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[Réflexion] Groupes de travail magiques...


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Publié le

salut Fred et aussi tous les autres ,

L'idée de groupe de travail est théoriquement génial

mais j'y vois des petits bémols :

groupe de travail = un nombre minimun mais aussi maximum

car si 1 + 1 = 3

10+10 = 2

en résumé pour qu'un groupe ùmarche il faut peu de personne ...

J'adhère à l'idée mais avec un peu plus de précision sur l'organisation ...

En revanche les différences de niveaux sont moins importants que le nombre de personne ... cela peut etre enrichissant des deux cotés mais il faut de tout ...

un groupe de débutants n'apportera rien .. un groupe d'expert non plus ..

je vois donc plutot quelques choses comme 6 à 10 personnes par groupes , avec des niveaux différents... mais uniquement des personnes MOTIVES reellement !

donc je suis partant .. s'il y a plus de personnes , formons plusieurs groupe sur des thèmes differents !

Bruno

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Publié le

ce que tu dis n' est pas faux. aussi, une méthode qui est souvent utilisée dans les groupes de réflexion c'est de ne pas limiter le nombre de personnes qui réflechissent à un même sujet mais de créer des groupes de 4/5 personnes travaillant sur le même problème ( sans qu' il y ait communication entre les différents groupes). au bout d' un temps défini au départ, chaque groupe fait part aux autres groupes de ses trouvailles. si une solution a été trouvée, c'est génial, sinon on s' enrichit de la séance commune pour repartir avec de nouvelles idées et on retravaille sur le même problème pendant un temps fini ( éventuellement, en modifiant les personnes constituant les groupes)

Publié le

Pour le book test, quelqu'un, dans un lieu underground, avait rassemblé les avantages et inconvénients de nombreux booktests pour au final faire un "mother of booktests".

Un travail énorme, d'autant plus que cette personne a passé du temps à tout traduire en français. Le résultat en vaut la chandelle. Malheureusement, cette somme ayant été distribuée en peu d'exemplaires, chaque personne le garde jalousement.

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

On avance, on avance...

Ce sujet est volontairement ouvert dans le forum général pour justement inciter chacun à donner sa vision de la chose.

Je suis d'accord avec Bruno sur les "petits bémols" dont il parle.

Effectivement il y a longtemps que je défends l'idée du cerveau collectif organisé en petits groupes. Bonne mémoire Julien. :)

Quand j'étais au collège et que l'on avait sport, basket par exemple, le prof commençait par choisir le capitaine des 2 équipes. Puis chaque capitaine choisissait à tour de rôle les membres de son équipe. Et comme le sport cela me faisait ch... et que tout le monde le savait... j'étais choisi dans les derniers. Ce qui malgré mon indifférence au sport avait toujours un p'tit côté vexant ! Personne n'aime être celui dont personne ne veut même si on y a fortement contribué soi même !!!

Pourquoi je vous raconte cela ?.. Parce nous sommes dans une situation un peu identique aujourd'hui. Les débutants de ce forum se disent déjà qu'ils sont "foutus" d'avance et que l'on ne voudra pas d'eux pour participer à un groupe de travail sur un sujet dont tout le monde sait bien qu'il est miné puisque sujet à la "hiérarchie" du secret si chère à notre art ! :) Dur, dur d'être débutant !!!

Mais... il se trouve que le projet de 1° groupe de travail que j'ai proposé ne fait pas appel seulement à des connaissances en mentalisme. Il est cependant indéniable que ce sont les compétences de chacun qui orienteront naturellement les "chacuns" en question vers tel ou tel groupe. Puisque l'idée est de faire plusieurs groupe et que toute personne a des compétences dans un domaine ou dans un autre. Donc... point d'exclusion à priori à moins que vous soyez vraiment le roi des truffes qui ne sait RIEN faire. Ce que je refuse de croire.

