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"L'acide désoxyribonucléique : support de stockage ultime de l'humanité ?"


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Melvin, je pense comme toi que le jour où une preuve scientifiquement inattaquable de vie dans l'espace d'origine extraterrestre sera mise en évidence, on en entendra parler. :D

Néanmoins, des bactéries dans l'espace (sous forme de spores par exemple), il y en a effectivement, d'origine terrestre au moins. :D

Extraits d'un article du CNES :

Les micro-organismes supportent-ils un voyage interplanétaire ? Résistent-ils à un séjour prolongé dans des environnements hostiles ?

Certains micro-organismes vivent dans des conditions extrêmes : températures élevées, fortes pressions, milieux hypersalés ou très acides etc. D’autres peuvent se développer en présence de rayonnements ionisants ou d’UV. Toutes les bactéries prolifèrent si les conditions environnementales leur sont favorables.

Mieux : lorsqu’elles se trouvent dans un environnement qui devient hostile, certaines espèces de bactéries adoptent une « technique de survie » : la sporulation. Elles se deshydratent et s’entourent d’une « coque » épaisse particulièrement résistantes aux conditions environnementales. Elles peuvent rester ainsi en sommeil pendant plusieurs années, voire pour certaines pendant des dizaines de millions d’années.

plusieurs centaines de milliers de spores auraient pu résister aux conditions d'un voyage interplanétaire et atteindre la planète Mars à l'occasion des différentes missions qui l'ont visitée

La survie de spores dans l'espace aurait été mise en évidence en 1969.

A son retour sur Terre, l'équipage de la mission Apollo 12 rapporte la caméra du robot Surveyor 3 qui a aluni automatiquement plus de 2 ans auparavant.

Cette caméra a passé 31 mois sur la Lune.

Une équipe scientifique travaillant pour la Nasa trouve alors des spores bactériennes dans la gaine d'un câble, à l'abri des rayons ultraviolets du Soleil.

Certains pensent qu'elles ont pu résister à leur séjour lunaire ; d'autres estiment que l'on ne peut exclure l'hypothèse d'une contamination de laboratoire...

Source : http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/5177-des-micro-organismes-particulierement-resistants.php

***

Extraits de la page Wiki sur les bactéries :

Séjour dans l’espace

Dans l'espace, les bactéries deviendraient presque trois fois plus virulentes. C'est du moins le cas de Salmonella typhimurium, une bactérie responsable d'intoxication alimentaire. Celles-ci ont fait un voyage à bord de la navette Atlantis en 2006. À leur retour, les bactéries qui avaient été conservées dans un récipient étanche, ont été transmise à des souris. Il n'a fallu que le tiers de la dose habituelle pour tuer la moitié du groupe de souris qui avait été infecté.

Recherche de bactéries extraterrestres

On cherche actuellement à savoir s'il a existé une vie bactérienne sur la planète Mars. Certains éléments d'analyse du sol martien semblent s'orienter en ce sens, et la présence abondante d'eau sur Mars jadis a peut-être pu constituer un terrain extrêmement favorable au développement de la vie bactérienne, si elle est apparue. Si la chose venait à être confirmée, ce serait un élément important en faveur de l'hypothèse de panspermie.

D'autres recherches s'intéressent aussi aux glaces de la lune jovienne Europe qui abritent de l'eau liquide sous leur surface.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bact%C3%A9rie

***

Un scientifique de la Nasa, Richard Hoover, affirme avoir trouvé des traces de vie extraterreste fossilisées dans les fragments d'une météorite. Une déclaration qui suscite enthousiasme et scepticisme au sein de la communauté scientifique. Richard Hoover est un « scientifique très respecté et un astrobiologiste à la réputation exemplaire à la Nasa », affirme le rédacteur en chef de la revue, Rudy Schild, du Centre pour l'astrophysique au Harvard-Smithsonian.

L'article de Richard Hoover, accompagné de photos prises au microscope de petites créatures ressemblant à des vers, a été publié le 4 mars 2011 dans le Journal de cosmologie américain, disponible sur internet. « Les implications sont que la vie est partout et que la vie sur Terre pourrait venir d'autres planètes », écrit l'auteur de cette étude.

