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Publié le (modifié)

@Christian Girard

à propos du retournement :

En observant et en étudiant le cerveau, on peut faire l’hypothèse que l’expérience consciente survient dans un cerveau.

Mais on peut aussi dire que l’observation du cerveau survient dans une expérience consciente… Et là, pour le coup, pas besoin de faire d’hypothèse c’est l'évidence la plus absolue (ok, il n’y a rien de certain là dedans si tu l’envisages depuis une thèse éliminitaviste mais je t’avoue que j’ai beaucoup de mal à suivre ces théories).

Tu vas peut être me dire : « Ok, l’observation du cerveau survient dans une expérience consciente mais qu’est ce qu’on fait avec ça ? ». Une fois cette constatation faite, on ne peut rien faire, pas de déduction, pas de science, pas de progrès… (je sais bien que c'est terrible, insupportable même, dans le monde actuel, l'idée qu'on ne puisse rien faire)

Certes tu ne peux rien faire avec cette constatation mais cette constatation (que tout survient dans une expérience consciente), si tu la pousses dans ces derniers retranchements, peut, peut être, faire quelque chose pour toi… une sorte de transformation intérieure, une nouvelle vision.

Cette idée qu’on ne peut pas s’extirper de sa propre conscience pour voir le monde autrement est illustrée par cette image du baron de Munchhaunsen qui, pris dans un marécage avec son cheval, aurait prétendument réussi à s’en extirper (lui et son cheval) en se tirant par ses propres cheveux. :D

 

220px-Muenchhausen_Herrfurth_7_500x789.jpg

Modifié par Shiva

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

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Publié le
Il y a 16 heures, Christian Girard a dit :

je vois mal en quoi la "Conscience", celle avec un grand C comme tu l'aimes, aurait besoin d'un bête cerveau humain pour trouver où se loger et pourquoi cela devait provoquer une sorte de grande illusion généralisée (pourquoi la Conscience serait-elle une grande trompeuse ?)

On arrive à cette conclusion tout simplement en allant jusqu'au bout de la réfutation du réalisme naïf et en tirant toutes les conséquences de cette réfutation (on ne voit pas les choses telles qu'elles sont et on ne les verra, peut être, jamais telles qu'elles sont en réalité).

Pour le dire autrement :

Le contact entre l'objet et la conscience est dit indirect, c'est-à-dire que la conscience, tel un miroir perçoit une image mentale de l'objet et non l'objet lui-même. La conscience et ses objets d'appréhension sont en effet de nature différente entre eux du fait de cette différence de nature. La nature de l'objet reste cachée à la conscience, qui ne peut se faire qu'une représentation illusoire de l'objet et donc du monde.

Philippe Cornu

 

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
Il y a 4 heures, Shiva a dit :

@Christian Girard

à propos du retournement :

En observant et en étudiant le cerveau, on peut faire l’hypothèse que l’expérience consciente survient dans un cerveau.

Mais on peut aussi dire que l’observation du cerveau survient dans une expérience consciente… Et là, pour le coup, pas besoin de faire d’hypothèse c’est l'évidence la plus absolue (ok, il n’y a rien de certain là dedans si tu l’envisages depuis une thèse éliminitaviste mais je t’avoue que j’ai beaucoup de mal à suivre ces théories).

Tu vas peut être me dire : « Ok, l’observation du cerveau survient dans une expérience consciente mais qu’est ce qu’on fait avec ça ? ». Une fois cette constatation faite, on ne peut rien faire, pas de déduction, pas de science, pas de progrès… (je sais bien que c'est terrible, insupportable même, dans le monde actuel, l'idée qu'on ne puisse rien faire)

Certes tu ne peux rien faire avec cette constatation mais cette constatation (que tout survient dans une expérience consciente), si tu la pousses dans ces derniers retranchements, peut, peut être, faire quelque chose pour toi… une sorte de transformation intérieure, une nouvelle vision.

