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Publié le
Visible chez Ludo :) Cela m'a l'air tentant...

ecrire-pour-la-magie.jpg

Je l'ai acheté mais n'ai pas encore eu le temps de le lire. Je compte bien m'y plonger dedans le plus rapidement possible....

NIRAG

www.nirag.fr

Envie de votre propre acrostiche personnalisé ? Contactez moi.

Publié le

Je dois avouer que je ne connais pas l'auteur mais son CV semble impressionnant.

En comparaison avec d'autres livres, je trouve juste dommage que la description disponible sur les boutiques en ligne soit aussi sommaire pour celui-ci.

J'ai toujours une appréhension sur les bouquins qui traitent uniquement de théorie ou sur les méthodes d'écriture en générale.

Alors je suis impatient d'avoir un retour et en savoir un peu plus.

D'ailleurs, j'imagine très bien une discussion sur ce bouquin dans un épisode du Magigazine... (appel du pied pas très subtile, j'en conviens :) )

Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller - Nietzsche -

Publié le

Ce livre est édité par l'Académie de Magie et il est prévu que Mathieu nous en fasse un CR.

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Publié le

On en as parler hier soir au club, personne n'as encore tout lu mais cela parait bien. Et bien moins lourd que les ateliers d'écritures etc qui sont souvent moins ciblé.

Je vous en dis plus dès que j'ai un exemplaire.

;-)

Publié le (modifié)

J’ai lu ce livre en mode « rapide », lors d’un WE chez Camalot du TMC, qui l’avait acheté, entre deux sessions de magie contée…

Globalement, je trouve que c’est un bon livre :

Il va pousser les gens à mettre un scénario écris en place, ce qui ne peux pas faire de mal.

Il reprend des choses que l’on retrouve en magie contée, des techniques et des concepts connu de ceux écrivant des scripts et autres scénarios, mais que certains magicien ignorent encore.

(Tu vas retrouver certaines choses qu'on a vu lors du stage de magie contée, Nirag ;) )

Par contre, je ne suis pas d’accord avec la façon de prendre le problème, dans certains cas :

C’est un écrivain, et ça se sent…

Et il préconise d’écrire (ben oui, c’est le titre du bouquin…)

Le magicien doit travailler oralement ?

Ben il dit simplement (en substance) : « il faut bien sûr adapter le texte écrit pour qu’il passe bien à l’oral. »

Arg.

Quand on voit le travail que ça demande pour faire un texte qui tombe bien à l’oral, c’est prendre cette partie du boulot avec un peu de légèreté, je trouve.

La méthode que je recommande, moi qui ne suis pas une vedette de télé, de théâtre ni d’aucune autre façon, c’est de travailler son texte A L’ORAL, à haute voix.

Et une fois que le texte fini par bien tomber, là, on peut le retranscrire à l’écris, en tant qu’aide-mémoire, mais pas sous forme littéraire :

Sous la forme phonétique exacte qu’on a utilisée pour le dire tout haut.

Cela va éviter les formes qu’on ne prononce pas normalement… tiens, « cela », par exemple :

La plupart du temps, quand on parle normalement, on ne le prononce pas, on dit « ça » :

« Cela me convient » est une forme écrite.

« Ça me convient » est une forme orale, la forme familière étant même : « ça me va »

Et des mots pièges comme ça (cela ?), il y en a plein.

Des tournures pièges, des syntaxes, des temps de conjugaison etc.

Bref, travailler dès le début son « texte » à l’oral, c’est tout benef.

Lui préconise d’écrire…

Il préconise une structure qui s’adapte bien à la magie :

Situation initiale, élément déclencheur, exposition, résolution, climax. (Je la redis de tête, il est possible que je me plante…)

C’est une forme qui est adaptée à une magie simple, ça marche. (Mais pas à de la magie contée, ou alors très simplifiée…)

Un autre point qui m’a titillé aussi :

Il préconise les unités de temps, d’action, de lieu…

Bon, en magie contée, on n’est absolument pas limité par ces c0nventions (arf: correcteur automatique de VM qui transforme c0nvention en congrès, je te hais...).

