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perso ce que je comprends si je resume

amener votre thune , remplisser la revue , amener vos idées , votre savoir faire ... et la FFAP s occupe du reste !

et vu que je ne suis pas une " bete a concours" , je n ai pas grand chose a y faire .

bref je suis pas certain donc d avoir besoin de la FFAP pour rencontrer des gens heureusement !

la FFAP n est pas faite pour moi c est tout , et tout ça bien sur dans le respect de ceux qui y sont !

message pour otto "vive illegal magic club "

Modifié par KJBI

Magikalement votre

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Membres les + Actifs

Publié le (modifié)
Tu as peut-être raison…tu n'es pas fait pour la FFAP… reste enfermé dans ton K J BI….lol. .Heureusement, il y a quand même 1150 membres qui ne pensent pas comme toi…ils doivent quand même y trouver quelque chose…??? non??? le" Partage" ça n'a pas l'air d'être ton fort !!!

Bon, je n’ai, je crois l’avoir dit, rien contre la FFAP sur le principe, et l’ai quitté à regret.

Mais le débat n’est pas :

-Etre gentil, pour le partage avec la communauté, l’échange, et la FFAP

Ou alors

-Rester seul dans son coin, aigri et hors de la seule voie magique admissible.

Cela serait un peu réducteur.

Une fédération est utile, sans doute, mais ce qui est critiqué le plus souvent, c’est l’adhésion forcée à des services ou prestations.

Déjà, des 1150 membres FFAP, combien en resterait-il si l’adhésion aux clubs ne rendais pas l’adhésion FFAP obligatoire ?

Autrement dit, combien d’adhérents FFAP le sont par conviction, et combien par simple inertie ?

Surement pas 1150…

Et surtout, combien d’adhérents en plus auraient les clubs, s’il n’y avait pas ce surcout FFAP obligatoire (cf message des 78 tours…) : ben oui, nous sommes en temps de crise, et les sous, ça compte…

Combien d’adhérents FFAP prendrait l’abonnement à la revue si ce n’était pas obligatoire ?

Là aussi, surement pas 1150…

La preuve, elle a été rendue obligatoire, pour lui éviter de péricliter.

Enfin, l’argument ultime, les réductions pour le congrès :

Mais c’est un argument qui peut se lire dans les deux sens, du point de vue de l’adhérent :

Si la cotisation n’était pas si forte, ceux qui ont envie d’aller au congrès auraient économisés les sous pour le faire sur l’adhésion, puisque c’est équivalent, qu’ils disent…

Et quand on ne peut pas aller au congrès, par exemple car il se passe sur un bateau, ce qui entraine des frais surmultipliés d’hébergement, ben l’adhérent n’aurais pas payé un « service » qu’il n’a pas eu.

Dissipez moi d’une horrible pensée : le nombre de participants aux congrès, c’est environ 1150 parmi les membres FFAP ?

Les fédérations se montent pour offrir des services qui ne sont que difficilement gérable pour les clubs individuels.

Par exemple, dans beaucoup de fédération sportive, il y a une assurance nationale incluse, qui a été négociée avec un tarif attractif, car nationale.

Ce n’est pas le cas ici, à ma connaissance.

Et les services qui sont inclus dans l’adhésion, qu’on en veuille ou non, sont chers.

Comme il a été évoqué ici ou ailleurs, cela ferme la porte à certaines personnes intéressantes.

Cela encourage la création de clubs ou de structures hors FFAP.

Quand à dire : si vous ne partagez pas dans la revue, vous n’avez rien à dire, c’est très limite :

Les endroits de partage, de nos jours, sont bien plus sur le net que dans une revue papier :

Voir le nombre de site, de forums, de blog etc. qui contiennent des choses passionnantes.

Et sur le papier, il y a d’autres revues papier, qui ont des lignes éditoriales différentes, bien sûr.

En fait, les gens, pour la plupart, sont intéressés par leur club.

C’est là que va leur loyauté, et c’est bien normal.

Le reste, c’est optionnel, du point de vue de beaucoup d’adhérents.

Les fédérations sont l’émanation des adhérents des clubs locaux, et elles devraient être à leur service, elles sont là pour ça.

