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Publié le
Xavier, (que j’ai eu le plaisir d’avoir au téléphone ce matin ;) )

Julien est comme moi… Il a un souci quasi œdipien avec le monde magique…

Lui et moi sommes un peu "magicophobes" quoi… Et on vient se guérir sur VM :)

Bon, notes que nous n’avons pas du tout la même stratégie lui et moi…

Julien attaque surtout les magiciens sur leurs défauts de mise en scène, leur manque d’originalité, leur archaïsme…

Pour ma part, je m’attaque plutôt aux bases et aux fondements de cet Aaaarrrtttt… Un art d’esbroufe, d’apparences et de mensonge… Car, même si on l’habille de dentelle et de poésie, le fond est celui là !

En ce sens julien a trouvé plus radical que lui (plus "pervers" aussi :) )... Je me demande si ça ne lui fait pas un petit peu peur...

Bon, ça ne m’empêche pas de travailler aussi les magiciens au corps sur leurs contradictions et incohérences - sur le thème du paranormal par exemple (un thème inépuisable, ça, j’adoooorreeee !).

Shiva... T'AS PAS DU BOULOT lol

En ce qui te concerne, je crois connaitre un bon bout de ta vie et de ton parcours. Je sais ce que tu as pratiqué mais que l'on ne dira pas ici :) Zoophilie avec un singe en-goudronné et tu tonds ton chat pour qu'il ressemble à un sphynx :)

Bon je rigole les gars... Pour ceux qui ne connaissent pas le second degré... Shiva et moi avons commencé la magie ensemble il y a près de... 25/30 ans

Donc j'accepte tes coups de gueule et j'avoue que j'aime bien aussi... Par contre les choses gratuites que je trouve limite un peu connes j'ai du mal...

Ça ne sert à rien d'être aigri pour je ne sais quelles raisons. Ça n'apporte rien de bon. C'est juste souvent gratuit et sans intérêt...

Donc comme le dit le titre du post... Sachons plutôt remercier ceux qui nous font avancer...

Amitiés à tous

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Publié le

Bon je suis cité je vais donc devoir aussi ( a contre coeur ) intervenir, les messages "privés" n'ont décidément plus que le nom.

Je trouve ca juste dommage le coté aigri effectivement qui peux etre systématique , surtout quand il n'y a pas lieu !Là pour le post de Xavier nico avec le coup des clicks , c'est l'hallu ! Où est l'intéret d'avoir un blog si on peux plus le faire partager etc... Surtout que dans le premier post tu dis etre au second degré , et finalement aprés que frank t'ai répondu tu finis quand meme par dire que tu penses vraiment que cest pour faire du traffic..

enfin bref , cest vraiment voir le mal partout et ça vraiment c'est ta tendance julien , il y'a aussi le post précédent au sujet de la video sur le numéro de Xavier où sans aucun éléments tu balances le truc du plagiat ! Et meme si tu dis t'être excusé encore heureux ! Aprés vous avez surement des vieux dossiers ensemble ou quoi , mais la ça enchaine !

enfin voilà vive la paix dans le milieu magique , je vais arrêter sinon on va me dire que je "suce" mes amis . ( enfin cetait en privé )

Publié le

Aucun dossier pour ou contre Julien Losa.

Il a juste des comptes à régler avec les associations qui apparemment ne sont pas ses amis et donc ne lui décernent ni prix, ni trophées (je dis ça puisque celui lui tout n'est que copinage)...

En même temps s'il veut des prix, qu'il vienne au nostradamus présenter un numéro. On ne lui demande pas de s'inscrire... Le nostradamus d'argent n'est pas membre de l'OEDM...Qu'il se mette en danger et s'expose à une notation. Il aura certainement un prix.

Qu'il vienne au concours de la FFAP se ramasser comme je l'ai fait devant 1500 magiciens et Monique Nakachian avec qui je travaille depuis 20 ans... Ça, ça met une de claque...

C'est juste facile de critiquer et crier au copinage...

Sinon je n'ai encore une fois rien contre lui... Je n'aime pas le personnage mais son spectacle tient la route. C'est tout ce que je demande à un artiste.

Amitiés à tous

Publié le

Hey Julien, je te lance un appel…

Le "canard enchainé" de la magie existe déjà (c’est magicus journal).

On pourrait lancer tous les deux le "hara kiri" de la magie… une sorte de journal bête et méchant pour magiciens aigris en manque de reconnaissance… C’est pour nous ça ! :)

Tu pourrais poser avec des femmes nues pour des romans photos magiques complètement délirants (un peu comme faisait Coluche à l’époque)…

Moi je ferais mon professeur Choron avec quelques articles au vitriol à la gloire du déclin de l’illusionnisme !

Qu’en penses tu ? :D

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le

Ben, dans la mesure où je ne suis ni aigri (pas complètement encore... ;) ) ni en manque de reconnaissance (pas du tout même ! :o c'est mal me connaitre...), c'est gentil, mais permets moi de décliner l'offre... ;)

pour le reste... bah...rien...je file bouquiner un bon vieux (très vieux) bouquin...

amic'

Ju'

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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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