Mais en magie tout court, admettons qu’on accepte ces limites…

Cependant, il préconise aussi l’unité de personnage, et de valeur morale (je ne sais plus quel est le terme qu’il emploie…)

Là, pas d’accord :

Certains des meilleurs spectacles que j’ai vus ont un retournement de personnage en cours de route, et ça passe très bien vis-à-vis d’un public moderne.

Quand à éviter tout ce qui n’est pas politiquement et socialement correct…arf : pas d’accord du tout !

O, ok, si vous voulez ne pas faire de vague, restez dans le bienpensant…

Mais le public, moi le premier, aime aussi être surpris, et un ton dérangeant est pour certain une stratégie de succès.

Je ne dis pas qu’il faut tomber dans le scatologique (quoique…s’il y a le talent…), mais on peut faire autre chose que du bisounours…

Mais bon, c’est une opinion, on est libre de ne pas tout partager d’un livre…

A, une grosse erreur vers la fin :

Il explique que si un auteur qui publie un tour ne dit pas que la présentation de ce tour en public est interdite, on peut y aller…

Hors, il ressort des (longues…) discussions que nous avons eut ici même, et des textes juridiques qui ont été produits par les uns et les autres, que c’est le contraire :

Quand un tour est publié, on ne peut le reprendre tel quel par défaut : il est automatiquement protégé par la propriété intellectuelle.

Il faut l’autorisation explicite de l’auteur pour le reprendre à l’identique en public.

Cette petite erreur sur la législation Française ne remet pas l’intérêt du livre en cause, comme je l’ai dit, il comporte des modèles et des réflexions très utiles pour quelqu’un n’ayant pas travaillé la création d’un numéro de façon structurée.

Il expose vers la fin un système de script, mais bon, j’ai zappé le paragraphe :

Je considère que chacun peut (et doit ?) se créer un système personnel, car il est rare d’avoir le même ressentit qu’un autre sur un système de notation… (Il y en a qui font des tableaux, des colonnes, qui utilisent des couleurs, des ponctuations spécifique pour [les gestes] ou {les sentiments exprimés}, ou le texte muet etc.

Au moins y verra-t-on un exemple de ce qu’on peut faire, et qui peut donner des idées à des gens n’en ayant pas pour développer le leur…

Bon, ensuite, c’est je pense un ouvrage de découverte :

Si on veut vraiment se lancer dans les personnages, les structures d’histoires et autres aspect techniques du spectacle, on peut se rallier à la littérature publiée pour le théâtre et le cinéma, la télé (ou d’autres disciplines…), qui comporte des ouvrages autrement plus précis et détaillés.

Mais tel quel, c’est un bon début, et facile d'accès...

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

  • 4 weeks plus tard...
Publié le

Je viens de finir de lire cet ouvrage.

C'est vraiment très inspirant. Félicitations à l'auteur. Je le recommande à n'importe quel magicien qui travaille devant du public que cela soit en Close-Up ou en scène.

Sa lecture ne pourra que vous faire progresser dans la conception de ce que vous proposez.

Votre magie en sortira à coup sûr renforcée.

Bref un indispensable à lire et relire régulièrement.

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  • 3 months plus tard...
Publié le

Voici un petit compte-rendu d'Ecrire pour la magie, écrit par Benoît Grenier.

Introduction

Tout d'abord, ce livre (de 170 pages) peut se lire vite, très vite.

Et on peut l'oublier tout aussi vite.

C'est surtout ce qu'il ne faut pas faire.

Il faut au contraire prendre son temps pour le lire, et chercher à tout instant ce qu'il peut nous apporter.

Que vais-je apprendre ?

Ce livre ne nous apprendra pas de techniques ou de routines.

Mais il apporte le plus important : comment passer d'une routine banale, à un tour qui pourra subjuguer les spectateurs.

En effet, Benoît Grenier s'attarde beaucoup sur les notions de personnage et d'univers du magicien.

