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Artistes, Sonorités et Instruments Originaux


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Notez que pour donner l'illusion de jouer du berimbau, il faut superposer une corde de guitare au-dessus d'une autre, une méthode qui permet également de produire une sorte de son de cloche fêlée assez inattendu pour une guitare et idéal pour sonner le tocsin.

Version roulement de tambour, par Emmanuel Rossfelder, à écouter à 4'45 :

[video:youtube]

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Pour se dégourdir les mimines...

Un guitariste dont j'ignore le nom :

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Lawson Rollins:

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Papier pour une musique qui déchire :

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Affiches de Michal Batory relatives à des instruments de musique :

Clavier pour une musique qui touche :

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Touches pour "allumeeeeeer le feu" :

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Joli cornet :

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Ce n'est pas du Hans Arp :

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Sans tambour :

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Ouate about this diapason ?

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Panne de micro ? :

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Source : http://www.michalbatory.com/aff_danse.html

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  • 2 weeks plus tard...

The Crazy World of Arthur Brown

8667.jpg

Arthur Brown (né le 24 juin 1942 à Whitby dans le Yorkshire) est un chanteur de rock britannique connu pour son style théâtral et controversé emprunté (comme pour son compatriote Screaming Lord Sutch) à Screamin' Jay Hawkins. Il apparaît avec un casque en feu ou encore un maquillage qui sera par la suite repris par Alice Cooper.

Son premier album, The Crazy World of Arthur Brown (1968), avec le titre phare Fire et la reprise du titre de Screamin' Jay Hawkins, I Put a Spell on You, a un succès inattendu en Europe et en Amérique. Il se classe au numéro 2 des ventes britanniques en septembre 1968.[...]

Il est interdit de scène aux États-Unis alors qu'il est en tournée. [...]

En 1973, il tient le rôle du prêtre dans l'opéra rock Tommy des Who. Arthur déménage à Austin (Texas) durant les années 1980 puis décroche un master en counseling. Il devient également prêtre de l'Universal Life Church. En 1996, il retourne en Angleterre et enregistre une année plus tard son single Fire avec le groupe allemand Die Krupps.

arthur-brown.jpg

The Crazy World of Arthur Brown est un album de rock psychédélique d'Arthur Brown et de son groupe The Crazy World of Arthur Brown, sorti en 1968. L’album est considéré comme un classique de la scène psychédélique de la fin des années 1960. Il contient des reprises de chansons de Screamin' Jay Hawkins et de James Brown. Arthur Brown est surnommé « The God of Hellfire » à cause du cri du début de la chanson Fire.

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur_Brown_(musicien)

Arthur+Brown.jpg

Fire en 1968 (sans doute) :

[video:youtube]

Fire en 2005 (probablement) :

[video:youtube]

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  • 4 weeks plus tard...
Basse ballon :

Rossini avait posté cette vidéo dans ce sujet ici, voir message #258154 :

_Artistes,_Sonori#Post258154]http://www.virtualmagie.com/ubbthreads/ubbthreads.php/ubb/showflat/Number/258154/Searchpage/1/Main/27203/Words/ballon/Search/true/Re:_[Musique]_Artistes,_Sonori#Post258154

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Je recommande à tous cette excellente conférence de Jérôme Ducros au Collège de France

L'atonalisme. Et après ?

[video:youtube]

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  • Messages

    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
    • Le livre sur le pouvoir de la narration magique (que je lis actuellement) offre un certain nombre de méthodes, considérations, exemples qui rentrent effectivement dans le storytelling.  Je suggère à celui qui serait intéressé le livre de Nancy Duarte "Vibrations" : (Vibrations: Transformez vos présentations en histoires visuelles pour captiver et conquérir votre auditoire : Les secrets des plus grands orateurs).  Un ouvrage très agréable à lire, très illustré et apportant de nombreuses illustrations de ce storytelling (avec chaque fois une analyse de la structure) : discours de Reagan après le drame de Challenger, Steve Jobs, Martin Luther King, une conf de Richard Feynman sur la physique,... On y parle de "présentations" en tressant le parallèle avec la dynamique de la musique : le rythme, les moments forts, les règles à respecter... des analyses qui sont parfaitement cohérentes  avec le livre ci-dessus. Notre approche du "Story telling" doit s'inspirer de multiples sources (pas nécessairement magiques) car l'art et la "manière de raconter une histoire" est en définitive universel et s'applique à toutes sortes de circonstances.  Le livre Scripting Magic de Peter Mc Cabe (Vanishing Inc.) m'est aussi d'une grande aide : beaucoup d'exemples appliqués à la magie avec le détail du discours associé et l'explication de la plupart des tours. Excellent !   
    • Effectivement, modifier la préparation peut solutionner le problème ^^ Mais j'aime bien comprendre en 1er lieu la description de l'auteur, et ensuite si besoin, trouver des alternatives. Clairement pour Daortiz, il a amené ce genre de style à un tel niveau...c'est l'autre extrémité de celle du magicien tiré à 4 épingles avec une gestuelle millimétré Merci encore, et effectivement le principal est de s'approprier les tours, après tout c'est comme ca que chacun d'entre eux ont évolué !
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