Source : http://www.rfi.fr/science/20110307-traces-vie-reperees-une-meteorite/

Il a trouvé ce qui ressemble à des bactéries qu'il a appelées « fossiles autochtones » et dont il pense qu'ils proviennent non pas d'une contamination une fois que la météorite a frappé la Terre, mais bien de l'espace et d'organismes vivants contenus dans des comètes, météorites ou autres objets stellaires.

Mais :

Carl Pilcher, directeur de l'Institut d'astrobiologie de la Nasa, a confié à l’AFP : "Je n'ai connaissance d'aucun autre chercheur spécialiste des météorites venant appuyer ces affirmations plutôt extraordinaires selon lesquelles il y aurait des preuves de la présence de microbes dans les météorites avant qu'elles arrivent sur Terre et non pas par contamination après leur arrivée sur Terre". Puis d’ajouter : "L'explication la plus simple est qu'il y a des microbes dans les météorites, que ce sont des microbes terriens, en d'autres termes qu'il y a contamination". Selon lui, les météorites étudiées par Richard Hoover sont arrivées sur Terre il y a 100 ou 200 ans. Ayant été manipulées par l’homme plusieurs fois, "on peut s’attendre à y trouver des microbes".

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/vie/traces-de-vie-extraterrestre-dans-une-meteorite-la-nasa-est-sceptique_art12995.html

***

Les effets d'annonce et les controverses font vivre médiatiquement certaines hypothèses scientifiques, la vie extraterrestre est l'un des thèmes les plus porteurs.

Pour autant, Hoover n'est pas un guignol :

Richard Brice Hoover (B.Sc.) (born January 3, 1943) is a scientist who has authored 33 volumes and 250 papers on astrobiology, extremophiles, diatoms, solar physics, X-ray/EUV optics and meteorites. He holds 11 U.S. patents and was 1992 NASA Inventor of the Year. He was employed at the United States' NASA Marshall Space Flight Center from 1966, where he worked on astrophysics and astrobiology. He established the Astrobiology Group there in 1997 and until his retirement late 2011 he headed their astrobiology research. He conducted research on microbial extremophiles in the Antarctic, microfossils, and chemical biomarkers in precambrian rocks and in carbonaceous chondrite meteorites.

Hoover is best known for having claimed three times (1997, 2007, and 2011) to have discovered fossilized microorganisms in a collection of select meteorites.

Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Richard_B._Hoover

***

Hoover a très récemment discuté de ses recherches lors d'une conférence donnée au Congrès International d’Ufologie 2014, en Arizona, en février 2014.

Lors de l'événement, Hoover s'est publiquement entretenu avec le journaliste Lee Spiegel du Huffington Post . Ce dernier lui a demandé de livrer des arguments concernant la thèse que la vie ne se limitait pas à notre planète.

Hoover a répondu : « Je suis absolument convaincu que la vie n’est pas limitée à la planète Terre, parce que j'ai découvert des restes de formes de vie extraterrestre. »

Spiegel a souligné que les conclusions de Hoover avaient été accueillies avec scepticisme par la critique.

Au cours de l'interview de Spiegel, il a également questionné Hoover sur un éventuel organisme photographié par le Rover Opportunity de La NASA.

Hoover a expliqué :

« Le Rover Opportunity en 2004 a capturé une image d'une structure fascinante sur Mars qui présente des caractéristiques structurelles et compatibles avec les organismes présents sur la Terre appelés crinoïdes. . . Les crinoïdes sont des échinodermes, comme les étoiles de mer par exemple . . .

La photo prise sur Mars présente des caractéristiques qui sont compatibles avec ce que nous savons des crinoïdes. . . Vous aviez hypothétiquement un possible fossile issu d'un organisme présent dans une roche sur Mars, et trois heures et demie après que la photo ait été prise, ce rocher avait été détruit par l'outil d'abrasion. »

Hoover affirme qu'il a demandé à La Nasa et plus précisément à l’astrobiologiste David McKay d’expliquer pourquoi une telle structure d’importance avait été détruite.

McKay lui a répondu que cela avait été réalisé pour les besoins de l’exploration afin de rechercher du carbone.

Néanmoins Hoover a un problème avec cette réponse et explique : " Eh bien, le problème est que quelqu'un qui fait beaucoup dans le domaine de la paléontologie sait que vous n'avez pas besoin de chercher du carbone pour découvrir des fossiles."

