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Publié le (modifié)

J'voulais tout simplement avoir votre avis sur cette video de Christian Chelman.

Merci bien !

Modifié par Thomas THIEBAUT

Is that what your little note says? It must be hard living your life off a couple of scraps of paper. You mix your laundry list with your grocery list you'll end up eating your underwear for breakfast.

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Publié le

K7 à posséder absolument !!!! si tu aimes les cartes !!!! y a pas photo !!!!, de plus c trés interessant à écouter car meme s'il se la pete un peu (bcp , pass...), il dit pas que des [censuré] !!!! il est interessant mais il le sait mais il a de quoi , les techniques possédées à fond sont une arme qui m'a bluffé moi pauvre de moi pauvre amateur

Meme s'il dit que c fastoche, y a du boulot qd meme !

a+

Publié le (modifié)

mdr youki , tu dois pas etre bon commercial :)

edit : c'est ironique les deux premieres phrases de ton post n'est ce pas ?

Modifié par DrAz

Is that what your little note says? It must be hard living your life off a couple of scraps of paper. You mix your laundry list with your grocery list you'll end up eating your underwear for breakfast.

Publié le

Par contre le concept est pas mal développé, différemment, dans son livre "Légendes Urbaines" et c'est bien plus étendu que ce qu'il montre dans la cassette. En fait, avoir le bouquin et la cassette c'est génial. Ca permet de faire le tour de ce concept qui peut paraitre soit fumeux, soit limité à la technique si on aborde la chose par un seul bout.

A+

Philippe

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

Publié le

Bonjour,

J'ai la cassette que je trouvais très bonne jusqu'à ce que j'aprenne qu'il manque une grande partie du séminaire... Snif.

Mais bon, j'ai aussi le livre alors...

Je tiens à préciser que j'ai participé à l'effort commun en l'achetant (la cassette) puisque s'était chez Joker Deluxe.

Au sujet d'HofZinser, il me semble bien que Monsieur Chelman le cite comme l'ayant "inspiré" pour le Blitz.

(Si mes souvenirs sont bons, sinon, n'hésitez pas à me jeter une marmitte d'huile bouillante en pleine face... j'adore !)

A plus,

TCHAW !

Ed.

Errare Humanum Est, Perseverare Diabolicum...

Publié le (modifié)

Youki, tu dis : "Vidéo vendue sans reverser le moindre droit à l'auteur."

Peux tu nous préciser à quel moment le créateur, l'auteur d'un ouvrage (video ou livre) est censé toucher ses droits.

1. Quand le contrat est signé avec le producteur du produit.

contrat stipulant :

droit de création + droits globaux pour un tirage de 500 exemplaires par exemple et ce quelque soit la quantité vendue après et à qui.

2. Au moment ou ce producteur revend à des distributeurs (magasins) en fonction du nombre d'exemplaires achetés par ceux-ci.

3. Au nombre d'exemplaires vendus au grand public.

L'usage en édition, veut en général que ce soit le premier ou le deuxième cas qui soit appliqué. Ce qui veut dire (si le contrat est respecté et honoré) l'auteur touche ses droits pour le cas 1 en fonction du tirage (risque pris par le producteur) et pour le cas 2 en fonction du nombre d'exemplaires vendus aux "grossistes" (risque partagé producteur/auteur). Cela veut dire aussi, que si le prodcuteur ou le grossiste font faillite les exemplaires du produit détenus par ceux-ci peuvent être revendus par eux ou par le liquidateur pour éponger les dettes, sans que l'auteur n'est droit de regard (à qui ont été revendus les exemplaires restants). Vu que les droits de celui-ci sont censés avoir été honorés en amont (à la source).

Peux tu nous éclairer ?

Bon je sors faire pisser Ouha Ouha. ;)

Kozou

Modifié par KOZOU

Amitiés magiques

Kozou

L'illusion de la Vie... la Vie de l'illusion

Publié le

Bonjour,

L'usage en édition, veut en général que ce soit le premier ou le deuxième cas qui soit appliqué.

Heu non, pas vraiment... En droit français, le droit d'auteur DOIT être un droit proportionnel au volume des ventes, calculé par rapport au prix public de vente hors taxes.

Il y a quelques exceptions (ouvrages techniques ou scientifiques, livres illustrés pour enfants, etc.) où les droits peuvent être forfaitaires, mais ces cas sont assez limités (cf article L132-6 du Code de la Propriété Intellectuelle).

Je n'ai jamais entendu parler d'une différence entre le fait que les produits soumis au droit d'auteur soient vendu au "grand public" ou à un grossiste.

Enfin, pour répondre à Kozou sur ce qu'il demandait, un éditeur a l'obligation de fournir un état des ventes a ses auteurs, au moins une fois l'an (mais cela est en général précisé dans les contrats).

Voilà, I hope this helps !... ;-)

Très cordialement,

---

Frantz

Publié le

Re-bonjour,

Toujours méprisant face à des crétins, et ça ne changera pas

La notion de crétinisme reste toute relative... ;-)

Je ne sais plus qui disait : "Il n'y a pas de plus grand plaisir que de se faire traiter d'idiot par un imbécile..." À méditer, non ?.... ;-)

(P.S. : dans ce message, il n'y a aucune agression, ni contre Monsieur Youki, ni contre son double qui sort parfois après minuit, ni contre personne d'ailleurs !... Mais je suis toujours effaré que quelqu'un puisse avoir la prétention de traiter quelqu'un d'autre de "crétin"... Enfin bref...)