Et c'est ce qui fait toute la différence entre un "montreur de tours" et un "enchanteur".

Chaque routine, même la plus simple, la plus galvaudée, celle avec laquelle vous aviez commencé vos premiers tours de magie, peut renaître de ses cendres et devenir une véritable perle, si vous mettez l'accent sur votre personnage et votre mise en scène.

Le(s) style(s)

Benoît Grenier explique dans son ouvrage comment trouver le(s) style(s) approprié(s) à son personnage et donc à ses routines.

Il ne nous donne pas de modèle prêt à l'emploi, mais des astuces ou des exercices pour trouver son propre style. Il part ainsi des classiques de la littérature et de la dramaturgie, pour ensuite proposer des pistes pour la magie ou les histoires contées.

Le personnage

Un chapitre est ensuite consacré à la création de son propre personnage.

La structure

Puis, l'auteur passe à la structure (sujet/objectif/obstacle/révélation)

Comme cela a été mentionné sur ce forum, il aborde bien les bases de la dramaturgie, notamment la règle des 3 unités, mais pour préciser que celles-ci ne sont plus adaptées à notre époque et notre art (! ... )

Il mentionne ensuite les 3 actes et la notion de climax.

Cela peut paraître simple à certains, mais si toutes les routines de magie étaient développées avec un contexte et une structure appropriée, les "Pas mal" que l'on entend trop souvent auprès de certains magiciens se transformeraient quasi-systématiquement en "Whaouuu !".

L'écriture

Les chapitres sur l'écriture ne sont pas les plus intéressants. Il suffit de retenir qu'il est important d'écrire pour garder la structure et le rythme d'une routine, de savoir apporter les paroles qu'il faut quand il faut, et de prendre en compte la gestuelle, le matériel et l'environnement.

Le spectacle

Enfin, Benoît Grenier finit par un chapitre très intéressant pour créer son propre spectacle qui ne peut être qu'une succession de tours. Il développe donc l'arc narratif pour pouvoir amener petit à petit les spectateurs dans notre univers et les tenir en haleine jusqu'au bout du spectacle.

Le script qu'il propose est également intéressant si on s'y attarde : on retrouvera les différentes phases d'une routine, qui se base plus sur la relation entre le magicien et le spectateur, plutôt que sur le tour en lui-même.

A qui s'adresse ce livre ?

Sa simplicité lui permet d'être abordable par les débutants en magie.

Cela leur évitera de s'engouffrer dans un rôle de présentateurs de tours à la chaîne.

Mais il s'adresse également à tous les magiciens qui souhaitent sortir de ce rôle réducteur, qui recherchent leur style, ou qui souhaitent améliorer sensiblement la portée de leurs routines auprès du public, tout en leur conférant une touche personnelle.

Quel prix ?

30 Euros

Ou le trouver ?

Chez votre revendeur de magie préféré.

Est-ce que je le recommande ?

Oui ! Mais comme pour une routine, il faut travailler par la suite pour pouvoir en tirer pleinement profit ...

Hudour Breizh ...

