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Un conseil,gardez vos fils que vous avez deja chez vous,peu importe la marque.

Je me demande quel est l'utilite de ce fil,il ne sert a rien et presenter cela comme une revolution de la part du petit magicien,il y a tromperie sur la marchandise.

J'ai perdu 20 euros.

  • Embarrassé 1
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Publié le (modifié)

Désolé, mais je ne partage pas - pour l'instant - vos rejets. Je ne vous critique pas, je sais que c'est ce que vous pensez, honnêtement.
Mais je souhaite analyser le problème plus à fond, de mon côté.

Pour cela, je procède par paliers d'essais. Pour l'instant, je conserve les Venom avec leur fil Venom, on verra plus tard. Je ne noircis pas non plus le fil, là aussi on verra plus tard.

Premier essai : détressage du fil fourni. À ce niveau, j'ai des doutes sur le fait que le fil soit tressé au niveau le plus fin (ce serait un exploit, au niveau moléculaire !). Car j'avais commencé par isoler l'un des fils de la tresse, pour l'extraire. Je pensais y être parvenu et, en triturant celui que j'avais isolé, je me suis aperçu qu'il ne s'agissait pas du plus fin : il s'est encore divisé en brins plus fins.
C'est donc l'un de ces brins (hyper fins) que j'ai sorti de l'écheveau. En scotchant son extrémité sur une table et en tirant progressivement (10 cm par 10 cm) dans l'autre sens le petit bourron de fil qui se formait. Et en ventilant vers l'arrière ce genre de bourron, pour l'étirer et retrouver des fils parallèles. Aucune difficulté, j'en ai sorti ainsi environ 1 mètre, pour des essais.
Une petite boule de cire Messika à chaque bout, en fils perpendiculaires comme expliqué dans la vidéo des Venom. Car je n'utilise plus de Blu-Tack ou autres Patafix avec les FI, le fil finit trop souvent par glisser ou passer à travers la boulette, sous tension.
Puis j'ai remis en forme ce qui restait en l'étirant, tout est correct à la fin, en attendant le prochain détressage.

Une seule difficulté rencontrée : parvenir à voir le fil... J'ai été obligé de l'éclairer fortement avec une lampe de poche à LED, très puissante. J'ai pensé l'avoir perdu plusieurs fois, ou bien l'avoir cassé en le tirant, mais non, il était toujours là, bien solide. Et une finesse comme j'en ai rarement vu.

En éclairage moyen (pas en éclairage violent de bureau, en éclairage de home sweet home), je ne vois pas du tout le fil. Seules les boulettes de cire sont là pour me rappeler sa présence. Et quel que soit le fond.

J'ai ensuite essayé le test suprême : montrer le fil à quelqu'un possédant des yeux de Lynx, capable de voir la poussière restante quand je viens de passer l'aspi. Et une lumière forte (mais unidirectionnelle). Avec la lumière de côté, en le cherchant, cette personne voyait parfois faiblement certaines parties du fil (surtout son extrémité).
Mais avec la lumière derrière moi, elle ne l'a jamais vu. Même sur mon vêtement noir.

Partant du principe que tout FI est visible face à de mauvaises conditions d'éclairage, je me demande donc s'il est si important que ça de le noircir. Pour l'écheveau complet, sur scène, je pense que oui, mais je n'en suis pas encore là.

Autre constatation : il n'a jamais cassé et pourtant je n'en ai pas pris un soin extrême. D'habitude, quand je détresse un fil très fin et que je le cherche, il finit souvent par casser, sous une tension accidentelle. Mais avec Xtra, pas du tout. Je le tirais, le soulevais, je ne le voyais plus, mais je le sentais sur les doigts, toujours là, intact.
Pour le casser, j'ai dû tirer dessus très fortement. Le plus simple, pour l'arrêter, c'est donc de le couper avec des ciseaux.

Ci-dessous une photo prise à la loupe, montrant l'écheveau en partie détressé et des fils fins commencer à s'en échapper.
L'écheveau est déjà fin, mais on voit bien la multitude de fils très fins qui le composent.
Et surtout (flèche verte) le fil le plus fin que je pensais avoir isolé. Et qui s'est divisé en un fil encore plus fin (flèche rouge). C'est ce dernier que j'ai utilisé pour le sortir complètement, sur une longueur d'un mètre.