Très cordialement,

---

Fantz

Publié le

Quand vous aurez fini de vous insulter pour rien, je repondrait a Kozou...

La regle est : pas de regle.

Si vous travaillez pour une grosse boite qui a les moyens de payer d'avance, vous etes payes avant meme la publication, pour une video: au tournage bref, des que vous fournissez "la matiere"

Si vous travaillez en confiance, vous etes payes a la sortie du produit, car la personne qui investi commence a recuperer l'argent investi, et a donc les moyens de vous payer.

Et si le produit fait un flop, vous pouvez toujours vous faire payer en matos et recuperer l'argent en conference. Une fois encore, il n'y a pas de regles, et tout est a negocier avec la personne avec qui vous travaillez.

Signer un contrat peut etre utile si vous pensez que la boite va fermer avant la production du produit, pour une histoire de droits et puis meme, mieux vaut poser ses conditions par ecrit avant tout. la encore, dans la magie, la confiance doit regner sans avoir a faire recours a un avocat ni autres specialistes du droit international pour un produit qui ne se vendra JAMAIS a quelques millions d'exemplaires. Au contraire, la personne qui va investir risquera meme de perdre de l'argent juste pour faire la promo de votre produit, et donc de votre image...

Donc, a vous de voir ce que vous preferez.

www.jardonnet.com

www.woodblockprintsworld.com

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    • Je le baisse à 27 € fdpi. Ne passez pas à côté de ce tour hyper visuel signé de l’excellent créateur Alex Latorre.
    • Il (ou elle) nous agace. Il dit tout haut ce qu'il croit comprendre. Il tente de regarder par en-dessous ou par derrière. Il dit aux autres "Tu vas voir que c'est déjà passé dans l'autre main" quand c'est effectivement passé dans l'autre main. Il demande en blaguant "Et on peut voir ce qu'il y a dans vos poches ?". Il "s'y connaît un peu en magie" parce qu'il regarde des tutos sur YouTube. Bref, sur le coup, il fait parfois un peu [grossièreté]. Mais, moi, je l'aime bien, finalement. Je l'aime bien, parce que j'ai été comme lui avant de faire de la magie et que je sais que, non seulement, ce n'est pas méchant (et là, j'entends bien le différencier du co**ard qui a décidé de vous pourrir le truc et qui croit briller devant les autres en disant qu'il sait tout, parfois même avant que vous n'ayez commencé votre tour1), mais c'est même carrément une preuve d'intérêt. Le spectateur qui cherche à comprendre n'est pas moins fasciné que celui qui dit "Ah non, mais moi, je ne cherche même pas à comprendre, ça me fait rêver." Le spectateur qui cherche à comprendre, c'est celui qui nous montre en direct que l'on est correctement en train de le conduire sur "le chemin magique" de Tamariz : on voit les portes qu'il ouvre, le chemin qu'il prend... il comprend, il comprend... et paf, il ne comprend plus rien. C'est le spectateur idéal pour les fausses pistes. Et là, ce spectateur embêtant, vu qu'il est généralement un peu grande gueule, peut devenir votre meilleur allié pour la soirée, celui qui va annoncer aux autres que "Tu vas voir, il est trop fort !" (avis qui compte d'autant plus quand tous ses collègues savent que Christophe "s'y connaît en magie", vu qu'il passe son temps à regarder des tutos sur YouTube au bureau et que c'est d'ailleurs pour ça qu'il ne rend jamais les dossiers à temps). Bref, ce spectateur un peu embêtant, voire un peu agaçant, il ne faut pas le "casser", il faut l'AIMER. Et, maintenant, je voudrais lancer un APPEL : Dans les années 2000 (je dirais entre 2002 et 2008), avant d'être magicien, j'ai déjeuné un jour avec ma compagne au KASKAD CAFÉ, à Paris, à côté des Buttes Chaumont (sur la place de la mairie du 19e arrondissement). Nous venions de nous disputer pour je ne sais plus quelle raison quand un magicien est venu à notre table (QUI ÉTAIS-TU ?). Avec mes yeux de magicien d'aujourd'hui, je me rends compte que nous avons dû être très embêtants : on essayait de voir par en dessous, on essayait de comprendre en disant nos idées à voix haute, etc.2 Mais ce n'était pas du dédain, au contraire : si je m'en souviens encore aujourd'hui, c'est que nous avions vraiment passé un super moment. Quand il a quitté notre table, on s'est dits que c'était chouette, qu'il était fort et que, tiens, t'as vu, il a même réussi à faire disparaître notre dispute. Donc, voilà, magicien qui faisait du table à table au Kaskad Café dans les années 2000, je voudrais te dire merci de nous avoir fait oublier notre dispute et ajouter que je repense à toi à chaque fois que je tombe sur un spectateur un peu embêtant... comme je pouvais l'être moi-même à l'époque.   1 : Magicien : - Choisissez une carte. Spectateur : - Ah ouais, je le connais, ce tour ! 2 : Ma femme est restée un peu comme ça avec moi, ce qui en fait le meilleur public test pour mes nouveaux tours. Elle est impitoyable, ne laisse passer aucun flash. C'est quand elle est bluffée que je sais que je peux le présenter.
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