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Publié le (modifié)

j'aime : le côté psychologique en magie

j'aime pas : les fioritures et les paquets qui volent dans tous les sens

j'aime : faire rire les gens

j'aime pas : me la péter avec le petit sourire en coin "ca vous épate hein?"

j'aime : les cartes, les cordes, les balles en mousse (ilmago : ;)) le mentalisme, les pièces

j'aime pas : les GI avec des nanas en string

j'aime : les nanas en string........... tongue.gif;) :grin:

Modifié par J le Ma-J-cien

Choose your battles wisely.

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Publié le

J'aime : La mise en scène d'un effet

J'aime pas : Les routines ou l'on ne voit pas ou veut en venir le magicien

J'aime : Regarder une routine de pièces

J'aime pas : Faire une routine de pièces

J'aime : Chercher des solutions à des effets existants et de nouveaux effets

J'aime pas : Quand je n'ai aucune idée ou aucune inspiration

J'aime : Les magiciens qui sont simples, humble et qui ont de l'humour

J'aime pas : Les magicien arrogant, blassé et qui ont besoin d'un fan club pour se sentir exister

J'aime : Ce regard émerveillé quand un spectateur apprécie ce que l'on fait

J'aime pas : L'emmerd**r qui veut absolument faire rater votre tour car il a un complexe d'infériorité

J'aime : Voir des emmissions magiques à la TV

J'aime pas : Le magicien masqué et surtout le ton qu'il prend pour débinner un secret.

J'aime : VirtualMagie

J'aime pas : Ceux qui ne seront pas d'accord avec mon message ;) lol

L'imagination est plus importante que le savoir.
Albert Einstein

Publié le

j'aime pas les fioritures qui n'ont pour but que de montrer la dextérité du magicien

j'aime les spectacles( routines) où la présentation est soignée ,le scénario ficellé

j'aime pas les balles mousses, les piéces

j'aime les cartes et le mentalisme

j'aime mieux les livres que les dvd car ils (les livres) ne t'influence pas au niveau de la présentation.

j aime pas les magicos qui te font un tour avant de te dire bonjour

j'adore les spectacles qui me bluffe et donc j'adore bluffer les gens

je déteste les gens jaloux et il y en a beaucoup dans ce milieu

Publié le

houla, je me rend compte que j'en ai oublié pleins!

j'aime pas: mon jeu de cartes Dani Lary, avec 52 illusions d'optiques (une sur chaque carte, on voit plus les figures, ce jeu est inutilisable), même si c'est la femme que j'aime qui me l'a offert!

j'aime pas: le jour ou elle m'a quité! C'était si rapide qu'on aurait dit un mauvais tour de GI!

j'aime pas: qu'on me demande de refaire encore et encore le même tour! (c'est souvent le Pistolet de James Bond, de B Billis, moi qui est horreur du Faro...)

j'aime pas: le faro sus-mentionné.

j'aime: faire disparaître un foulard (non, pas de commentaire sur le fait d'être habillé ou pas!).

j'aime: regarder encore et encore l'école de la magie de DD.

les femmes viennent de Vénus...les hommes mangent des mars. (MC Solaar)

http://img24.imageshack.us/img24/2715/jeuo.jpg

Publié le

J'aime : me jetter avec 20Kg de chaine au cou dans une piscine

J'aime pas : manquer d'air

J'aime : la manipulation de petits objets (pieces, cigarettes, briquets)

J'aime PAAAAAS : les tours de cartes

J'aime pas : les accesoires de scene tout flashys avec des couleurs criardes et des plumes multicolores BEURK

J'aime : les petits gimmicks intelligents

J'aime pas : les descriptifs des tours dans les catalogues

J'aime : le moment de flotement stupéfait apres un effet réussis.

Publié le

J'aime: Dominique Duvivier, Allan Ackerman, Paul Gertner, Derek Dingle et Larry Jenings.

J'aime pas (trop): Chris Angel, David Stone

J'aime: Les beaux gobelets, les belles pièces, les cartes et les vieux objets

J'aime pas: le SDC, l'empalmage (on n'a pas le choix des fois!!)

J'aime: les lappings, les LD, les belles routines qui utilisent la psychologie plus que la technique et mles défis

J'aime pas: les gens sans humour et les magiciens qui se la pètent...

Publié le (modifié)

J'aime: - Voir la tête de mon bout de chou de 1 an 1/2 quand je fais disparaître un foulard

- Gaëtan Bloom, Dominique Duvivier, Otto Wessely, Juan Tamaris, Ali Bongo, Slydini, Michael Ammar, Jean Merlin, Criss Angel, Derren Brown, Pavel, John Cornelius...

- Les effets très visuels ou ceux qui ne le sont pas du tout ( j'aime moins les effets qui hésitent entre les deux)

- Lire les descriptions de tours entre les lignes écrites par les marchands de trucs

- VirtualMagie et les discussions qu'on peut avoir avec certains membres

- les bonnes GI avec des nénettes en string ( seulement si elles sont bien foutues)

- les tours réhaussés par un joli texte ou une belle musique

- le close-up, le mentalisme, le salon

- les cartes, les cordes

- inventer de nouveaux effets ou de nouvelles techniques

- le FI, le FP, les aimants, les encres sympathiques

J'aime pas: -les manipulations tarabiscotées

- les fioritures ( sauf quand elles sont un effet magique à elles seules)

- les pièces ( il faudra pourtant bien que je m'y mette un jour)

Modifié par Mike Yavel
Publié le

J’aime : David Williamson, Michael Weber

J’aime pas : Les fioritures et le techniques compliquées qui n’apportent rien.

J’aime : partir d’un effet et trouver une solution simple pour le faire

J’aime pas : faire compliqué quand on peut faire simple

J’aime : le filage en particulier et la misdirection en générale (c’est l’arme fatale)

J’aime pas : L’utilisation de matériel hors de prix

J’aime : Le regretté Tommy Wonder et sa fantastique trilogie « Visions of Wonder »

J’aime pas : la tendance moderne du « un effet = un DVD à 30€» (surtout que souvent les effets ne sont pas terribles)

J’aime : les réactions des spectateurs hallucinés

J’aime pas : les débineurs

J’aime : quand le Climax final est surprenant

J'aime pas: être sûr d'avoir oublié d'écrire quelque chose que j'aime

J'aime: le sujet "J'aime, j'aime pas" sur Virtual [bonne idée meeclin]

Cordialement,

MagicQt

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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