Donc, pour moi, solidité et invisibilité exceptionnelles. Sauf en forte lumière directe, là il brille (heureusement, sinon je ne pourrais pas le repérer). :)
Bonjour pour faire des nœuds avec.
D'après ce que j'ai cru comprendre, c'est du kevlar, ce qui expliquerait sa solidité.

Prochaine étape : soulever un étui de cartes rempli de ses 52 cartes, avec son aide. Pour l'instant il se repose, collé contre une horloge franc-comtoise...

Xtra.jpg.79a85ef5a7eff4f13c6b4acb6b19f509.jpg

 

Modifié par Edler
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Citation
Quand on veut on peut.
Publié le
Il y a 15 heures, Edler a dit :

Désolé, mais je ne partage pas - pour l'instant - vos rejets. Je ne vous critique pas, je sais que c'est ce que vous pensez, honnêtement.
Mais je souhaite analyser le problème plus à fond, de mon côté.

Pour cela, je procède par paliers d'essais. Pour l'instant, je conserve les Venom avec leur fil Venom, on verra plus tard. Je ne noircis pas non plus le fil, là aussi on verra plus tard.

Premier essai : détressage du fil fourni. À ce niveau, j'ai des doutes sur le fait que le fil soit tressé au niveau le plus fin (ce serait un exploit, au niveau moléculaire !). Car j'avais commencé par isoler l'un des fils de la tresse, pour l'extraire. Je pensais y être parvenu et, en triturant celui que j'avais isolé, je me suis aperçu qu'il ne s'agissait pas du plus fin : il s'est encore divisé en brins plus fins.
C'est donc l'un de ces brins (hyper fins) que j'ai sorti de l'écheveau. En scotchant son extrémité sur une table et en tirant progressivement (10 cm par 10 cm) dans l'autre sens le petit bourron de fil qui se formait. Et en ventilant vers l'arrière ce genre de bourron, pour l'étirer et retrouver des fils parallèles. Aucune difficulté, j'en ai sorti ainsi environ 1 mètre, pour des essais.
Une petite boule de cire Messika à chaque bout, en fils perpendiculaires comme expliqué dans la vidéo des Venom. Car je n'utilise plus de Blu-Tack ou autres Patafix avec les FI, le fil finit trop souvent par glisser ou passer à travers la boulette, sous tension.
Puis j'ai remis en forme ce qui restait en l'étirant, tout est correct à la fin, en attendant le prochain détressage.

Une seule difficulté rencontrée : parvenir à voir le fil... J'ai été obligé de l'éclairer fortement avec une lampe de poche à LED, très puissante. J'ai pensé l'avoir perdu plusieurs fois, ou bien l'avoir cassé en le tirant, mais non, il était toujours là, bien solide. Et une finesse comme j'en ai rarement vu.

En éclairage moyen (pas en éclairage violent de bureau, en éclairage de home sweet home), je ne vois pas du tout le fil. Seules les boulettes de cire sont là pour me rappeler sa présence. Et quel que soit le fond.

J'ai ensuite essayé le test suprême : montrer le fil à quelqu'un possédant des yeux de Lynx, capable de voir la poussière restante quand je viens de passer l'aspi. Et une lumière forte (mais unidirectionnelle). Avec la lumière de côté, en le cherchant, cette personne voyait parfois faiblement certaines parties du fil (surtout son extrémité).
Mais avec la lumière derrière moi, elle ne l'a jamais vu. Même sur mon vêtement noir.

Partant du principe que tout FI est visible face à de mauvaises conditions d'éclairage, je me demande donc s'il est si important que ça de le noircir. Pour l'écheveau complet, sur scène, je pense que oui, mais je n'en suis pas encore là.

Autre constatation : il n'a jamais cassé et pourtant je n'en ai pas pris un soin extrême. D'habitude, quand je détresse un fil très fin et que je le cherche, il finit souvent par casser, sous une tension accidentelle. Mais avec Xtra, pas du tout. Je le tirais, le soulevais, je ne le voyais plus, mais je le sentais sur les doigts, toujours là, intact.
Pour le casser, j'ai dû tirer dessus très fortement. Le plus simple, pour l'arrêter, c'est donc de le couper avec des ciseaux.

