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Publié le

Salut à tous!

Une petite question pour vous les ballooners... Hier j'ai effectué pas mal de sculptures pour une association à Stockholm, en extérieur, et malgré mes Qualatex, que je pensais de bonne qualité, j'ai eu pas mal d'explosions (dans mes mains, ou un peu plus tard, une fois la sculpture finie). Est-ce la chaleur (il faisait 25°C)? Ou bien la poussière, les graviers au sol (si l'enfant fait tomber sa sculpture par exemple?). Ou bien ma façon de faire?

Merci par avance pour conseils et retours!

friboudi

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Publié le

Ça peut venir de plusieurs choses, peut-être que les ballons étaient vieux, peut-être une mauvaise série, peut-être que tu les sur gonfles ?

Je ne pense pas que ça soit la température de 25° qui les fassent éclater.

La seule fois où mes ballons éclataient à cause de la chaleur il faisait entre 35 et 40°.

Dimanche dernier j'ai fait environ 600 ballons et j'en ai éclaté moins d'une dizaine, tous à cause d'un sur gonflage donc de ma faute.

Seuls 3 avaient un défaut de fabrication.

Par contre j'ai senti que les verts lime étaient plus fins que d'habitudes, donc peut-être un problème sur la série.

  • J'aime 1
Publié le

Je venais de les recevoir, donc ils étaient neufs. J'avais des explosions sur les rouges et verts lime uniquement (plus fins?, environ 1 explosion sur 10).

Comment éviter la surgonfle? Faire ressortir un peu d'air? Je croyais que ce n'était pas top de faire ressortir de l'air...

Publié le

Tu venais de les recevoir mais peut-être que ton fournisseur les avait en stock depuis...

Les nouveaux paquets de Qualatex sont bleus en haut du sac, si tu reçois un sac rouge tu sais qu'il n'est pas trop récent.

Je relâche toujours un peu d'air (pas beaucoup) avant de faire le nœud.

Avant de twister ton ballon tu peux aussi le presser pour chasser l'air et le rendre un peu plus souple, après ça dépend des modèles que tu fais.

Pour un pinch twist par exemple c'est mieux de rendre la bulle le plus souple possible.

  • 4 weeks plus tard...
Publié le

Bon, moi je fais environ 100 ballons une fois de temps à autre (genre 5 à 6 fois par an).

Je pense qu'on sera d'accord que la cause numéro 1 d’explosion c'est la vieillesse du ballon (cela dit même si j'avais déjà remarqué le changement de couleur en haut des sacs Qualatex je n'avais jamais été foutu de faire la corrélation avec l’age des ballons jusqu’à ce que je lise ce post... :( )

Je n'ai jamais eu de problème avec la chaleur, cependant l'exposition directe et prolongée au soleil ça me parait avoir un effet notable, et une fois j'avais oublié un paquet dans une voiture au soleil et ça avait pété pas mal.

Enfin pour le gonflage, de mon coté je n'ai jamais vu de différence entre lâcher un peu d'air ou ne pas le faire (donc en général je relâche un peu d'air).

Après être tombé sur une mauvaise série je suppose que ça arrive aussi...

"Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose."

Publié le (modifié)

Les ballons noirs / sombres on tendance a être très sensible a la chaleur .

Stocker un paquet de ballons en plein soleil = mort assurée ...

La température arrange rien , mais normalement, même a 30°C ça passe, mais restes a l'ombre ... toi et tes ballons ! ;) Sous un arbre c'est mieux que sous un parasol ...

De l'herbe ou un sol en goudron au soleil = mortel pour les ballons : met un tapis au sol ! ;).

Ludo.

Modifié par Magicludovic
  • J'aime 1
  • 8 années plus tard...
Publié le
Le 26/05/2013 à 12:27, Dorian CAUDAL a dit :

Hier j'ai effectué pas mal de sculptures pour une association à Stockholm, en extérieur, et malgré mes Qualatex, que je pensais de bonne qualité, j'ai eu pas mal d'explosions (dans mes mains, ou un peu plus tard, une fois la sculpture finie). Est-ce la chaleur (il faisait 25°C)? Ou bien la poussière, les graviers au sol (si l'enfant fait tomber sa sculpture par exemple?). Ou bien ma façon de faire?

Une autre hypothèse :

magie-humour-dessins-piercing-ballon.jpg

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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