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    • Description Vous prenez un cube solide, vous le compressez visuellement en une pièce plate. Et voici la partie étonnante : grâce à sa conception ingénieuse, vous pouvez toujours tourner le cube ! Vous pouvez maintenant terminer le tour ici… ou aller plus loin : compressez-le à nouveau, et il devient si fin qu’il tient dans votre portefeuille. Sentiment Au premier visionnage : c'est de la vraie magie grâce à la dernière partie en pièce plate qui a un effet "wahou" incroyable.  En plus c'est du Henry Harrius donc la confiance est là et le tarif est très attractif ! Bref, sonnez hautbois, résonnez musettes! Le graal magique est là, le miracle, la vraie magie !  Les idées pour intégrer ce tour dans mon set se bousculent et là je prends le temps de la réflexion sur les contraintes : besoin d'une veste, etc. Je me refais le visionnage 2-3 fois : non, pas de t-----, pas besoin de veste. Parfait Puis mon cerveau, passé l'enthousiasme, se met enfin en mode réflexion  du type "la vraie magie n'existe pas" . Alors passer du cube ou mini-cube, mon cerveau comprend que c'est mécanique, c'est cohérent, cela s'explique mais reste sympa visuellement (mais nous ne sommes pas dans le miracle) - En revanche, passer du mini-cube au cube plat, mon cerveau répond "impossible" à moins d'un c-----. Du coup, je revois le trailer et je me dis "oh les beaux cuts" et là la magie s'envole car c'est l'enchainement des 3 tailles qui m'avait estomaqué. Sans oublier que le cube normal ne semble pas tourner. Pour être sûr, j'ai cherché une performance en live et là c'est moins magique... Alors le concept reste très sympa, j'aime beaucoup l'idée. Avec un management d'audience qualitatif associé à la fameuse parenthèse et surtout à un culot monstre (car l'illusion du plat en volume en close-up et non sur scène, il faut oser...), cela peut avoir un rendu chouette mais ce n'est plus le rêve (impossible j'en conviens) que le trailer nous vend. Du coup, au regard de mes contraintes (angles, poches pleines en blouse rose à l'hosto, etc.) , l'achat n'est plus certain.  En conclusion : à 51 ans, j'ai réussi à être d'une naïveté touchante ou consternante (selon les points de vue) en croyant contre toute logique physique/mécanique quelques minutes que l'impossible était possible 😄 Je me voyais déjà avec ma petite plaque dans le portefeuille (super pocket management), la sortir et laisser le miracle, graal du magicien, s'accomplir 🤣 Je me mettrais bien des claques, tiens ! Pour l'achat, si le mini-cube peut-être donné à l'examen pourquoi pas...mais j'en doute. Ceci dit associé à une autre routine de cube, cela peut faire un combo incroyable. Bref du potentiel et un bel effet visuel. J'aime beaucoup mais la carte ne va pas chauffer tout de suite.   En performance sans cut   Alors êtes-vous séduit ou non ?  
    • Je suis allé 14 fois au congrès AFAP puis FFAP (FFM à présent). La première fois, souvenir mémorable pour moi, étant le congrès d'Angers en 2007. Je peux vous dire que je l'ai attendu le jour où allait commencer ce congrès. J'avais hâte d'y être et ce fut vraiment fabuleux. Un coût pas excessif...aujourd'hui ça l'est presque devenu car même si il est vrai que le prix de départ (avant augmentation) n'a pas augmenté tant que ça en 17 ans (j'avais dû payer dans les 160€ en 2007 contre 195€ pour le congrès de cette année il me semble, soit une augmentation d'environ 20% en 17 ans), les plateaux, à quelques exceptions près comme à Besançon (mais je sais quelle a été la particularité financière de cette année), sont plus au rabais et surtout annoncés trop tardivement ce qui fait que pour bénéficier d'un prix qui n'est pas trop excessif, il faut miser sur l'inconnu. Conséquence : très peu de nouveaux "clients" et des personnes qui y allait chaque année comme moi qui n'y vont plus qu'une fois sur deux et encore, quand ce n'est pas trop loin. Car le coût, c'est aussi l'hôtel et le transport (l'autoroute en particulier) qui ont bien augmentés. Autant on pouvait trouver facilement une chambre pour 50-60€ dans un 1ère classe, un Ibis ou un B&B (pas AirB&B mais B&B, la chaîne d'hôtels) jusqu'à 2019 (avant covid) et on se mettait à 2-3 magiciens (pour le transport aussi), autant