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Publié le

bonsoir

Bon la dépression c'est bientôt moi qui vais l'avoirO.o .cette technique me donne du fil a retordre:D.

Maintenant c'est mon fil qui lâche au niveau du blocage(carte pliée) j'ai mis de la patafix mais le fil glisse a travers de la patafix:( préférez vous la cire(j'ai celle de mesigal) ou de la patafix et comment faite vous pour que ce foutu fil tienne avec la tension ?

merci

  • 2 weeks plus tard...
Publié le

Préférez la cire à la patafix.

La cire conserve une meilleure adhérence, et durcit une fois refroidie, ce qui empêche le fil de passer au traver. Une boulette avec des résidus de FI à l'ntérieur sera également plus solide, car ces morceaux serviront de retenue ;)

Oui Richard, tu peux le faire, comme Mesika dans Tarantula. Ce n'est pas lié au gimmick, c'est une façon de faire applicable à tous systèmes (et expliqués dans Invisible je crois).

Je recommande également Oblivion de Tom Wright.

David

mnemonaute_tn.jpg

Publié le
il y a 4 minutes, Chakkan a dit :

Oui Richard, tu peux le faire, comme Mesika dans Tarantula. Ce n'est pas lié au gimmick, c'est une façon de faire applicable à tous systèmes (et expliqués dans Invisible je crois).

Avec la méthode décrite dans Invisible, la main qui est dessous n'est pas vraiment libre de ses mouvements. Elle ne repose pas sur le même principe de celle décrite dans tarantula car cette dernière nécessite un FI de longueur fixe, les libertés de mouvement ne sont pas les mêmes.

We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

  • 1 month plus tard...
Publié le

J'ai acheté Invisible il y a quelques semaines mais je n'avais jamais pris le temps de commencer à le travailler, non seulement parce que je travaillais sur d'autres effets entre temps, mais peut-être aussi parce que j'étais assez intimidé avec cet outil qui m'intéressait beaucoup, mais dont la prise en main me faisait un peu peur (surtout en entendant parler de casse du fil et de montage et démontage de l'ITR :D). Je n'avais jusqu'ici jamais eu d'ITR en main, et je n'avais non plus jamais manié de FI.

Finalement, j'ai décidé de m'y mettre et j'en suis ravi ! Je conseille fortement ce produit à quelqu'un qui voudrait découvrir le FI et se familiariser avec, parce qu'il n'est finalement pas si difficile à prendre en main et que les routines sont accessibles et ne demandent pas une maîtrise technique si élaborée (par contre au niveau de la présentation, pour que ça paraisse fluide et faire oublier la présence du fil...il y a du travail !).

Bon, comme tout le monde je crois, j'ai beaucoup cassé le fil au début. En fait, j'ai du le casser au moins cinq fois avant de réussir à faire voler la bague pour la première fois ^^. Il faut dire aussi que si je ne connaissais pas le FI, j'utilisais déjà depuis quelques temps des loops donc j'ai eu un petit problème d'adaptation pour me faire à l'idée que le FI n'est pas élastique ! Ceci dit, je casse maintenant beaucoup moins souvent : surtout quand je fais des gestes brusques ou que j'essaie de travailler au ralenti d'autres tenues pour voir jusqu'où je peux aller ou non par rapport au point de brisure. Mais je manipule de manière beaucoup plus confiante maintenant !

J'ai surtout travaillé la lévitation de la bague bien sûr, et un peu le stylo, mais pas encore essayé le jeu hanté ni les pièces (hors de ma compétence pour le moment, clairement !). En tout cas, je me prends au jeu et je pense que le FI va devenir incontournable pour moi :D !

En fait, la difficulté réelle pour moi pour le moment, outre la présentation et la possibilité de justifier tous les gestes, qui ne sont pas encore naturels, est moins de faire léviter la bague que de réussir à la poser sur la main...j'ai du mal à comprendre pourquoi j'ai du mal à faire en sorte que la bague ne lévite pas justement, afin de pouvoir commencer par la poser avant de la faire léviter. Damien Savina arrive presque à la lâcher et elle tombe sur la main, alors que pour moi je suis presque obligé de forcer pour la coller à la main, et encore...elle prend tout de suite un peu de hauteur, on voit qu'il y a une tension. Je n'ai pas encore réussi à trouver le geste ou la subtilité qui résoudra ce problème...et c'est souvent en testant à ce sujet que je casse d'ailleurs (le fil est tellement tendu que la bague lévite tout de suite en fait).

Voilà pour les petites difficultés, mais ça ne demande que du travail et de la patience au final ^^. J'ai beaucoup aimé le système d'attache, pratique et vraiment invisible, et l'ITR ne me semble pas si fragile que ça ! Par contre...je n'ai pas encore essayé de le démonter et remonter, mais il faudra que je m'y mette car je sais que c'est important de connaître la méthode. Pour le moment, chaque fois que je casse, j'aspire avec la technique mentionnée sur le forum et ça marche tout le temps.

Merci à Damien Savina de m'avoir ouvert le monde du FI en tout cas :) ! Je crois que je ne vais pas tarder à me tourner vers Bruno Copin ensuite...et peut-être aussi vers Oblivion dont j'ai lu tant d'éloges ici !

  • J'aime 1

"Il possède alors l'entière certitude de ne connaître ni un soleil ni une terre, mais seulement un œil qui voit ce soleil, une main qui touche cette terre ; il sait, en un mot, que le monde dont il est entouré n'existe que comme représentation"

Arthur Schopenhauer

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  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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