Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

C'est en tant que rédacteur d'une revue magique que je m'adresse à vous.

Quelle serait pour vous le contenu idéal d'un magazine de magie ?

Vos réponses doivent intégrer qu'il s'agit de publications trimestrielles (voire bi-mensuelle) et qu'elles ne peuvent traiter l'information comme si elles étaient mensuelles

Je ne me place pas dans une polémique comparative entre les magazines existants ni dans l 'évocation nostalgique de revues qui ont cessé de paraître.

Ce débat doit être en sperpective...

Dites-moi la revue de vos rêves, celle que vous aimeriez acheter ?

Claude Nops (L'illusionniste)

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 26
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

Personnellement j'aimerais assez une revue avec :

- une véritable indépendance et liberté de ton (assez du cirage de pompe entre "copains")

- une ouverture vers l'extérieur (discipline artistique ou pas)

- une équipe de rédaction compétente... être une "autorité" dans la magie ne signifie pas que son avis soit pertinent sur tous les sujets... en fait, je rêve d'une revue dans laquelle les rédacteurs n'écrivent que sur des sujets qu'ils maîtrisent un minimum.

Ah oui, pitié, j'aimerais une revue qui ne se sente pas obligé de donner son avis sur la moindre "nouveauté"... Personnellement, je frise l'overdose d'avis donné après seulement 3 jours d'expérimentation.

Publié le

Bonjour,

Il pourrait être interressant qu'un petit encart soit dédié aux débutants et faux débutants,

et qu'une rubrique puisse présenter l'intrication entre science et magie....cela pourrait donner des idées de création ou une démarche dans ce sens....

Forcément à force de forcer c'est forcé que ça force...!!

Publié le

pas trop de pub (cf. Magic :cry: )

Une revue transverse (avec du fond) :

- Visions artistiques (différents courants magiques, personnages)

- Tours / technique

- Théorie & pratique

- Etudes (historique, scientifiques, sociologiques, psycho...)

- Ouverture : branchement (avec d'autres arts & cultures) permettant d'irriguer sa propre vision/travail

- ...

mais ça n'engage que moi ;)

(perso je me fous du dernier gimmick sorti ou des résultats du dernier vote.... après, si on m'explique comment utiliser intelligemment le gimmick ou ce que l'élection va changer, je veux bien... et encore...)

"L'illusion au service de l'art, voilà notre culte." N.F.

Publié le

Je ne connais pas de revue qui écrivent régulièrement des avis sur les nouveaux produits lancés sur le marché.

Il y a quelques années je pratiquais ces "critiques". puis j'ai finalement considéré qu'elles avaient davantage leurs places dans les forum où le débat est ouvert.

Je partage l'idée qu'être une sommité du monde magique n'indique pas que ses avis doivent faire l'unanimité. Ils peuvent être simplement un éclairage.

Pensez-vous que la revue doit donner la priorité à des tours, a l'actualité,

aux reportages ?

Publié le

Voici un exemplaire de la revue L'illusionniste.

Représente t elle en partie ce que vous souhaitez sinon dites pourquoi ? Je suis ouvert

je note que plusieurs d'entre vous aspire à une ouverture vers l'extérieur quelque soit le domaine.

http://fr.calameo.com/read/0000302842a581b6c1be0

(il s'agit d'un pdf imprimeur c'est pourquoi les raccords ne sont pas fait pour le web, mais je vous le livre pour son contenu)

Publié le

Le minimum serait une revue contenant des articles de professionnels connaissant leur métier (et qui seraient rétribués pour leur travail d'écriture). Des articles sur une magie d'avant-garde, sur des techniques 'underground', des interviews de pros ou d'experts, des articles historiques (comme ceux de Fanch Guillemin)...

Une revue esthétiquement belle, mais sans contenu, n'a aucun intérêt.

Publié le

Un comité de rédaction composés de contributeurs rémunérés, c'est sans doute ce que tous les magazines magiques français rêveraient d'avoir. Et pour tout dire, cela serait bien plus facile à gérer.

Mais cela implique de gros moyens que seuls les magazines qui tirent à plusieurs milliers d'exemplaires peuvent s'offrir. Le dernier en date qui était le magazine du cirque vendu en kiosque, rémunérait tous les pigistes, c'est à dire chaque article. La redactrice en chef m'avait indiqué que cela lui coutait entre 3000 à 4000 euros par revues.

Elle a mis la clé sous le paillasson au bout d'un an.

Tous les directeurs de revues recherchent des "plumes" . Il en trouvent parfois qui écrivent gracieusement.

Je ne suis pas insensible à évoquer la magie d'avant garde...mais qui pratique cette magie en France et qui pourrait en parler ?

Pour autant je trouve cette idée est intéressante.

Je note au passage que de nombreuses revues française réalisent des interviews d'experts (sur parfois 10 pages), des articles historiques de Fanch Guillemin, décrivent des techniques nouvelles. Elles répondent au moins sur ce point aux désirs de CEDmagic.

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8227
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Niranjan SHIVARAM
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84k
    • Total des messages
      679k

×
×
  • Créer...