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Publié le

moi j'ai inventé un truc sensationnelle :

Vous en avez marre de jouer avec des grosses pièces, des caillous, etc.?

J'ai inventé des petits rectangles de papier cartonné (et bientot version en platisque !), avec chacune une valeur et une couleur (4 symboles différents, noir ou rouge)

Avec cela, vous pouvez jouer à des tas de jeux (je viens d'inventer le black jack, qui va avoir un succés énorme, et le poker, mais ca à l'air nul ca -_-)

Je vais appeller ca des "cartes" !

Sinon en les manipulant on peut faire des trucs pas mal, je vais appeller ca la cartomagie !

*sort dehors avant de se faire couper en 2*

Publié le (modifié)
Hello,

Je me demandais si certains d'entre vous avais la réponse.

Quelles sont les démarches pour protéger un gimmick ?

Etape 1 : Fais des recherches pour être certain que cela n'existe pas. Je parle de recherches sérieuses auprès de personnes compétentes. Selon le domaine tu as des interlocuteurs qui pourront t'éclairer sur ce forum.

Pour ce qui est de protéger, un brevet national te coutera cher (voire très cher...), un brevet international te coutera très très très cher...

Mon avis personnel est que le mieux est encore de poser une antériorité en publiant dans une revue ou en validant ton invention lors du concours dédié aux inventions et/ou améliorations lors du congrès annuel de la FFAP.

C'est ce que j'ai fait concernant un gimmick qui m'est personnel, j'ai fais des recherches dans mon club, personne ne connaissait, j'ai donc questionné des personnes sur le forum qui ont bossé sur le thème (les élastiques en l'occurrence) et au final personne ne connaissait, j'ai donc fais les démarches pour le présenter à VANNES en 2009.

Modifié par Spiouf

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le
Hello,

Je me demandais si certains d'entre vous avais la réponse.

Quelles sont les démarches pour protéger un gimmick ?

Etape 1 : Fais des recherches pour être certain que cela n'existe pas. Je parle de recherches sérieuses auprès de personnes compétentes. Selon le domaine tu as des interlocuteurs qui pourront t'éclairer sur ce forum.

Pour ce qui est de protéger, un brevet national te coutera cher (voire très cher...), un brevet international te coutera très très très cher...

Mon avis personnel est que le mieux est encore de poser une antériorité en publiant dans une revue ou en validant ton invention lors du concours dédié aux inventions et/ou améliorations lors du congrès annuel de la FFAP.

C'est ce que j'ai fait concernant un gimmick qui m'est personnel, j'ai fais des recherches dans mon club, personne ne connaissait, j'ai donc questionné des personnes sur le forum qui ont bossé sur le thème (les élastiques en l'occurrence) et au final personne ne connaissait, j'ai donc fais les démarches pour le présenter à VANNES en 2009.

Ah enfin une réponse qui vaille le coup de répondre merci à toi d'avoir pris le temps de me répondre...

et merci au autres de faire avancer le sujet.

Membre du MCR (Magicos Circus Rouennais)

www.ykaj-lemagicien.fr

Publié le
C'est ce que j'ai fait concernant un gimmick qui m'est personnel, j'ai fais des recherches dans mon club, personne ne connaissait, j'ai donc questionné des personnes sur le forum qui ont bossé sur le thème (les élastiques en l'occurrence) et au final personne ne connaissait, j'ai donc fais les démarches pour le présenter à VANNES en 2009.

Tout n'est pas brevetable... En l'occurrence, ton gimmick ne l'est absolument pas... :) Mais, effectivement, le fait de le décrire dans une revue ou de le présenter en concours permet de montrer une antériorité, et c'est déjà pas mal...

Pour Magicart : si on ne te répond pas simplement, c'est parce qu'il n'y a pas de réponse simple à ta question. Le Code de la propriété intellectuelle fait plus de mille pages et tout ça est un chouïa plus compliqué que ce que beaucoup pensent... Ton gimmick est peut-être protégeable au titre du droit d'auteur, du droit des marques, du droit des dessins et modèles, du droit des brevets. Ou peut-être pas. Toutes ces choses là ne fonctionnent pas exactement de la même façon...

De plus, qu'entends-tu exactement par "protéger" ? Tu veux empêcher que quelqu'un d'autre s'en serve ? qu'il le fabrique et le vende ? qu'il le décrive ?

Toutes les "protections" qui pourraient exister n'existent que si tu es prêt à aller faire un procès. C'est du temps (beaucoup), et de l'argent (pas mal).

Si tu n'as pas inventé un truc qui révolutionne la magie et les arts visuels en général, ne perds pas ton temps à essayer de le "protéger". Décris-le quelque part afin d'avoir – au moins – l'antériorité et la reconnaissance morale de tes pairs, ce ne sera déjà pas si mal...

Publié le
Ou alors, qu'il le garde pour lui, il sera le seul à le présenter et cela le démarquera des autres...

(ca marche aussi non?... wink )

Ça ne marche pas tant que ça... À vouloir garder le truc trop secret, on prend le risque qu'un autre se l'approprie (ou le redécouvre tout seul) et que lui le revendique...

Pour la petite histoire, c'est la raison qui a poussé Lennart Green à publier sa GAS qu'il gardait secrète depuis longtemps : un petit jeune du moment commençait à dire partout que c'était de lui...

La première des "protections" est bien la reconnaissance de paternité et, si c'est ce que l'on souhaite, il vaut mieux en laisser des traces... (Et, comme l'a dit je ne sais plus qui : "Si vous voulez gardez un truc secret, publiez-le dans une revue..." :) )

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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