission c'est que ça fait beaucoup de déçus, car ils étaient nombreux  à mériter de gagner. 

Je pense aux Africains et le Rolla Rolla, Léa Kral avec ses cheveux, les patineurs etc !

Très difficiles de juger des disciplines complètements différentes !

  • J'aime 3
Publié le

Félicitations à lui cela fait du bien de revoir un magicien gagner. Même si il y avait d’autres artistes aussi talentueux. Dans ses passages ce que je trouve exceptionnel c’est qu’il a présenté des effets et des techniques ordinaires mais que sa mise en scène ont rendu extraordinaires. C’est d’une finesse et d’une intelligence de haut niveau bravo. Et c’est à méditer, des choses simples mais tellement bien présentées et mises en valeur pour aboutir à de superbes numéros. Il fait par sa narration et sa mise en scène d’un forçage par exemple un effet totalement surprenant pour le public. 

  • Merci 1

www.dedales-hypnose.fr

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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