Je propose donc que toute personne ayant une idée de groupe de travail propose une sorte de "fiche de projet" (j'aime pas trop l'expression "cahier des charges", le "cahier" me rappelle l'école et les "charges" me donnent l'impression d'un poids déjà trop lourd à porter). Cette fiche de projet pourrait être commentée et affinée par les membres du forum. Ensuite, en fonction des compétences recquises pour ledit projet chacun proposerait d'entrer dans le groupe de travail ou pas.

Dans le cas du book test il faut :

- 3 ou 4 mentalistes/magiciens connaissant bien les différents concepts et techniques utilisables dans le domaine. L'inovation n'est évidemment pas exclue :)

- au moins 2 rédacteurs connaissant bien des logiciels tels que Word.

- 1 graphiste pour réaliser une couverture pouvant donner à notre book test l'apparence d'un "vrai" livre du commerce.

- 1 groupe au nombre illimité qui ait envie de participer à un pré-brainstorming sur le forum pour "rêver" d'un résultat final même utopique mais dans lequel le groupe de travail effectif pourrait puiser ensuite des idées.

Si vous voyez autre chose à ajouter... dites le ! :)

Publié le

Ici un sujet concernant des méthodes pour stimuler la créativité que j'avais lancé sur un autre forum.

Des réponses/pistes intéressantes y apparaissent avec des interventions de Dominique Duvivier, Arthur Tivoli, brunomagie, Steve Fearson,... Il serait intéressant lors des brainstorming de tester quelque unes de ces méthodes.

A mon avis, on devrait aussi faire une distinction entre des groupes de travail actifs sur la création d'effets, ou de méthodes, ou de techniques, de textes,...

Publié le

Sur RétroMagie ;) le lien vers l'article de William Scott ne fonctionne plus !

Voici la bonne adresse !

Pour compléter les propos de Fred, je pense vraiment que dans tout projet, il faut absolument un moteur qui va va tirer les choses, garder de vue l'objectif, recadrer, modérer...

Le top étant qu'il soit solide et en même temps flexible pour accepter tous les types de carburants ! :)

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Publié le

à lire aussi, les bouquins de tony buzan sur le mind-mapping.

personellement je pense qu' on aura du mal à s' en sortir sans outil interactif ( type tableau blanc de MSN) notamment pour les séances de brainstorming.

si une idée parait trop originale ( ou trop irréalisable) aux yeux de certains, de longs messages suivront pour la critiquer, alors qu' avec un tableau blanc, tout le monde peut écrire son idée sur le dessin général et les autres enchaineront avec leur propre idée. trop pressés de noter leur idée avant qu' elle ne s' enfuit, il ne penseront pas à rejeter une idée à priori farfelue. c'est pour cette raison que el brainstorming se déroule de cette façon dans les entreprises. en outre, le fait de lire les idées des autres puis d' avoir le temps de les cogiter, de les faire murir, implique une focalisation sur une idée particulière ( qui parait particulièrement bonne). par conséquent, les associations d' idées sont plus difficiles à débusquer. et c'est bien dommage car parfois une idée qui parait excellente ne donne aucun résultat alors que l' idée farfelue porte ses fruits....

Publié le (modifié)

Il ne s'agit pas d'opposer les méthodes mais bien de les réunir.

Rien ne vous empêche de vous donner RDV sur ce que vous voulez (ce qui en soit n'est pas simple car il faut que les gens soient libres et aient un logiciel compatible).

Puis de faire un résumé en direct sur le sujet en cours !

Modifié par Thomas THIÉBAUT

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    • Certains tours de pièces peuvent être adapté aux pierres, je pense (pierre sous la table, disparition, réapparition, change de couleurs)  Et il y a pleins de principe en mentalisme comme ceux où l'on déplace des gobelets, pièces, runes... Le tour "the stone" de Doosung Hwang Peut-être dans ces livres que je ne connais pas : - Lucas Volpé - Mentalisme Émotionnel - Bizarremania de Fantomas - tour les pierres de vie Et voici des liens en plus de celui sur les 7 pierres du nils de Gwen Aduh Bonne lecture et au plaisir d'échanger sur ta future réalisation, car je cherche moi aussi @Alexis DUDZIAK m'a donné envie de créer ma propre routine avec des pierres 😉
    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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