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Publié le

plus de casus belli , Pax vobiscum , veni vidi vixi :

il suffit de ranger ses clefs dans le tiroirs du bas il devient alors , de facto le dernier tiroirs .

et c'est celui du haut qui devient ab abrupto le premier .

a contrario on peut mettre les clefs dans le tiroirs du bas , et vice et versa .

vous pouvez ad libitum remplacer les clefs par un livre sur les locutions latines .

;)

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Invité lancelot
Publié le

Cher Sorano,

après bien des nuits blanches de réflexions, je te propose ceci :

1239368031_commode.jpg

Tu admettras que dans ce cas la question du premier ou du dernier en partant du bas ou du haut ne se pose plus...

Et cela met fin à toute discussion avec ta femme, pour une raison bien simple : la commode ne l'est plus et devient inutilisable, ce qui règle le problème, et rentre tout à fait dans le cadre d'une logique féminine.

Quelle histoire !

Publié le (modifié)
Comment on fait quand il y a deux tiroirs en haut ..

Ben on dit qu'il y a un duo de tiroirs du haut.

Et comme ils sont premiers ex aequo, y'a pas de deuxième tiroir.

Ici, un exemple de tiroirs du bas duo.

Et comme ils sont derniers ex aequo, on a oté le deuxième tiroir parce qu'il n'existait pas.

meuble-colonial-ri32.jpg

Modifié par dub

Circulez !

Publié le
et si vous donniez un prénom à chacun de vos tiroirs ?

Ca, je n'y avait pas pensé.

Tu peux ranger mon sextoy dans Josiane ?

En passant, petit truc pour éviter d'avoir mal aux pieds dans des chaussures neuves :

Les chaussures neuves font mal les 3 premiers jours. Ils suffit donc de commencer à les porter le 4ème jour.

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

Publié le (modifié)

1239368031_commode.jpg

Tu admettras que dans ce cas la question du premier ou du dernier en partant du bas ou du haut ne se pose plus...

Cher Lancelot

Je crains que ta solution ne complexifie énormément le problème au lieu de le résoudre ou même de seulement le simplifier. Chacun des tiroirs de ton meuble se trouve en fait, à l’image de l’allégorie du chat de Schrödinger, dans une situation indéterminée, c'est-à-dire tout à la fois en haut et en bas. Ce qui est fascinant, c’est qu’en éliminant la superposition des tiroirs, on obtient du même coup ce que la physique quantique suggère d’imaginer comme une « superposition des états ». La loi du tiroir de Sorano semble donc soumise au principe d’incertitude de Heisenberg. Du coup, on apprécie toute la pertinence de Jean-Philippe Loupi qui a tout de suite saisi l’importance de l’observateur (ou du décideur) dans ce que je me permets d’appeler — non sans une certaine légèreté que je reconnais tout à fait — le champ quantique du meuble à tiroir. Ainsi, lorsqu’il écrit « La SEULE et UNIQUE réponse possible à ta question est : le premier tiroir est celui qu'indique ta femme. », ce n’est pas tant pour céder à ce choix par défaut qui consisterait à se soumettre à un hypothétique (et fort discutable) diktat de la femme au foyer mais bien parce que le tiroir du bas ne peut être déterminé que par le fait même d’interagir (en partie) avec le système afin de l’observer.

De la même manière qu’on ne peut connaître simultanément la vitesse ET la position d’une particule, il semble impossible de déterminer la nature du tiroir (« celui du haut » ou « celui du bas ») en même temps que son contenu (« chaussettes vertes » ou « topinambours »).

TOUS les tiroirs du « Meuble de Lancelot » (une des rares structures macroscopiques illustrant à merveille les principes habituellement associés à des systèmes d’échelle atomique) sont des chats de Schrödinger, que les chaussettes soient sales ou pas, que les topinambours soient frais ou pas ; des chats qui attendent que la femme de Sorano décide dans quel sens retourner le meuble (afin de « résoudre » l’état de superposition quantique) et décide de l’ordre des tiroirs.

Le cas de Benoît qui suggère que le premier tiroir est au centre constitue un bel exemple de ce que la logique floue révèle des états intriqués : la nature ondulatoire du tiroir du milieu ne laisse en rien impliquer la nature corpusculaire du tiroir du bas !

Si la péristance est une généralisation du principe de Gilbreath, rien ne nous empêche de penser que le meuble de Lancelot qui, par bien des points, pousse dans ses retranchements les principes fondamentaux qui découlent de la loi du tiroir de Sorano, est une aberration du principe d’incertitude à l’échelle macroscopique, MAIS PAS UN PARADOXE !

Il serait bon de développer le postulat de Paul sur l’empilement chaotique des tiroirs du bas, mais le temps, tout relatif qu’il soit, me manque.

Bonne journée à tous, je dois prendre d’urgence le dernier wagon du milieu.

Christian

Modifié par Christian Girard

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    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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