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Je viens de le recevoir hier, pas eu le temps de le lire, juste un peu en diagonale : Ça à l'air excellentissime...

"Celui qui vise le soleil au zénith, bien qu'il soit sûr de ne jamais atteindre sa cible,

est assuré de tirer plus haut que celui qui se contente de viser un buisson"

_________________________

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Je suis également dedans, et je n'ai qu'une chose à ajouter avant le tournage du prochain MGz :

Banachek + Jermay + Looch = WIN !

Hehe, un cocktail détonnant en effet :)

Par contre Chakkan, je me trompe peut-être mais il me semble avoir le souvenir que tu avais dit dans un "vieux" magigazine ne pas être très branché mentalisme. On dirait que la situation a quelque peu changé :D

Publié le

Je suis à fond dedans également.

Je confirme, c'est vraiment génial!

En plus, l'impression sur papier glacé avec couverture épaisse et tout... ça fait longtemps que je n'avais pas eu entre les mains un bouquin aussi agréable.

Un grand merci à Ludo (et toute l'équipe de marchand de trucs) pour le super travail qu'il fait.

Publié le

Damned, je suis épié ! ;)

Tu as raison, belle mémoire.

Mais c'est tout de la faute à Jermay...

Et puis de lecture en lecture, il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis.

Le récent "Retina" de Looch a été une claque dans ma tronche et vient parfaitement compléter cette école (voir l'équation ci-dessus) qui rend les choses plus limpides pour moi, et renforce certains effets sans tomber dans la démonstration.

Donc oui, je m'y ouvre, et après avoir pris mon plus gros kiff en présentant "Une touche de Hoy", je n'ai qu'une hâte : présenter un drawing duplication sur échange de carte de visite...

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le

Je n’avais eu en main que la première édition anglophone de ce livre mais cette édition n’a rien à lui envier : couverture luxueuse, beau papier, belle mise en page, belles illustrations…. Une fois de plus Ludo s’est surpassé.

Sur le fond je n’ai pas encore tout lu mais cela semble assez conforme à l’original avec, non seulement une traduction mais, aussi, un véritable travail d’adaptation à la langue française qui a été réalisé par Vincent Hedan.

Un petit clin d’œil spécial à Fabien Baussian dont deux idées sont reprises (page 47 et page 153). ;)

Que dire ? … Avec la publication de ce volume (et des deux autres à venir) la boucle est bouclée : le lecteur francophone a maintenant à sa disposition tous les grands classiques du mentalisme. Tous les thèmes du mentalisme de spectacle sont couverts par cette littérature y compris dans ses aspects les plus purs et les plus psychologiques comme c’est le cas avec ce livre.

Il n’y a que du point de vue du sens profond des choses et de l’éthique qu’on est toujours autant dans la panade : page 242, l’auteur fait la promotion de la présentation du mentalisme à la sauce pseudo psychologique. Pas grand-chose de neuf sur ce plan là pour ceux qui ont lu Pur Effet de Derren Brown : mentir sur l’utilisation de la psychologie ou du langage corporel serait plus acceptable que de laisser croire à un phénomène parapsychique. Et puis c’est beaucoup plus acceptable du point de vue des sceptiques… Mais bon… N’en faites pas trop quand même… Un mensonge reste un mensonge ! mdr

Hormis ce questionnement (que je dois être le seul à avoir) ce livre représente ce qui me plait le plus dans le mentalisme et ce qui m’intéresse le plus : le mentalisme pur sans quasiment aucun accessoire et faisable n’importe où en impromptu (je n’ai pas dit n’importe comment !).

Je sais que certains jeunes mentalistes français cherchent dans ces voies (et ils ont bien raison), nul doute qu’ils trouveront ici une source d’inspiration importante.

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le

Comme tu le dis, Shiva, rien que la couverture fait que de ce livre un objet qui ne dépareillera pas une bibliothèque digne de ce nom. La mise en page en la traduction en font de plus un ouvrage aisément consultable, agréable à lire.

Pour le reste... vraiment dommage que ce soit accessible au public francophone, parce que c'est déjà un trésor que Banachek aurait mieux fait de garder pour lui. Mais bon... tant mieux pour moi et pour chacun d'entre nous.

Merci Ludo pour ce que tu fais pour la magie française ;)

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le (modifié)

Il n’y a que du point de vue du sens profond des choses et de l’éthique qu’on est toujours autant dans la panade : page 242, l’auteur fait la promotion de la présentation du mentalisme à la sauce pseudo psychologique. Pas grand-chose de neuf sur ce plan là pour ceux qui ont lu Pur Effet de Derren Brown : mentir sur l’utilisation de la psychologie ou du langage corporel serait plus acceptable que de laisser croire à un phénomène parapsychique. Et puis c’est beaucoup plus acceptable du point de vue des sceptiques… Mais bon… N’en faites pas trop quand même… Un mensonge reste un mensonge ! mdr

Hormis ce questionnement (que je dois être le seul à avoir) ce livre représente ce qui me plait le plus dans le mentalisme et ce qui m’intéresse le plus : le mentalisme pur sans quasiment aucun accessoire et faisable n’importe où en impromptu (je n’ai pas dit n’importe comment !).

Un mensonge reste un mensonge, en effet, et si vous mentez : faites le bien. Le prochain mentaliste / magicien que je croise et que je vois parler de synergologie© devant son public je le debunk sur-le-champ. ;)

Je ne me souviens plus combien de temps après, la suite de l'ouvrage de Jermay est arrivé (à la suite de la première partie); 9 mois ?

PS : Joyeux 2000 èmes messages Shiva. :cool:

Modifié par Dreda

#Ma_grand_mere_s_appelle_suzanne #Trex_Vaincra

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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