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Publié le

Possédant le jol small , je reste sur ma faim pour le côté portefeuille. Il est splendide , ce n'est pas le problème. Par contre au quotidien je le trouve un poil gros pour moi qui suis tjrs en jean sans veste. Puis ma recherche se tourne sur la carte au portefeuille. L idée avec enveloppe me séduit tjrs mais ! J'ai vu le hip portefeuille , de jol qui l attire bien par sa qualité et son format. Le HOW de Harry Robson et hip replacment ( est ce le même ?). Je comprends pas la différence entre les deux. Sur le HOW je comprends pas ce qu'il a de plus. Le spectateur garde sa carte ? C'est la technique et non le portefeuille qui fait tout !! Quand au hip , a t'il une entrée aussi facile que le jol ?

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Publié le

Salut Fabricce,

Je ne possède que le Hip W.allet de JOL, mon message ne traitera donc que de ce portefeuille.

Son format est sympathique par sa taille, par contre je lui voit quand même quelques petits inconvénients :

- j'aurai bien aimé avoir un fermoir avec un bouton pression (comme sur le Complete Peek W.allet) afin que le tenir correctement fermé lorsqu'il est rempli (si tu le poses sur la table, il sera légèrement ouvert)

- tu ne peux pas faire rentrer ton permis de conduire dedans

- la poche au dos n'est pas vraiment prévue pour y mettre de la monnaie

Sinon, il a un bel aspect, près d'une douzaine d'emplacements pour des cartes de crédit ou de fidélité et la poche pour accéder à la carte (ou à tout autre objet) après un CTW est fermée par un zip.

En parlant de la CTW, elle se fait très facilement, la carte est bien guidée de par la conception du portefeuille. Il me semble que c'est le même système que sur un JOL Plus W.allet.

Publié le

Ok merci bcp. J'ai le réal man portefeuille. J aime ce petit format pour tout les jours. Même style mais moins facile je trouve et il faut un guide maison. Chose que j aime moins. D'ailleurs si qu'un veut l'essayer je lui envoie sans problème. Ton avis conforte le mien. J aime bien. Après le how ou hip replacement ( est ce les mêmes mais on dirait ) ont l avantage du fermoir et de l enveloppe. Mais niveau finition vaut-il le jol !! Pas sur. Et il a un fermoir 😀. ( pas fan pour moi )

Publié le (modifié)

J'évente un secret désormais de Polichinelle, mais MdT a annoncé la sortie d'un PF conçu par un Français dont on a récemment entendu parler, et non seulement il s'agit d'un Hip, mais la qualité est top.

En revanche il n'aura pas la lanière fermoir abordée ci-dessus pour le tenir fermé, et la poche arrière au bouton pression est à mon gout trop petite pour y mettre qque chose (le créateur me contredira peut etre un jour),mais de toutes façons je ne mets jamais de monnaie dans un PF.

Pour le reste, quelques surprises vous attendent, et je pense que ça vaut le coup d'être patient.

Modifié par Chakkan

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

Non Chakkan, la poche arrière est assez grande pour y mettre 5 à 6 cartes de visites !

Non je ne l'ai pas... :D (Faudrait pas recommencer la même hype que pour le pad, on va pas se faire que des copains !)

Publié le (modifié)

Ou Ludo a t'il annoncé ce portefeuille ?

Peut-on en savoir plus ? Fonctions ? Date de sortie etc ...

Modifié par Magicfan

Ici c'est le chaudron !!!

Publié le (modifié)

Fabricce,

chacun ses gouts,mais perso,je ne suis pas fan des portefeuilles de Harry Robson.

Tu auras besoin d'un patron pour tes cartes a l'enveloppe et le jol est quand meme plus pratique pour ça.

Enfin,je trouve,ce n'est QUE mon avis.

Les portefeuilles sont de bonnes qualités,mais pareil,niveau rangement,c'est pas terrible comparé au Jol.

Et puis,te connaissant un peu,je sais que tu n'aimeras pas la partie arrière,un peu comme le F1,mais en un peu plus discret.

Quand au Jol Hip wwallet,il est bien trop petit pour y ranger quoique ce soit.

Modifié par xavv
Publié le (modifié)
chacun ses gouts,mais perso,je ne suis pas fan des portefeuilles de Harry Robson.

Surtout qu'ils ressembles à tout , sauf à un portefeuille !!!

Modifié par Magicfan

Ici c'est le chaudron !!!

Publié le

Cool. C est aussi l idee que je m en faisait. En conclusion je vais sûrement prendre le hip portefeuille en vente sur le forum. ( si tjrs dispo ). J aurais moins de gêne à ranger mon jol small. Je pourrais avoir quotidiennement un ctw classique et je garde mon jol pour des occaz afin de tenter avec l enveloppe( carte ou bague. Dommage par contre que ces portefeuilles ne fassent pas changé comme le shogun. En effet ,il n'y a pas secret. Le HOW est vilain et sa fente ideuse permet justement de utiliser l enveloppe. Sur le nouveau portefeuille , je suppose qu'il permettra des Peeks ou autres..... Sûrement sympa. Mais la je veux qu'un ctw.pas trop envie de tout ces aspects mentalistes. Sinon ayant le real Man portefeuille avant ,je me suis habitué à avoir des petits modèles. Idéal en poche arrière. Une CB ,carte vitale. Permis un peu d oseille et basta. Quand t'es en short ou léger ,le jol ,c'est qu meme galère,d'autant plus que faut pas l'abîmer , on sait jamais où le mettre. Et l'absence de compartiment a billet me gêne

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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