aujourd'hui, on trouve rarement quelque chose de correct en dessous de 80-90€ pour ces hôtels alors on se rabat sur un AirB&B dans les 60-70€ avec un peu de chance (et si on s'y prend assez tôt) mais à titre personnel, mes amis magiciens sont plus loins à présent (nous ne sommes plus étudiants, on a nos vies) ou plus âgés. Alors je sais que le plus gros coût pour un congrès n'est pas le plateau mais le palais des congrès dont le coût a considérablement augmenté et réserve souvent bien des surprises sur ce qui est compris dans le prix ou non (encore une fois, j'ai aussi vu les choses de l'intérieur en 2021). Aujourd'hui, la sélection de la ville d'accueil du congrès se fait d'ailleurs essentiellement sur la base du coût du palais des congrès. Bref, je comprends qu'il faille faire des économies pour compenser le coût du palais des congrès et le choix a été de les faire sur le plateau plutôt que d'augmenter de manière trop importante le prix d'entrée (qui a a été un peu augmenté quand même mais de manière raisonnable). Et puis il y a eu ce système d'augmentation progressive du prix allant de paire avec la révélation progressive mais très tardive des artistes du plateaux qui selon moi a été un très mauvais choix. Certains ne veulent pas l'admettre et persistent à croire que c'est bien alors que c'est ce qui a principalement fait chuter le nombre de congressistes depuis des années. A la limité, que le tarif augmente progressivement (plus on s'inscrit tôt moins c'est cher) d'accord mais quand on s'inscrit au moins la moitié du plateau doit déjà être révélé. C'est ça le point noir sur lequel j'essaie depuis bien longtemps de faire bouger les lignes, que ce soit ici, au sein des clubs que je fréquente, sur ce forum ou par rapport à mes amis magiciens extérieurs aux clubs. Par rapport aux économies sur les plateaux, ils ont été faits au niveau des galas d'ouverture et de clôture qui sont à présent constitués d'un seul artiste qui fait tout son spectacle et de primés aux championnats de France qui présentent de nouveau leur numéro pour ceux qui ne l'auraient pas vu. C'est une bonne idée. Avoir un spectacle complet à un moment dans le congrès est parfois une meilleure leçon qu'une conférence et faire repasser les numéros primés à la fin permet à ceux qui auraient raté une partie des championnats de France de voir au moins certains numéros primés. Trop de conférences ? Je ne pense pas. Il y a du choix. A Troyes nous avions opté pour 9 conférences, la plupart doublées voire triplées (et ça n'a pas été évident de caser tout dans le programme mais c'est faisable). On ne peut pas tout voir, c'est sûr, mais entre 4-5 conférences qu'on peut toutes voir et 9 conférences qu'on ne peut pas toutes voir mais où on a le choix de voir un artiste plutôt qu'un autre selon nos préférences, je trouve cela mieux. Et puis cela réparti les spectateurs beaucoup mieux. Nous avions des salles avec 30-50 spectateurs parfois et on s'était dit que les conférenciers n'apprécieraient peut-être pas mais au final, après avoir posé la question à la plupart d'entre eux, ils étaient content car ils avaient fait plus de vente. Pourquoi ? Les spectateurs voyaient mieux. Car il est difficile de faire installer des petites scènes et/ou des écrans partout (c'est un coût énorme et avec les caméras, tous n'acceptent pas d'être filmés et ça peut se comprendre). Le nombre de conférences n'est pas un problème. Cependant : 1) Il faut aussi s'assurer de laisser au moins 30min de battement entre deux conférences car certains l'ignorent peut-être encore mais même 50 personnes, ça ne rentre pas dans une salle instantanément, il faut déjà laisser sortir le public précédent et il faut penser à laisser un peu de temps au conférencier pour faire ses ventes. 