Aller au contenu

Recommended Posts

Publié le

Bien le bonjour à tous,

J'aimerais créer un effet de papier flash (ça c'est la partie simple ;) ), Le truc c'est que j'ai besoin pour cet effet que la flamme du papier soit colorée.

J'ai donc essayé de modifier du papier flash existant, en le trempant dans des solutions ioniques telles que des solutions de sulfate de cuivre ( brule vert) et de chlorure de potassium (brule rouge). Les résultats que j'ai obtenus sont prometteurs mais pas suffisant :/. Effectivement le papier brule avec la couleur souhaitée mais bien plus lentement que d'habitude (aussi vite que du papier standard en fait).

A mon avis les réactifs incrustés dans le papier flash se sont solubilisés dans l'eau, ce qui a fait perdre au papier ses caractéristiques.

J'ai donc cherché un peu chez divers marchands si l'un d'eux n'aurait pas ce que je recherche ( le mieux serait, à mon avis, serait du papier ionisé avant d'être passé au processus de flash) mais je n'ai rien trouvé de tel.

Je me tourne donc vers vous pour savoir si quelqu'un aurait déjà trouvé du papier comme je recherche ou bien si quelqu'un a déja reussi une modification comme j'ai essayé.

Merci d'avance
Octo

  • J'aime 1
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le (modifié)

tu trouveras chez www.panda-magic.com 

rubrique papier flash flamme colorée (bleu, vert, rouge)

il était au congrès de St Malo

c'est plutôt un grossiste, certaines boutiques revendent son produit sans donner son nom.

très bon produits notamment des billet en euros Flash

tu peux voir chez Paris Magic toute la gamme

 

 

Modifié par claudemage
  • Merci 1
  • 5 weeks plus tard...
Publié le (modifié)
Il y a 8 heures, Octo a dit :

Après avoir contacté Paris magic, il s'avère bien, comme je le craignais que ce n'est que le papier qui est coloré et non la flamme.

Auriez vous d'autres pistes?

 

www.panda-magic.com

COLOURED-FLASH-PAPER.jpg

Papier à flamme rouge verte bleu

Modifié par claudemage

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8336
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Jalal ROGUI
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.5k
    • Total des messages
      681.2k

×
×
  • Créer...