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Publié le

Bonjour à toutes et tous,

Voici l'avant dernière vidéo de la saison. j'ai galéré pour la tourner car tout le monde dormait à la maison, il était tard et je ne pouvais pas mettre autant d'énergie que d'habitude, mais promis, je ferais mieux la prochaine fois.

je vous souhaite un bon visionnage et je vous donne rendez-vous la semaine prochaine pour le dernier épisode de la saison et il s'agit d'un tour personnel (encore un).

Abonne-toi, montre cette vidéo partout (à tes amis, tes ennemis, tes parents, tes copains et copines, tes collègues de taf, ton chat (il va kiffer) et je te souhaite un bon visionnage

Bise

Stef

[video:youtube]

PS : Ah oui j'allais oublier, n'hésite pas à commenter et à laisser un pouce bleu !!!!!!!!!!!!

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Publié le
[...]à tes amis, tes ennemis, tes parents, tes copains et copines, tes collègues de taf, ton chat[...]

Pour le pratiquer moi-même de temps en temps, cet effet comique tire sa force de la longueur de la liste et surtout de son incongruité.

Cela étant précisé, adepte du fact checking, j'ai montré la vidéo au chat de mon voisin de palier et celui-ci ne semble pas avoir réagi comme convenu. Je suis donc descendu à la loge de ma gardienne pour vérifier avec son chat (je soupçonne celui de mon voisin d'être neurasthénique) et cela semble avoir fonctionné (si tant est que se faire griffer dénote un certain enthousiasme du dit chat).

Toutefois, bien que quelques chats ne puissent pas constituer un échantillon représentatifs de la population, deux chats (dont l'un réagit l'autre pas) encore moins. J'ai donc tenté l'expérience avec celui de mon libraire (personnage assez acariâtre au demeurant, très souvent à la ramasse lorsqu'il s'agit de vendre une revue un tant soit peu originale, comme Society, par exemple, à ses débuts). A ma grande surprise, miaulement feutré. Des copains ayant eux-même un chat, je décide de conclure avec eux. Résultat des courses, une seconde léthargie, une réaction qui m'a poussé à demander à mes amis si leur chat n'était pas souffrant. Le drame, le félix venait de claquer. Autant dire que je ne me suis pas attardé d'autant plus que cela aurait pu être causé par cette vidéo dont je me suis empressé de dire que je n'en connaissais pas l'auteur (je vous prie camarades VMistes, d'excuser cette petite lâcheté au passage).

Retour à la case départ : Quatre chats, deux réactions, deux indifférences (dont une liée à un état cadavérique dont la cause reste cependant inconnue à l'heure où j'écris ces lignes mais ne permettant néanmoins pas de conclure).

Ayant quand même un métier et peu de temps pour approfondir la question animalière, je décide donc de m'en remettre aux lumières de Melvin, notre spécialiste du vivant. Je te pose donc la question : selon toi, Mel, un chat peut-il "kiffer" une vidéo de Stéphane Gomez ?

Publié le

Coucou maximecaribou,

Je ne connaissais pas la version de Dominique et on peut voir des similitudes avec ma version mais le mode opératoire n'est pas du tout identique.

En tout cas, j'aime beaucoup sa version ^^

merci pour ta remarque et pour la référence.

bise

Stef

  • 4 années plus tard...
Publié le

Dans la famille des effets de type  "collectors" :

Jean-Pierre Vallarino a commercialisé un « Super Collectors » (avec les cartes requises) qui mérite d'être retenu car plutôt direct et convaincant :

 

De son côté, Joshua Jay a sorti un livret explicatif (142 pages) sur le sujet « OverLap ». Il inclut un DVD (pour les démonstrations) et les cartes spéciales requises pour une vingtaine d'effets dont « Collectors and Back Again ». Il s'agit d'un tour de petit paquet avec les quatre As tenus en main et trois autres cartes quelconques extraites du jeu (par le magicien), placées dans l'étui (vide) puis retrouvées entre les quatre As tenus en main. C'est son effet « Collector ». La routine se poursuit par les quatre As qui disparaissent magiquement (pas de lapping) pour ne laisser en main que les trois cartes quelconques qui sont alors distribuées face en l'air une par une sur le tapis. Les quatre As sont retrouvés dans l'étui d'où ils sont extraits. C'est son effet transposition (évidemment, on ne peut rien laisser à l'examen).

Sinon, la version sophistiquée de « Collector » de Duduv54 (Anthony) figure dans mon top 3. Elle s'inspirerait de Syd Segal et d'Irving Quant. Je l'avais téléchargée en 2012 mais bizarrement on ne la retrouve plus sur ses chaînes internet (Youtube ou Dailymotion). Par contre elle a manifestement été clonée (vidéo en français sous-titrée en anglais) sur un site japonais (après la publicité initiale) :

https://v.youku.com/v_show/id_XNTU5MDkzNDg4.html?spm=a2hzp.8253869.0.0

La version de David Regal intitulée « Illegal Collections » sur son DVD More Tricks (vol 2) utilise un jeu à dos rouge et un jeu à dos bleu. Les trois cartes sélectionnées dans le jeu rouge respectivement par trois spectateurs sont nettement perdues dans ce même jeu avant de réapparaître entre quatre As à dos bleu (extraits du jeu bleu devant les spectateurs). La routine ne requière aucune carte gimmick mais il faut prendre connaissance (sans que le spectateur ne le sache) des trois cartes à dos rouge choisies librement et les mémoriser (avant d'extraire les As du jeu bleu). Le principe utilisé est absolument génial et permet éventuellement de terminer avec deux jeux de cartes complets qui peuvent être examinés. L'impact sur le public est vraiment très fort car aucun mouvement suspect n'est effectué et les trois cartes rouges sélectionnées semblent voyager magiquement entre les As à dos bleu tenus en main. Je pense que l'exploitation d'un chapelet voire d'un jeu marqué pour prendre connaissance secrètement des cartes choisies est une alternative à la méthode utilisée par David Regal. On peut ainsi faire remettre les cartes par les spectateurs eux-même à trois endroits différent du jeu rouge étalé en ruban avant de l'égaliser très clairement.

Sinon, j'ai créé une routine que j'ai nommée « Les Chasseurs » (sous-marins) qui s'inspire d'une part du collector de Martin Nash intitulé « Slow Motion Sleight of Hands » sur son DVD The Very best of Martin Nash (vol 1), et, d'autre part, de la routine « Aces in Their Faces » (une assemblée d'As) commercialisée en 1997 par Bob Kohler :

 

 

Retraité de Météo-France, je suis passé de la Prévision à la Prédiction 😉

  • Thomas changed the title to Tours A La Gom'ch S.01/EP.08 - THE GOM'CH COLLECTOR

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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