Source article (Source : www.openminds.tv et Traduction par Ovnis-Direct) : http://ovnis-direct.com/trace-de-vie-detruite-sur-mars-selon-richard-hoover.html

Hoover est très affirmatif dans sa prise de position :

[video:youtube]

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Extraits d'un article du CNES :

Certains micro-organismes vivent dans des conditions extrêmes : températures élevées, fortes pressions, milieux hypersalés ou très acides etc. D’autres peuvent se développer en présence de rayonnements ionisants ou d’UV. Toutes les bactéries prolifèrent si les conditions environnementales leur sont favorables.

Mieux : lorsqu’elles se trouvent dans un environnement qui devient hostile,certaines espèces de bactéries adoptent une « technique de survie » : la sporulation. Elles se deshydratent et s’entourent d’une « coque » épaisse particulièrement résistantes aux conditions environnementales. Elles peuvent rester ainsi en sommeil pendant plusieurs années, voire pour certaines pendant des dizaines de millions d’années.

Oui des bactéries extrèmophiles ça existe sur terre mais cela ne prouve pas qu'il y en a dans l'espace.

Plusieurs centaines de milliers de spores auraient pu résister aux conditions d'un voyage interplanétaire et atteindre la planète Mars à l'occasion des différentes missions qui l'ont visitée

La survie de spores dans l'espace aurait été mise en évidence en 1969.

Ce n'est pas parque ces extrèmophiles pourraient vivre dans l'espace qu'il y en a !

A son retour sur Terre, l'équipage de la mission Apollo 12 rapporte la caméra du robot Surveyor 3 qui a aluni automatiquement plus de 2 ans auparavant.

Cette caméra a passé 31 mois sur la Lune.

Une équipe scientifique travaillant pour la Nasa trouve alors des spores bactériennes dans la gaine d'un câble, à l'abri des rayons ultraviolets du Soleil.

Certains pensent qu'elles ont pu résister à leur séjour lunaire ; d'autres estiment que l'on ne peut exclure l'hypothèse d'une contamination de laboratoire...

Avec 2 hypothèses différentes possibles, on ne peut pas conclure que ces bactéries viennent de l'espace.

Extraits de la page Wiki sur les bactéries :

Séjour dans l’espace

Dans l'espace, les bactéries deviendraient presque trois fois plus virulentes. C'est du moins le cas de Salmonella typhimurium, une bactérie responsable d'intoxication alimentaire. Celles-ci ont fait un voyage à bord de la navette Atlantis en 2006. À leur retour, les bactéries qui avaient été conservées dans un récipient étanche, ont été transmise à des souris. Il n'a fallu que le tiers de la dose habituelle pour tuer la moitié du groupe de souris qui avait été infecté.

Encore aucune preuve d'une bactérie extraterrestre.

Recherche de bactéries extraterrestres

On cherche actuellement à savoir s'il a existé une vie bactérienne sur la planète Mars. Certains éléments d'analyse du sol martien semblent s'orienter en ce sens, et la présence abondante d'eau sur Mars jadis a peut-être pu constituer un terrain extrêmement favorable au développement de la vie bactérienne, si elle est apparue. Si la chose venait à être confirmée, ce serait un élément important en faveur de l'hypothèse de panspermie.

D'autres recherches s'intéressent aussi aux glaces de la lune jovienne Europe qui abritent de l'eau liquide sous leur surface.

Rien encore ici ne montre la présence réelle de bactéries extraterrestre. Des suppositions seulement.

Un scientifique de la Nasa, Richard Hoover, affirme avoir trouvé des traces de vie extraterreste fossilisées dans les fragments d'une météorite.Une déclaration qui suscite enthousiasme et scepticisme au sein de la communauté scientifique. Richard Hoover est un « scientifique très respecté et un astrobiologiste à la réputation exemplaire à la Nasa», affirme le rédacteur en chef de la revue, Rudy Schild, du Centre pour l'astrophysique au Harvard-Smithsonian.

L'article de Richard Hoover, accompagné de photos prises au microscope de petites créatures ressemblant à des vers, a été publié le 4 mars 2011 dans le Journal de cosmologie américain, disponible sur internet. « Les implications sont que la vie est partout et que la vie sur Terre pourrait venir d'autres planètes », écrit l'auteur de cette étude.

