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Publié le
l'important n'est il pas d'avoir trouvé une technique qui te permette de réaliser un effet et ce de la manière la plus directe et clean possible?

Tout à fait d'accord dub. Toutefois, savoir si la technique existe déjà ou non est important si on veut la publier.

Heu, les gars, j'ose espérer que vous vouliez écrire "foot count", et non "foot cunt", parce que cette faute d'orthographe peut devenir une faute de goût et/ou de politesse.

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Publié le (modifié)
Heu, les gars, j'ose espérer que vous vouliez écrire "foot count", et non "foot cunt", parce que cette faute d'orthographe peut devenir une faute de goût et/ou de politesse.

Pi cette technique a déja été publiée... :/

Pour ce qui est de la publication, certains auteurs écrivent tout bêtement qu'ils ont peut être réinventé la roue mais qu'il l'ont réinventé seul, et s'excusent d'avance auprès de la première personne ayant publié la technique si elle prend ombrage de cette ré-invention.

D'ailleurs, est on sur que la première personne ayant publié est réellement la première à avoir inventé la technique.....

N'ayant pas d'égo et encore moins de conscience, le fait de se targuer d'avoir inventé une technique et d'en ressentir de la fièreté m'a toujours fait doucement rigoler.

Par contre, je comprends que l'on cherche à savoir si sa découverte est améliorable et a été améliorée, mais le fait de la mettre en situation, de voir les limites et les points positifs, de réfléchir à nouveau, devrait suffire à cette progression.

Modifié par dub

Circulez !

Publié le

Nous comprenons tous pourquoi il est nécessaire de savoir si quelquechose a déja été crée ou non, à cause de nombreuses copies bien entendu..mais il y a aussi une raison plus bête... imaginons que chacun publie ce qu'il trouve, chacun aurait sa version de la LD et pour différencier tout cela, ca serait un boulot monstre, chacune serait différente à cause de la position du petit doigt à un moment précis etc...

Je pense que dès le moment où on est humble et où on travaille en toute honneteté, trouver soi-même quelquechose de deja existant (mais qui nous était inconnu) est aussi fort que de l'avoir découvert à l'époque...

Plus on avance dans le temps, moins il reste de choses à découvrir (logique!) donc plus c'est difficile...mais si on le trouve par soi-même , c'est une découverte perso et être autodidacte est tres jouissif parfois...

Bonne aprem a toutes et tous

Publié le

De toute façon, si tu as "redécouvert" une manip, tes collégues te le feront remarquer un jour ou l'autre.

Comme le dit M, on t'en voudra pas si tu as fait un travail sincére. Aprés tout, on ne peut pas tout connaître ! :)

Publié le

Merci pour vos réponses !

En fait si je pose cette question c'est que cela fait maintenant une année que je suis penché sur certains points (tours, techniques, objets magiques).

Je commence a coucher sur le papier un certain nombre de choses et je ne voudrais pas travailler pour rien !

:crazy:

Publié le

C'est aussi mon cas paluche, j'avoue que parfois je suis découragé parce que je me demande si j'ai vraiment pu avoir de bonnes idées (et si c'est le cas, pourquoi personne avant ne la criée sur les toits (cette idée))... Mais le plaisir que l'on ressent à faire avancer les choses à sa manière et discuter avec des gens qui donnent leur avis franchement, cela me remotive à chaque fois.. Bonne soirée à vous tous!

Publié le

Ce n'est jamais du temps perdu de passer de longs moments à plancher sur des effets, des techniques, des améliorations...

Coucher tout celà sur papier te permet de clarifier tes idées, de t'approprier les techniques, d'affiner leur compréhension.

Tout ce travail te fais progresser énormément pour définir "ta magie", c'est à dire, mettre dans les routines que tu exécutes ta touche perso.

Et si d'autres y ont pensé avant toi, ce n'est pas bien grave car tu auras progressé.

Bien sûr, si un jour, tu souhaites publier quelque chose, bah là, et seulement là, il faudra te mettre en quête d'antériorités possibles. Mais es-tu certain que ton travail est suffisant pour donner lieu à une publication (livre, DVD...) ? Rien ne t'empêche de communiquer sur ton travail dans la Virtual Room et d'attendre les commentaires qui fuseront si jamais tu as réinventé la roue...

Bon courage et bon travail...

Publié le

Merci a p@luche pour un gros eclat de rire... "foot cunt", c'est un nom interessant :) Seulement je ne pense pas que cunt soit le mot que tu ais voulu utiliser (c'est tellement vulgaire que je peux meme pas donner la signification sur un forum public).

Publié le
Vous vous réveillez ce matin avec l'idée du siècle un comptage de cartes avec les pieds. Vous avez même déjà trouvé le titre : Foot Cunt :D

[/fin du délire]

je pense que ce n'est pas tombé dans les oreille de n'importe qui, le PGCDM t'as piqué l'idée ( t'aurais du la publier avant)

Shimshi : «Magie cartes avec les pieds» (USA/Israël)

date et détail http://www.magies.com/textes.php?id=111253

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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