Ci-dessous une photo prise à la loupe, montrant l'écheveau en partie détressé et des fils fins commencer à s'en échapper.
L'écheveau est déjà fin, mais on voit bien la multitude de fils très fins qui le composent.
Et surtout (flèche verte) le fil le plus fin que je pensais avoir isolé. Et qui s'est divisé en un fil encore plus fin (flèche rouge). C'est ce dernier que j'ai utilisé pour le sortir complètement, sur une longueur d'un mètre.

Donc, pour moi, solidité et invisibilité exceptionnelles. Sauf en forte lumière directe, là il brille (heureusement, sinon je ne pourrais pas le repérer). :)
Bonjour pour faire des nœuds avec.
D'après ce que j'ai cru comprendre, c'est du kevlar, ce qui expliquerait sa solidité.

Prochaine étape : soulever un étui de cartes rempli de ses 52 cartes, avec son aide. Pour l'instant il se repose, collé contre une horloge franc-comtoise...

Xtra.jpg.79a85ef5a7eff4f13c6b4acb6b19f509.jpg

 

J'ai détresser exactement pareil que toi le fil mais je l'ai montré à ma fille et mes parents en condition de luminosité normale et bien le fil est beaucoup visible il réfléchit fortement la lumière j'ai bien regardé si il ne fallait pas le detressé encore plus mais non je suis au plus fin dommage

Publié le

Alors j'y vais de ma critique aussi!

Reçu cette semaine et détressé et monté sur les venoms cet après midi.

Quand on le manipule il a effectivement l'air très très solide...mais bizarrement il ne cesse de casser dans les venoms quand on le monte en double ITR...

Il est effectivement très très réfléchissant donc pour l'utiliser il faut plus que jamais savoir utiliser les ombres et se placer selon les sources lumineuses...

Là où le petit magicien n'a pas été honnête c'est qu'il le compare au Vectra sur une surface blanche!!! et effectivement ce fil étant blanc transparent il est totalement invisible dans ce cas...mais comparez le sur une surface noire et c'est absolument le contraire: le vectra ou le venom disparaissent et on ne voit plus que le Xtra!!!

 

enfin dernier point mais non le moindre...

étonné de cette apparente solidité mais de sa fragilité une fois monté j'ai décidé d'utiliser un petit microscope de poche acheté chez Nature et découvertes il y a quelques mois et qui s'avère très pratique et performant (je vous le conseille fortement pour 25 euros c'est un vrai bijou et on s'éclate à regarder pleins de trucs microscopiques!!!): et là SURPRISE: le brin est irrégulier, se vrille sur lui même, le diamètre est tantôt large, tantôt très fin...et en avançant sur le brin on comprend vite pourquoi: le brin s'use et s'effiloche (non non j'avais bien détressé à fond!) mais il se casse en micro brins qui le fragilisent...

vectra et venom comparés, ils restent réguliers et aucune trace d'usure en s'effilochant...

 

je n'ai pas essayé en le colorant mais je me doute que certains solvants de marqueurs vont le détruire encore plus vite...

 

au final, je déconseille pour ma part...pas fiable à l'usage...

 

photo du microscope:

 

 

650.jpg

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Je vais jusqu'où je suis. Je n'y suis pas encore.

 - Je suis plus intelligent que vous, Laissez-moi vous fournir un exemple... Pensez à un chiffre, n'importe lequel
- Euh, cinq  ...
- Faux. Vous voyez ?
mdr

Publié le

Faut toujours se méfier quand c’est marqué « ultime », « ultimate », « best » etc.. Bref, je garde mon Vectra et j’en suis plus que content :D

Publié le (modifié)

J'ai fait un nouvel essai cet apres midi,ca me faisait [grossièreté] de perdre 20 euros et de laisser ce fil de cote,je me suis dit que je n'avais pas bien separer les brins.

Il n'y a rien a en tirer de ce fil,decidement,j'ai pris le brin le plus fin et il se separe de lui meme en le manipulant,il ne vous reste dans les mains des fils de differentes longueur donc inutilisable.

Le petit magicien,vous devriez retirer ce produit de votre site,ce produit ne fait pas honneur a la magie,c'est de la pure tromperie.

J'ai dans le passe acheter pas mal de tours dans votre magasin,ce sera la derniere fois,je me suis fait avoir et je ne comprends pas que vous puissiez vendre un produit aussi bas de gamme.

C'est le pire fil invisible que j'ai eut en ma possession.

Bref degoute de mon achat.

Modifié par lilyjane13

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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