Vouloir en faire une entité indépendante, à qui on doit fidélité et loyauté, c’est un peu mettre les choses à l’envers.

Et c’est pourtant ce qui se dégage de la façon de parler de certains.

Alors, certes, c’est cool d’avoir une équipe de France, d’avoir un congrès, une revue, un point d’information etc.

Mais cela a un coût, qui peut paraitre disproportionné par rapport aux services rendus effectivement à l’adhérent de base. Et qui pourrait donc être réduit.

Il y a une limite à la contribution désintéressée et faite par conviction que font certaines personnes.

Nous avons ici des gens qui, sans nier l’utilité nationale de la FFAP, atteignent cette limite, moi le premier (c’est pourquoi je me permets d’intervenir…)

On va me dire : si tu veux faire bouger les choses, viens donc, et travaille avec nous.

C’est un argument bidon.

Faire bouger les choses dans une grosse structure, cela demande un investissement hors de proportion, car il ne faut pas créer, il faut aller contre l’inertie.

Tout le monde n’a pas la volonté de faire une carrière politique…

Donc, je laisse le soin de diriger la fédération à ceux qui en ont envie, avec les luttes d’influences et les coteries qu’il faut amadouer, car malgré le coup du « il faut laver le linge sale en famille », il y a effectivement des bagarres pour le pouvoir, dérisoires mais réelles.

Et je la quitte si ça ne me plais pas :

Car faire bouger les choses du sommet, c’est hors de portée de l’adhérent de base, par contre, quitter, ça, il peut le faire.

Cela n’empêche pas de continuer à faire des choses, je vous rassure :)

Gilbus.

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le (modifié)

Mon post précédent me fait d’ailleurs penser à une ou deux remarques sur la démocratie…

Il y a une grosse différence entre les choses qui marchent de façon démocratiques, suivant l’échelle.

Pour la France, par exemple :

Nous avons une démocratie qui mécontente presque la moitié des Français à chaque élection.

Mais peu de gens partent du pays, après un changement de pouvoir : c’est un jeu accepté, et on fait avec quand c’est l’autre parti qui est au pouvoir.

Les associations, elles, sont gérées pour la plupart démocratiquement, c’est-à-dire que les décisions sont prises à la majorité.

Par contre, il est beaucoup plus facile de quitter une association dont les décisions ne nous conviennent pas que de changer de pays.

Ceux qui sont mécontent, s’ils ne voient pas de solution rapide pour changer les choses, et que la façon de faire qui a été décidée démocratiquement leur semble vraiment inappropriée et importante, peuvent donc facilement partir ailleurs :

Dans le domaine des loisirs, il est rare qu’une association ait le monopole, et quoi qu’on en dise, la magie est un loisir, pour les amateurs.

Il est donc utile que les bénéfices que retire le membre, que ce soit des services, des avantages, ou un bénéfice moral, soit adaptés à ce que ce membre est prêt à payer pour cela, en argent, mais aussi en temps et en travail.

L’adaptation se fait presque naturellement, ceux qui trouvent que ça ne vaut pas le coup s’en vont.

Mais un phénomène pervers apparait : ceux qui restent, qui ont donc consentit plus que ceux qui sont partis, trouve une satisfaction à se savoir « de ceux qui restent » :

« C’est un écrémage qui permet de ne garder que les meilleurs… »

Les meilleurs ?

Non, simplement ceux qui sont prêts à donner plus.

Est-ce un gage de qualité ?

Pas toujours.

Un gage d’inertie, ou de mise en avant de l’ego, parfois. Trop souvent, j’en ai peur…

Il n’y a pas de mérite à rester dans une structure qui ne nous convient pas.

Et il n’y a pas de déshonneur à la quitter.

Voilà, ce n’est pas pour faire le donneur de leçon, mais la démocratie est un terme tellement courant qu’on n’y réfléchis pas toujours en fonction de l’échelle d’application…

Je vous laisse y réfléchir vous-même ;)

Gilbus.

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Pourquoi prendre le risque de concourir en ne respectant pas les règles ? 🤔
    • C'est du ChaKPT, non ? (La neutralité du ton y ressemble et il y a des infos qui m'interpellent - il a vraiment été ovationné des son ENTRÉE sur scène ?)
    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
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