Cette idée qu’on ne peut pas s’extirper de sa propre conscience pour voir le monde autrement est illustrée par cette image du baron de Munchhaunsen qui, pris dans un marécage avec son cheval, aurait prétendument réussi à s’en extirper (lui et son cheval) en se tirant par ses propres cheveux. :D

 

220px-Muenchhausen_Herrfurth_7_500x789.jpg

Pas de problème avec tout ça si ce n'est que pour ma part je n'ai pas l'impression de devoir m'extirper d'un marécage (ton analogie est d'ailleurs tirée par les cheveux ;)), je ne me sens pas englué par le monde physique, bien au contraire : je suis partisan de ce que notre conscience peut appréhender ce monde comme une sorte d'aire de jeu et si elle devait avoir une fonction ce serait plutôt celle-là, jouir du monde et non essayer d'y échapper. J'ai l'impression qu'on aborde là des questions très psychologiques : qu'est-ce qui peut pousser un individu à se sentir ainsi prisonnier d'un corps et du monde matériel à tel point qu'il veuille le fuir à tout prix (lui donnant ainsi en creux une sacrée "qualité de réel" il faut bien l'avouer, une prééminence) ?

 

 

 

Publié le (modifié)
Le 08/08/2017 à 10:49, Shiva a dit :

On arrive à cette conclusion tout simplement en allant jusqu'au bout de la réfutation du réalisme naïf et en tirant toutes les conséquences de cette réfutation (on ne voit pas les choses telles qu'elles sont et on ne les verra, peut être, jamais telles qu'elles sont en réalité).

Pour le dire autrement :

Le contact entre l'objet et la conscience est dit indirect, c'est-à-dire que la conscience, tel un miroir perçoit une image mentale de l'objet et non l'objet lui-même. La conscience et ses objets d'appréhension sont en effet de nature différente entre eux du fait de cette différence de nature. La nature de l'objet reste cachée à la conscience, qui ne peut se faire qu'une représentation illusoire de l'objet et donc du monde.

Philippe Cornu

Je n'ai jamais prétendu autre chose depuis le début de ce sujet. :)

La seule chose que j'attend c'est une preuve scientifique qui valide l'antériorité de la conscience sur la matière et, franchement, je ne l'ai pas encore vue dans ce sujet. 

Ceci dit, ça ne m'empêche pas de prendre du plaisir à lire voire à participer à toutes les digressions philosophiques, métaphysiques ou spirituelles dès lors qu'il est clair qu'on est hors du champ scientifique (sinon j'attends des preuves, des études, des articles validés par la communauté scientifique, etc.).  Je suis dans ces domaines pour la séparation (ou le "non-empiétement") des magistères. 

 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le (modifié)
il y a une heure, Christian Girard a dit :

J'ai l'impression qu'on aborde là des questions très psychologiques : qu'est-ce qui peut pousser un individu à se sentir ainsi prisonnier d'un corps et du monde matériel à tel point qu'il veuille le fuir à tout prix

Oui ! Je suis totalement d’accord. Il y a, effectivement, chez certains partisans de la thèse de l’idéalisme subjectif une tentative de fuir le monde et la réalité en soutenant que le monde n’est finalement qu’une illusion.

J’ai déjà cité Gustav Klima plusieurs fois dans ce fil : Le monde est trop horrible, donc il n'existe pas, le nihilisme est une conséquence nécessaire du pessimisme. (Gustav Klima)

Notes au passage qu’il y a une sorte de cousinage entre cet argument et un argument de certains athées qui est : Dieu ne peut pas exister car s’il existait il ne pourrait tolérer toutes les atrocités qui se passent dans ce monde.

Pour ma part je serais plutôt un idéaliste qui aurait tendance à considérer "l’illusion du monde" comme un terrain de jeu ou une cour de récréation plutôt que comme quelque chose d’horrible, un cauchemar qu’il faudrait fuir. :)

 

 

il y a une heure, Christian Girard a dit :

La seule chose que j'attend c'est une preuve scientifique qui valide l'antériorité de la conscience sur la matière et, franchement, je ne l'ai pas encore vue dans ce sujet. 