Il a trouvé ce qui ressemble à des bactéries qu'il a appelées « fossiles autochtones » et dont il pense qu'ils proviennent non pas d'une contamination une fois que la météorite a frappé la Terre, mais bien de l'espace et d'organismes vivants contenus dans des comètes, météorites ou autres objets stellaires.

Mais :

Carl Pilcher, directeur de l'Institut d'astrobiologie de la Nasa, a confié à l’AFP : "Je n'ai connaissance d'aucun autre chercheur spécialiste des météorites venant appuyer ces affirmations plutôt extraordinaires selon lesquelles il y aurait des preuves de la présence de microbes dans les météorites avant qu'elles arrivent sur Terre et non pas par contamination après leur arrivée sur Terre". Puis d’ajouter : "L'explication la plus simple est qu'il y a des microbes dans les météorites, que ce sont des microbes terriens, en d'autres termes qu'il y a contamination". Selon lui, les météorites étudiées par Richard Hoover sont arrivées sur Terre il y a 100 ou 200 ans. Ayant été manipulées par l’homme plusieurs fois, "on peut s’attendre à y trouver des microbes".

Des météorites étudiées en 2011 et tombées sur terre 100 ans auparavant montrant des traces ressemblant à des vers... Où sont les bactéries extraterrestres ?

Hoover a très récemment discuté de ses recherches lors d'une conférence donnée au Congrès International d’Ufologie 2014, en Arizona, en février 2014.

Lors de l'événement, Hoover s'est publiquement entretenu avec le journaliste Lee Spiegel du Huffington Post . Ce dernier lui a demandé de livrer des arguments concernant la thèse que la vie ne se limitait pas à notre planète.

Hoover a répondu : « Je suis absolument convaincu que la vie n’est pas limitée à la planète Terre, parce que j'ai découvert des restes de formes de vie extraterrestre.»

Spiegel a souligné que les conclusions de Hoover avaient été accueillies avec scepticisme par la critique.

Au cours de l'interview de Spiegel, il a également questionné Hoover sur un éventuel organisme photographié par le Rover Opportunity de La NASA.

Hoover a expliqué :

« Le Rover Opportunity en 2004 a capturé une image d'une structure fascinante sur Mars qui présente des caractéristiques structurelles et compatibles avec les organismes présents sur la Terre appelés crinoïdes. . . Les crinoïdes sont des échinodermes, comme les étoiles de mer par exemple . . .

La photo prise sur Mars présente des caractéristiques qui sont compatibles avec ce que nous savons des crinoïdes. . . Vous aviez hypothétiquement un possible fossile issu d'un organisme présent dans une roche sur Mars, et trois heures et demie après que la photo ait été prise, ce rocher avait été détruit par l'outil d'abrasion. »

Hoover affirme qu'il a demandé à La Nasa et plus précisément à l’astrobiologiste David McKay d’expliquer pourquoi une telle structure d’importance avait été détruite.

McKay lui a répondu que cela avait été réalisé pour les besoins de l’exploration afin de rechercher du carbone.

Néanmoins Hoover a un problème avec cette réponse et explique : " Eh bien, le problème est que quelqu'un qui fait beaucoup dans le domaine de la paléontologie sait que vous n'avez pas besoin de chercher du carbone pour découvrir des fossiles.

Qu'il y ait une vie extraterrestre, je suis le premier à y croire mais qu'un institut nous dise que des bactéries extraterrestres ont déjà été découverte, je dis que c'est un mensonge.

Dans tout ce que tu as listé, on a :

- le fait que certaines bactéries terriennes pourraient vivre hors de la Terre ;

- des suppositions sur ce qu'on pourrait trouver sur d'autres planètes ;

- une découverte peu plausible de Hoover.

je suppose que c'est sans doute le journaliste qui a mal relégué l'info initiale de l'article dont tu parles (http://www.slate.fr/story/98219/spheres-metal-microscopiques-adn-vie-terre#xtor=RSS-2)

Modifié par Melvin

Melvin

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Un groupe de scientifiques anglais affirme avoir découvert dans la haute atmosphère une sphère de métal microscopique contenant de la matière organique qui aurait été envoyée sur terre par une civilisation extraterrestre pour « ensemencer » notre planète. Cela s’apparente plus au début d’une nouvelle de science-fiction qu’à de la science pure et dure… et pourtant.