2) Un minimum de conférences en parallèle des championnats de France. Pour m'être chargé en grande partie du programme du congrès (plus de 20 versions avant d'en arriver à la version qui convenait au plus grand nombre), c'est un défi. Un beau défi mais un défi. Cela étant dit, d'une année sur l'autre cela devrait être de moins en moins complexe. Je suis heureux de voir que certains de mes choix ont été repris. Le talk show inutile ? Ce fût très difficile de le caser dans le programme également mais je pense qu'il a sa place aussi. La mise en valeur d'un artiste, de sa carrière est un évènement qui diffère d'une conférence, d'un gala et d'une foire aux trucs (pardon...le village marchand; parait que ça fait venir plus de monde selon certains. Personnellement je ne vois rien de péjoratif dans "foire aux trucs" et peu importe son nom, j'irai y faire un tour pour acheter quelques beaux trucs). La technique ? Les équipes actuelles font le job pour un tarif raisonnable pour celui ou celle qui s'y connais un peu. Nous avions juste été un peu déçu par celui qui gérait la partie vidéotransmission qui a laissé son équipe bosser à sa place avec pas mal de contraintes tout en profitant bien du congrès et en se permettant de critiquer (je vais encore me faire un ami...) mais il parait que c'est le moins cher (le chiffre était quand même bien rondelet; j'espère au moins que son équipe en a reçu une bonne partie). L'hôtelerie ? Là on est sur un  coût qui a bien augmenté. Et comparé aux congrès italiens où une somme globale est proposée aux artistes (cachet+frais d'hébergement-transport-repas), tout est géré à part (en tout cas c'était encore le cas en 2021) et cela coûte beaucoup plus cher (je dirais même que cela coûte le double). Alors faut-il faire comme les italiens ? De ce côté je ne pense pas car il s'agit du confort des artistes. Par contre, on pourrait proposer un cachet augmenté pour ceux qui préfèreraient se débrouiller (réserver leur propre chambre, se débrouiller pour les repas, etc...). Luc Apers préfère parfois faire ainsi par exemple. Juste proposer, pas imposer. Le gala public : je pense que c'est une bonne idée à condition d'assurer côté communication dans la ville. On devrait en avoir un à chaque congrès. Demander aux artistes de faire un deuxième gala est un coût, pour la salle aussi et il faut avoir deux salles sinon c'est presque impossible car au cours d'un congrès il faut caser les répétitions de tous (candidats aux championnats de France, artistes des galas), on y pense pas mais ce sont des heures de disponibilité de l'amphithéâtre du palais des congrès à trouver pendant les conférences, la foire aux trucs et bien sûr en dehors des galas et championnats. Réserver un jour de plus le palais des congrès est impensable financièrement. Donc il faut forcément louer une grande salle (un théâtre) en plus et qu'il ne soit pas trop loin à pied du palais des congrès. Mais même si il y a cette location en plus et les cachets plus importants pour les artistes qui vont présenter deux fois leur numéro, le gala public n'est à mon sens pas un gros risque financier et en général, même un peu bénéficiaire. Et puis faire profiter du congrès national au public profane est une excellente chose pour la magie et pour la FFM. Côté ambiance par contre, on peut prendre exemple sur les italiens (par pour le retard aux conférences matinales) : aménagement des hall avec des petits canapés, mange-debouts, chaises ou fauteuils de jardin couverts de houses pas trop cher, soirées à thèmes type "spaghettis parties" que l'on pourrait reprendre ou détourner en "Apéro magique" (petits gâteaux salés puis sucrés et bar proposant des bières et des softs) sans faire un vrai repas avec un traiteur (coût trop important). Tous les congressistes n'iraient pas et seules les boissons seraient à régler. L'organisation prendrait en charge les petits gâteaux salés / sucrés, ce qui n'est pas un très gros coût mais offrirai une dimension plus festive sur nos congrès FFM. Après se pose aussi le problème de la fermeture plus tardive du palais des congrès. Ce ne serait pas possible partout (pas à Troyes par exemple) donc il faut trouver un lieu comme un grand bar partenaire qui pourrait proposer des choses à grignoter dans un cadre un peu privatisé en échange d'une centaine de clients pour les boissons ou des réductions sur sa restauration / ses boissons. Ce qui compte c'est d'avoir un ou deux afters biens identifiés côté lieu, horaires, indiqués dans le programme et avec un thème : tout le monde en pyjama, tout le monde avec une casquette ou un chapeau jaune, peu importe, un truc qui permet de s'identifier entre nous et qui permet aux profanes de voir qu'il y a quelque chose qui se passe, de permettre une interaction entre les