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Spider Pen Pro & Spider Pen X de Yigal MESIKA


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  • 1 année plus tard...
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Publié le

Bonjour tout le monde ! 

Petite question à ceux qui possèdent le spider Pen X.

J'ai récemment reçu le mien et je me suis rendu compte qu'en laissant la pile dedans elle se vidait en a peine 24h. Après avoir recherché un peu, il semblerait que le Spider Pen soit toujours en tension, je n'ai pas de relâchement du FI au bout de 45s. Est-ce normal ? 

 

Merci d'avance 🙂

Publié le
il y a 12 minutes, Dylan MOUTAULT a dit :

J'ai récemment reçu le mien et je me suis rendu compte qu'en laissant la pile dedans elle se vidait en a peine 24h. Après avoir recherché un peu, il semblerait que le Spider Pen soit toujours en tension, je n'ai pas de relâchement du FI au bout de 45s. Est-ce normal ?

Hello Dylan,

J'ai un Spiderpen Pro et deux Spiderpen X et je n'ai pas les soucis que tu décris.

En revanche j'ai eu ces soucis-là quand j'ai fait mes tests pour relier 2 Spiderpen X entre eux et là j'avais le même problème que toi.

Donc non, ce n'est pas normal.

  • Comment fixes-tu ton fil quand tu ne l'utilises pas ?
    • Moi je mettais simplement la boulette de cire sur le capuchon du Spiderpen.
  • Il faut t'assurer que le fil ne bouge pas du tout. Au bout de quelques dizaines de secondes, le moteur s'arrête.
    • Ça a déjà dû t'arriver de t'entrainer au Zero Gravity Bill un peu tro plongtemps et de voir le moteur se désactiver ? Ou pas ?

Je te propose un petit test à réaliser pour voir si ça vient de ton moteur.

Test d'arrêt du moteur du Spiderpen

Par exemple, on va faire le test entre 2 bouteilles.

  • Tu fixes comme tu peux ton Spiderpen X verticalement au haut de la bouteille.
  • Tu fixes l’extrémité du fil avec la boulette de cire sur le bouchon de l'autre bouteille.
    • L'idée c'est d'avoir un fil tendu horizontalement entre 2 bouteilles.
  • Enfin, tu mets un billet plié en 2 posé sur le fil en tension.
  • Tu vas avoir ton billet qui flotte. A priori 45 secondes.
  • Tu attends simplement.
    • Si au bout de 2 minutes ton billet flotte toujours, c'est que tu as un problème sur ton Spiderpen X.
    • Si au bout de 45 secondes le billet tombe naturellement, c'est que le problème vient d'ailleurs.
    • Probablement que tu fixes mal ton fil quand tu le ranges.

Bon courage 😄

Mais pour te rassurer, j'ai donc 3 Spiderpen et les 2 Tarantula (V1 et V2) et je n'ai jamais eu de problème avec.

  • Merci 2
Publié le

Bonjour Mickaël, 

Merci pour ton retour détaillé 🙂

Alors pour tes questions : 

- Je laisse la cire devant le trou qui fait rentrer le fil, je ne la fixe pas particulièrement

- Sur le Zero Gravity Bill, je n'ai jamais senti le moteur se désactiver, même en décomposant mes mouvements et donc en prenant relativement du temps ..

 

J'ai donc fait ton test à l'instant ! Et verdict : Le billet flotte toujours, ça doit faire 10mn qu'il est sur le FI.

Donc j'en conclus que c'est un défaut sur mon modèle, je vais voir avec le revendeur pour me faire un échange 🙂

 

Merci encore pour ton retour !

  • Merci 1
Publié le (modifié)
il y a 29 minutes, Dylan MOUTAULT a dit :

J'ai donc fait ton test à l'instant ! Et verdict : Le billet flotte toujours, ça doit faire 10mn qu'il est sur le FI.

Donc j'en conclus que c'est un défaut sur mon modèle, je vais voir avec le revendeur pour me faire un échange 🙂

Ah oui, si sans aucun mouvement ton billet flotte toujours après 10 minutes c'est qu'il y a effectivement un problème sur le matos ! Enfin je pense 🙂

Et ça expliquerait pourquoi ta pile est bouffée en moins de 24 heures, il reste en tension toute la nuit...

  • Il faut tout de même fixer ta boulette de cire quand tu ranges ton SPPX.
  • Sinon, quand le moteur s'arrête, ça peut relâcher la boulette qui se déplace, tire le fil et éventuellement relancer le moteur.

Au cas où tu resterais coincé avec ce SPP mais en principe les boutiques en France sont sérieuses et proposent à minima un échange. Il te suffit simplement de tirer d'un centimètre le compartiment à pile et ça s'arrêtera sans vider ta pile 😉

Et tu reclipses quand tu t'en sers.

Au plaisir, bon courage 🙂

ÉDIT : Lors de ton test il faut bien sûr que tu aies laissé le fil libre de se dérouler tranquillement ! Faire attention qu'il ne soit pas coincé dans le bouchon ou autre.

Modifié par Mickaël MCD
  • Merci 1
  • 4 weeks plus tard...
Publié le

Hello.
Retour d'expérience de changement de fi.

J'ai changé de fi. J'en avais marre de casser surtout pour le jeu hanté. + de tranquillité en presta.

J'ai donc mis celui de Miranda. Cela fonctionne bien. Cependant il faut le fixer différemment. En effet il est plus large et plus costaud. Mesika fixe son fi sans point d'ancrage sur la bobine. Il fait simplement quelques tours de bobine. ça suffit pour qu'il ne bouge plus. J'ai essayé avec celui de Miranda. Étant plus solide il se défait si on tire dessus. Il faudra de même très bien le fixer sur la cire.

J'ai trouvé une astuce sur le caffemagic. Je fixe un peu de cire sur le fi puis je le fais passer par une des 2 fentes inférieures de la bobine, ensuite je l'enroule (sens horaire) sur 3 tours sur la bobine, je le fais repasser par l'autre fente puis je l'enroule définitivement, toujours dans le sens horaire. Je l'enroule avec le moteur activé pour mettre de la tension. Ensuite je coupe le bout de fi qui dépasse (celui où j'ai fixé la cire au début). Le résultat est propre.

On peut par contre mettre moins de fi que le Mesika. De plus le moteur travaille légèrement plus. On le sent. Le déroulé est un peu moins fluide qu'avec du Mesika. Mais maintenant je ne casse plus. 

Bertrand

  • Merci 2

MARTINI B

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  • Messages

    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
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