Si ça se vérifie, c'est énorme !

En espérant que si des extra-terrestres sèment des graines sur la terre, ils ne reviendront pas chercher leur récolte !

Cette nouvelle étant très récente, on ne trouve pas tellement de contradiction sur internet pour l'instant. Sous un article du Daily Mail, un commentateur suggère qu'un bout de titane ait pu se détacher d'un avion militaire volant à haute altitude (par exemple le Blackbird qui a 27 km de plafond, la même altitude que celle des ballons de l'équipe scientifique).

Rappelons aussi que l'autre révélation dont tu parles, des fossiles contenus dans des météorites, s'est révélée bidon (d'après cet autre article de Slate)

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Rappelons aussi que l'autre révélation dont tu parles, des fossiles contenus dans des météorites, s'est révélée bidon (d'après cet autre article de Slate)

Comment fais-tu pour accorder plus de crédit au scepticisme de Phil Plait qu'aux études de Richard Brice Hoover (voir son CV édifiant que j'ai édité plus haut) ? C'est sur la base de cette seule critique trouvée sur Internet que tu détermines ta position -8 ?

Phil Plait writes Slate’s Bad Astronomy blog and is an astronomer, public speaker, science evangelizer, and author of Death From the Skies!

Philip Cary Plait (alias « The Bad Astronomer ») est un astronome et un sceptique américain. Il est l'auteur du Bad Astronomy Blog. Il a travaillé précédemment au département de physique et d'astronomie de l'université d'État de Sonoma (Sonoma State University).

Source : CLIC

***

Pour ma part, j'ai édité l'info plus haut sans a priori, tant mieux si cela suscite des réactions. Cela m'a fait penser à Prometheus de Ridley Scott, l'avez-vous vu ?

Synopsis :

Dans un passé lointain, un vaisseau extraterrestre arrive sur Terre. Un être humanoïde y est déposé et s'y sacrifie en absorbant un liquide noir sous l'effet duquel son corps se désagrège, répandant son ADN dans un cours d'eau.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Prometheus_(film)

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Christian :

"Ah là là, les croyances, on n'y échappe pas hein ! "

Pour moi c'est évident que des formes de vie se trouvent qqpart dans cette immensité qu'est l'univers.

J'ai dû déjà le raconter, mais imaginons qu'un vaisseau spatial extraterrestre vienne sur Terre il y a 280 millions d'années. Que voient-ils ? De la vie, surtout des dinosaures.

Ils se disent : "bon, revenons dans 1 million d'années et on verra s'il y a des espèces plus intéressantes"

Ils reviennent 1 millions d'années plus tard il y a 279 millions d'années. Que trouvent-ils : encore des dinosaures.

"Bon revenons dans 1 autre million d'années..."

1 million d'années plus tard, encore des dinosaures...

Et ils peuvent faire ça pdt 180 millions d'années : toujours et encore des dinosaures...

Pour trouver des humains de notre espèce, il faut venir dans les 100 derniers mille ans !

Melvin

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Merci Melvin, c'est amusant effectivement.

Pour moi c'est évident que des formes de vie se trouvent qqpart dans cette immensité qu'est l'univers.

Ce qui est amusant, c'est que ce paradigme qui fait presque consensus dans la communauté scientifique est assez nouveau, et qu'il est tout aussi fascinant que celui qui consistait à imaginer que nous sommes seuls...

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Dans le dernier N° de "Pour la science", on parle de planète superhabitables !

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/e/espace-numerique-detail.php?art_id=33895&num=449&utm_source=header

Christian :

"Ce qui est amusant, c'est que ce paradigme qui fait presque consensus dans la communauté scientifique est assez nouveau, et qu'il est tout aussi fascinant que celui qui consistait à imaginer que nous sommes seuls..."

Bien vu, les deux idées sont aussi fascinantes l'une que l'autre.

Melvin

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Dans le dernier N° de "Pour la science", on parle de planète superhabitables !

Tant qu'elles ne sont pas super-imbitables... ;)

Étymologie

Imbitable : Dérivé du verbe biter qui signifie « comprendre », avec le préfixe im- et le suffixe -able.

imbitable : masculin et féminin identiques

(Argot) Incompréhensible, difficile à comprendre.

Source : clic

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