congressistes et les habitants. Tous les congressistes ne joueront pas forcément le jeu, forcément mais beaucoup le feront et ça suffira pour créer l'évènement. Je me souviens par exemple avoir fait une bataille de polochons avec Rudy Coby, un concours de dégustation de piments avec des italiens qui ont dû souffrir le lendemain aux toilettes, une soirée fluo avec Daryl qui dansait en chemise à fleurs. Ce sont des "bêtises" vous me direz, mais ça fait des souvenirs. Et puis le lendemain vous vous posez dans un canapé et Paul Harris s'assoit en fasse de vous pour manger ses chips et vous entamez une discussion sur les étoiles et les planètes (pourquoi on s'est mis à parler de ça, je ne sais plus, sans doute parce qu'à un moment il m'avait demandé ce que je faisais et que je lui avait dit que j'étais prof de Physique). Je pense au témoignage d'Otto qui a improvisé des apéros sur le parking du congrès FISM italien avec Voronin (preuve qu'il y a une demande pour ce genre de petits choses facilitant les échanges, sans tomber non plus dans les soirées trop arrosées). Peu importe les thèmes et le mobilier choisi dans le hall du congrès, toutes les petites choses qui facilitent les échanges pour un moindre coût sont à tenter. C'est ce qui manque un peu aux congrès FFM. Donc pour résumer les idées : 1) Annoncer au moins la moitié du plateau avant la première augmentation du prix. 2) Annoncer tout le plateau au moins 6 mois avant. 3) Proposer aux artistes une alternative pour l'hébergement et les repas : soit une chambre dans tel hôtel avec les autres artistes et des tickets repas, soit une augmentation de tel montant du cachet et il se débrouille. 4) Faciliter les échanges entre les congressistes et le public profanes en indiquant clairement sur le programme un lieu et un horaire à partir duquel se tiendra une soirée à thème ou deux. Installer un peu de mobilier dans le hall du congrès pour faciliter les échanges (il en manque un peu souvent). 5) Organiser un gala public. Des démarches en plus, un coût supplémentaire mais ça en vaut la peine et cela s'équilibre facilement si la communication est bonne (assez tôt !!! Et dans la programmation officielle de la salle réservée, celle que les habitués de cette salle ont l'habitude de consulter !) 6) D'une manière générale : reprendre ce qui a marché lors de congrès précédents. Ne pas insister avec ce qui ne fonctionne pas (mais encore faut-il en prendre conscience). Petite remarque : comme le congrès va de nouveau se faire à Troyes cette année et sans doute l'année prochaine, cela devrait faciliter grandement l'organisation donc ce sera l'occasion de passer de temps pour faire des démarches pour tester de nouvelles choses. Et à ceux qui se posent la question : non, je ne suis pas dans l'équipe d'organisation du congrès de cette année (repos) mais j'y suis inscrit en congressiste avec ma compagne et je vous y retrouverai avec plaisir. Après, je n'ai rien contre l'idée de participer de nouveau à l'organisation d'un congrès. C'était difficile, épuisant mais je suis content de l'avoir fait et si c'était à refaire, je le referai. Pour revenir au sujet initial (les masterclass), pourquoi pas un masterclass "Organisation d'un congrès" pour les clubs des villes candidates. Mais j'ai l'impression que les congrès ne s'organisent plus vraiment en coopération avec le club local depuis cette année (ou alors c'est exceptionnel). Quant aux masterclass au sein des congrès, je vois mal comment on peut en avoir ne serait-ce qu'un seul dans de bonnes conditions (pas plus de 6 personnes, sur une demie-journée voire une journée sans rater une grosse partie du congrès) donc je pense qu'il n'ont pas leur place ou alors il faut le faire sur une journée avant ou après le congrès.
    • Oui.. mais par le réalisateur et animateur. On peut dire qu'il est aussi le co réalisateur puisque ce sont aussi ses idées et intentions qui font le résultat que l'on connait. Idem pour le Pinocchio que Guillermo DEL TORO a co-réalisé aussi en stop-motion de https://fr.wikipedia.org/wiki/Pinocchio_(film_d'animation,_2022) ... dont le producteur s'appelle Gary KURTZ 😉 https://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_Kurtz_(producteur)
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