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Bonjour,

Je suis à la recherche de livres,(à défaut sites internet), ... qui traiteraient des phénomènes de foires (entresort).

Allant des classiques 'illusion' de la femme sans tête, femme sans corps, femme araignée, femme gorille,...

Mais aussi les 'freaks' présentés comme des attractions foraines, tel que la femme à barbe, géant, lilliputien, elephantman, etc ...

Ou encore les musées de phénomènes en bocaux, animaux siamois, monstres, yéti, alien, ... ou faux animaux monstrueux empaillés (veau a deux têtes, chimère, ...)

J'ai trouvé pour les illusions, le livre de JAMES HODGES 'Les Entresorts Tome 1', mais le livre ne traite pas de l'aspect historique de ces illusions, ne donne pas de date, nom, photo, ou affiche d'époque,

Pour les 'freaks', j'ai trouvé le livre de Martin Monestier 'Les monstres : Histoire encyclopédique des phénomènes humains'... mais ce livre ne traite pas spécifiquement des 'freaks' présentés comme des attractions foraines.

Pour les 'musées' des horreurs ambulants, je n'ai rien trouvé....

Merci pour votre aide...

Tim Topi

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Publié le

Learned Pigs and Fireproof Women et Jay's Journal of Anomalies de Ricky Jay.

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Ensuite, The Big Book of Freaks de Gahan Wilson

14ncprl.jpg

Sans oublier le film Freaks de Tod Browning.

[video:youtube]

La série HBO Carnivale

carnivale.jpg

[video:youtube]

Bien entendu, tu peux également explorer tout ce qui concerne Coney Island, royaume des freaks, geeks et autres attractions.

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=7QksIczveRs

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=OZfWhu9YuCU&NR=1

Coney Island Sideshows dont un des meilleurs spécialistes est Todd Robbins , sur le Magic Cafe.

Tu peux également essayer de visionner "The Last American Freakshow"

[video:youtube]

Last but not least, le blog du Dr Raffaele de Ritis.

Raffaele De Ritis' Novelties and Wonders

Publié le

Chayne Hultgren (alias Space Cowboy), artiste de rue Australien possède l'une des plus grande collection de "freaks animals".

J'ai eu l'occasion de voire sa collection l'année passée à l'Adelaide Fringe festival, c'est assé impressionant.

http://thespacecowboy.com.au/content/?page_id=207

Contacte le, il est très sympa et pourra te fournir de précieuses informations.

Publié le

Tu peux contacter de ma part Rémy DEMANTES du Musée du Cirque et de l'Illusion de Dampierre en Burly (45).

NIRAG

www.nirag.fr

Envie de votre propre acrostiche personnalisé ? Contactez moi.

Publié le

Ah la série Carnivale... Un régal !

Dommage qu'il n'y ait eu que deux saisons.

En tout cas merci CED pour toutes ces infos.

Merci aux autres aussi ;)

Vaste sujet et à mon sens très intéressant.

D'ailleurs il y a peu de temps mon ami Spontus a créé et fabriqué un entresort très sympa :)

DRACO

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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