On en revient à la question du cadre de référence : Tu privilégies le cadre de référence scientifique et son présupposé matérialiste pour expliquer le monde et la conscience (avec en filigrane, peut être, que tout problème est soluble dans ce cadre de référence, ce n’est, peut être, pas le cas). Aucun problème à voir le monde comme ça, ce n’est pas une tare et c’est même plutôt efficace pour aborder les choses d’un point de vue pragmatique. C’est juste que ce paradigme rend très difficile la possibilité d’envisager les choses autrement.

 

Cela aussi Michel Bitbol l’explique très bien dans son ouvrage « La conscience a-t-elle une origine ?

Les monismes idéalistes sont souvent caricaturés et rejetés à priori dans le débat actuel sur les sciences cognitives au nom d’une vague imputation de solipsisme qui les discréditerait avant toute argumentation. Le problème est que la qualification de « solipsisme » , l’accusation de privilégier un certain « moi » humain au détriment des alter-ego et du reste du monde, n’a de pertinence que dans le cadre du préjugé objectiviste même qui donne naissance au débat métaphysique tronqué de la philosophie de l’esprit contemporaine.

 

Au passage : Mon propos ne consiste pas à : « Retourner la réalité physique comme une chaussette pour en faire une illusion générée par la conscience »  :D ...mais plutôt à opérer un renversement de conscience pour revenir à la source qui perçoit plutôt que à ce qui est perçu.

 

Modifié par Shiva

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le (modifié)
il y a 47 minutes, Shiva a dit :

Pour ma part je serais plutôt un idéaliste qui aurait tendance à considérer "l’illusion du monde" comme un terrain de jeu ou une cour de récréation plutôt que comme quelque chose d’horrible, un cauchemar qu’il faudrait fuir. :)

Comme moi quoi ;) ! :

Citation

je suis partisan de ce que notre conscience peut appréhender ce monde comme une sorte d'aire de jeu et si elle devait avoir une fonction ce serait plutôt celle-là, jouir du monde et non essayer d'y échapper.

Disons que c'est une position plus difficile à réaliser si le monde autour de nous n'est pas trop cruel, nous sommes des chanceux :

 

Modifié par Christian Girard
Publié le
Il y a 1 heure, Christian Girard a dit :

 Je suis dans ces domaines pour la séparation (ou le "non-empiétement") des magistères. 

À ce propos :

Citation

 

Le non-empiètement des magistères (en VO : Non Overlapping MAgisteria, ou NOMA ) est l'idée, défendue par Stephen Jay Gould contre les créationnistes de tous poils, que la Science et la Foi appartiennent à deux niveaux de connaissance distincts, qui ne se chevauchent pas :

Le principe de NOMA prône le respect mutuel, sans empiètement quant aux matières traitées, entre deux composantes de la sagesse dans une vie de plénitude : notre pulsion à comprendre le caractère factuel de la Nature (c'est le magistère de la Science) et notre besoin de trouver du sens à notre existence et une base morale pour notre action (c'est le magistère de la Religion).

 

Source et suite ici : http://dvanw.blogspot.fr/2006/11/088-non-empitement-des-magistres.html

 

Publié le

Ok avec le principe de NOMA si c’est pour préciser le niveau de connaissance, les limites de chaque domaine et prôner le respect mutuel. Mais si c’est pour définir des sortes de prés carrés et dire : « A moi (la science) l’étude des mystères de la nature et à toi (la religion ou la spiritualité) la question du sens de l’existence », je suis beaucoup plus sceptique.

J’aime les approches pluridisciplinaires qui incluent plusieurs sources de connaissance (sans pour autant être une soupe ou un fourre tout).

J’aime aussi le dialogue que des personnalités comme le Dalai Lama entretient avec la science.

