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"Si les magiciens n'ont pas un répertoire suffisant pour ne montrer QUE de la magie et rien QUE de la magie pendant le court laps de temps visuel qui leur est imparti, ils devraient pousser une petite chansonnette à boire * plutôt que de raccuser leurs secrets.Tous les magiciens débinent, être un artiste c'est faire autrement que les autres ..."

Je crois que certains n'ont pas compris le principe de l'émission qui est d'envoyer des invités prendre des cours dans Paris, des cours normalement très originaux auquels on ne pense pas : ce peut être telle danse folklorique, fabriquer je ne sais quoi et là c'était des cours de magie. Donc évidemment le but c'était de filmer un cours et non un magicien entrain de faire de la magie.

Melvin

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Publié le (modifié)

Bien sûr si le but est de montrer la transmission à tous de vos chers et couteux secrets, réduits à la technique du macramé métallique, de la taille des baobabs-bonsaï ou de la fabrication du pain à base de sciure (de mouches) c'est un autre problème qui bien sûr est le vô-ôtre.

Un grand bienfait pour la magie ou c'est bien fait pour ta poire ?

T'as vu d'la magie ? Y'en a plus !

Modifié par GRANDOZZIO

T'as vu ? Y'en a plus !

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Donc Grandozzio tu es contre l'existence de ces écoles de magie ?

Je suis pour, et très pour, pour (3 X pour) pour la transmission d'un art de maître à élève(s).

Je suis contre les garderies où on dépose les gosses pour "apprendre" que la magie ce n'est que ça. Idem pour les clubs du 3ème âge, ou les cours inutiles pour adultes. Ce n'est que du pognon à gagner et non de la transmission d'un art. Candidats artistes ou cheptel ?

J'ai toujours prôner le recours à un maître pour celui qui n'est pas "enfant de la balle" mais vendre des secrets (aujourd'hui de Polichinelle) sous forme de cours et stages : Niet !

Il faut bien former des magiciens me direz-vous. Quelques artistes, oui, mais une fourmilière où il y aura plus de magiciens que de spectateurs et de moins en moins de secrets : Reniet !

Une salle ou un cabaret ferme ses portes et s'ouvrent cinq écoles ....

Mais c'est votre tartine, pas mon caviar, si vous trouvez que tout va bien, c'est bien ...

Opinion toute personnelle parmi 4 milliards d'individus ....

Modifié par GRANDOZZIO

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Non c'est intéressant comme opinion.

A vrai dire j'ai pas trop d'avis sur les écoles de magie.

Ce que je n'aime pas, c'est l'attitude des parents qui inscrivent les enfant à une multitudes de cours extrascolaires sans qu'ils n'aient rien demandés (piano, judo, etc...).

Melvin

Publié le (modifié)

Ce que je n'aime pas, c'est l'attitude des parents qui inscrivent les enfant à une multitudes de cours extrascolaires sans qu'ils n'aient rien demandés (piano, judo, etc...).

Exact, j'ai enseigné l'Aïkido, et j'avais plus souvent d'être le surveillant d'une garderie que d'enseigner dans un dojo. Inutile d'ajouter que mes petits pratiquants étaient également inscrits à des cours (dont ils n'avaient rien à foutre) de peinture, musique et pourquoi pas ... magie. Une surveillance par soirée et le scoutisme le week-end. On appelle cela la vocation.

Modifié par GRANDOZZIO

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C'est marrant qu'on puisse s'indigner parce qu'un tour de carte à été expliqué à la télé , n'importe quel profane peut rentrer dans une boutique de magie acheter ce qu'il veut . N'importe quel profane peut choper ce qu'il veut sur internet et la ... Ça choque personne !!!!

Moi, ça me choque que ça ne choque personne. Et pourtant la magie et ses secrets, je n'en vis pas donc finalement vous voir cracher sur votre gagne-pain devrait me plonger dans la béatitude de l’indifférence totale.

Mais on ne peut se refaire, voir un artisan casser ses outils ça me révolte.

Si les magiciens n'ont pas un répertoire suffisant pour ne montrer QUE de la magie et rien QUE de la magie pendant le court laps de temps visuel qui leur est imparti, ils devraient pousser une petite chansonnette à boire * plutôt que de raccuser leurs secrets.Tous les magiciens débinent, être un artiste c'est faire autrement que les autres ...