Des colloques comme celui-ci dans un monastère bouddhiste en Inde sont assez sympathique (en plus le fond du sujet et pile poil celui de ce fil :) ) :

 

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le

Si nous portons un regard véritable sur nous-mêmes et sur les choses qui nous entourent et qui, jusqu'alors, nous paraissaient si certaines, si stables et si durables, nous nous apercevons qu'elles n'ont pas plus de réalité qu'un rêve.

Sogyal Rinpoché

Le jour où tu te rends compte que le monde n'existe pas, la vie devient plus simple.

Paul Binocle

Publié le
Il y a 2 heures, Shiva a dit :

Si nous portons un regard véritable sur nous-mêmes et sur les choses qui nous entourent et qui, jusqu'alors, nous paraissaient si certaines, si stables et si durables, nous nous apercevons qu'elles n'ont pas plus de réalité qu'un rêve.

Ne serait-ce que parce qu'elles sombrent inévitablement dans les limbes du passé.

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Contrairement à toute logique, le magicien semble abolir le hasard et se moquer des lois de la probabilité ! ➡ Est-il bien utile de préciser que les dés ne sont pas pipés ni les cartes truquées et que les effets reposent uniquement sur des principes subtils et des astuces qui les rendent quasi automatiques et donc très énigmatiques et convaincants ?  Aucun savoir-faire, connaissances, ou techniques particuliers ne sont nécessaires pour présenter les tours composant ce recueil – il suffit de suivre les explications cartes et dés en mains.  Il y a fort à parier que certains tours vous blufferont d’abord vous-même avant de produire le même effet sur vos spectateurs ! ➡ Les descriptions des effets sont courtes, les méthodes sur lesquelles ils reposent simples et directes et les explications claires et succinctes.  Bref, voilà un petit livre original et facile à lire et dont le contenu – que vous pourrez mettre en pratique sur-le-champ – vous fera passer quelques moments aussi agréables que magiques ! ➡ Au Sommaire :  Un coup de dé jamais n’abolira le hasard : une carte librement choisie, mémorisée, puis perdue dans le jeu, est retrouvée par un coup de dés.   Transposition : un spectateur prend connaissance d’une carte déterminée par plusieurs coups de dés. Un autre mémorise un nombre déterminé lui aussi par le hasard. Sans connaître aucune de ces informations et sans poser de questions, le magicien transfère la carte du premier spectateur à la position correspondant au nombre du deuxième. Le tour impromptu, utilise deux dés et demande la participation de deux spectateurs.  Coup de chance : un spectateur détermine une carte par le hasard de plusieurs coups de dés. En épelant son nom, le magicien la retrouve ainsi que les trois autres cartes de la même valeur – en l’occurrence, les As.  Le hasard et la nécessité : une carte librement choisie par un spectateur puis perdue dans le jeu mélangé est retrouvée par le hasard de plusieurs jets de dés.  Seven : une carte librement choisie et mémorisée par un spectateur est perdue dans le jeu. Un coup de dés permet de la retrouver.  Match nul : spectateur et magicien jouent à un jeu de dés pour le moins original, puisqu’il se joue avec des dés invisibles. Finalement, la partie se termine sur un match nul et l’apparition inattendue des quatre As.  Intuition : une carte pensée par un spectateur est retrouvée dans des conditions mystérieuses. Le tour est impromptu.  The Karl Le Long Trick : Voici la version personnelle de l’auteur d’un tour impromptu de Roy Walton.  Alea jacta est : le magicien retire une carte d’un jeu en le coupant au hasard et la pose face en bas sur la table sans en prendre connaissance et sans la montrer au spectateur qui en détermine une à son tour en lançant deux dés. Après que le spectateur l’a mémorisée, elle est perdue dans le jeu, puis retrouvée grâce à un nouveau coup de dés. Dans la foulée, le magicien fait apparaitre les trois autres cartes de la même valeur – en l’occurrence, les As.  Au hasard, Balthazar ! Un spectateur choisit une carte par un coup de dés. Le magicien essaie de la retrouver en lançant les dés à son tour, mais sans succès. Finalement il la retrouve en épelant son identité. Pour terminer, il produit les trois autres cartes de la même valeur.
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