* Chantons :

Il est des nô-ôtres,

Il débine ses tours comme nous au-autres (bis) [/quote

et il ne s'agit la que d'un tour dans une emission lambda ! mais que fais tu des nombreuses saisons de débinage de l'homme masqué ???

je pense (mais ça c'est mon opinion !) que ce que l'on montre a la télé (homme masqué y compris) ne fait pas tant de mal que ça a la magie car notre art évolue sans cesse , on a comme qui dirait , toujours un temps d'avance tu ne crois pas ?

moi non plus je ne vis pas de la magie ,mais j'ai une telle passion que je suis autant concerné qu'un professionnel

Ici c'est le chaudron !!!

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je pense (mais ça c'est mon opinion !) que ce que l'on montre a la télé (homme masqué y compris) ne fait pas tant de mal que ça a la magie car notre art évolue sans cesse , on a comme qui dirait , toujours un temps d'avance tu ne crois pas ?

Je ne pense pas que l'art évolue puisqu'elle perd de jour en jour son aura de mystère. Le magicien devient un montreur d'effet spéciaux "Mais comment fait-il, la solution la semaine prochaine". La technique évolue, ainsi que le clonage des présentations. En effet elle se renouvelle sans cesse puisqu'il faut renouveler sans cesse les catalogues en "soldant" les anciens trucs en les cassant.

Oui les techniques évoluent et se renouvellent sans cesse inversement à l'effet magique. Quand à parler d'art pour un métier dont le but est le mystère, je n'oserais plus galvauder ce mot. Donc si les masqués et autres proxénètes de la magie ne vous font pas d'ombre et vous font plus évoluer qu'un livre à serrure, ben tant mieux pour vous. Moi j'ai la joie d'avoir vécu une autre magie que vous qualifiez de ringarde. C'est un autre monde, une autre magie. Je vous la laisse.

- "Ah, vous êtes magicien ? Montrez-moi comment vous faites"

Modifié par GRANDOZZIO

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Bon, je vais me faire taper dessus, mais bon...

Si le seul outil du magicien, c'est le secret qui entoure le modus operandi de ses tours, si c'est la façon dont il crée le mystère, alors je pense qu'il y a erreur. Et selon moi un problème de compréhension de ce qui est vraiment magique.

Oui le débinage fait du mal. Il fait du mal à ceux qui disent "et là tu vois, je claque des doigts et la carte remonte sur le dessus!" (un exemple comme un autre).

Allez demander à Eugene Burger ou Max Maven (autres exemples comme un autre) s'ils souffrent du débinage. Certaines de leurs méthodes sont limpides pour qui regarde un peu, mais là n'est pas l’intérêt.

La magie, ça dépasse le tour, ça dépasse le magicien. On la trouve tellement partout qu'on ne devrait pas avoir le droit de s'approprier ce terme. On est pas plus magicien qu'un peintre ou un cinéaste ou tout autre artistes qui ont, depuis longtemps, rendus accessibles leurs méthodes (j'ai pas dit "dévoilés").

Il y a une citation de Sacha Guitry: "Quand on écoute du Mozart, le silence qui suit est encore de Mozart."

Regardez une performance de Burger ou Mc Bride, et écoutez. Elle est là la magie.

Ce moment de flottement qui nous fait dire, plus tard, une fois les mots retrouvés: "c'est dingues ce qu'on peut nous faire vivre avec 52 bouts de carton (quelques coups de pinceaux/ quelques lettres/ quelques notes/ quelques mots)".

Est ce que c'est le secret qui crée ça?

Il parait que la magie est un art...

Publié le (modifié)

Eugène Burger, Max Maven, Jeff Mc Bride, et quelques autres. Quid des 350.000 autres magiciens ?

La peinture et la musique sont accessibles à tous, comme la magie. C'est ainsi que nous voyons et entendons tant de bouses ... comme pour la magie.

Je ne pense pas que les trois susnommés compensent leurs prestations télévisuelles par le débinage public de leurs techniques. Enfin je ne le pense pas mais je ne suis pas à une déception près en magicland.

Je connais des artisans qui gagnent plus ou moins leur vie en présentant ce qu'ils pensaient être un art. Ils ne sont pas Eugène Burger, Max Maven, Jeff Mc Bride, ou quelques autres et ils souffrent du débinage. mais je ne vais pas relancer cet éternel débat, "le débinage c'est bien ou c'est de la mer.e ?"

J'ai mon opinion, mais le principal c'est que les pros et grands amateurs de la magie jugent que non seulement ça ne fait pas mal mais qu'en plus ça leur fait du bien (Massage avec sévérité chez Lolonibard, tous les mercredis à partir de 22 heures).

En ce qui me concerne, l'image de la magie et des magiciens s'est cassée en même que l'industrialisation du débinage forcené pour former de nouveaux adeptes. Pourvu que demain vos rares salles continuent à se remplir par un public amateur d'histoires sans surprise.

Modifié par GRANDOZZIO

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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