Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

  • 2 months plus tard...
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

perso, je ne prépare rien d'avance: j'ai opté pour une pompe gros volume à double sens ( type gonfleur de piscine) . quand je suis en presta en gallerie, ça aide, et ça demande moins de prépa (une moyenne de 1200 ballons, ça fait du volume, sur une journée).

pour le cercle, je fais de grands mouvements avec les gallons frais, quand ils en ont assé de prendre des coups de ballons dans la G... , ils reculent, et si ça ne suffit pas, j'en claque un. en prime, j'utilise la technique parking " attention, ça va péter " repris très régulièrement.

Publié le

salut

perso, je fais un peu de sculpture aussi, y pas longtemps, j'ai vendu une anim pour 100 gamins, pour ne pas être débordé par les évenements, j'opte toujours pour la même technique: je propose uniquement deux models (épée et chien), concernant les couleurs, j'annonce haut et fort "qui veut un chien rouge?" et là y toujours un minot pour répondre moi!

c vrai que c de l'abattage mais bon au moins tout le monde part avec un ballon et g gerer jusqu'au bout...lorsque je n'ai plus de ballon et qu'il reste toujours qq irreductible, je propose au enfants restants étant donné qu'il n'ont pas eu de ballons: je vais vous faire un petit cours de magie, là j'exlique un tour "batard" que tout le monde pourra refaire...les enfants en question sont content car il pourron épater leurs amis avec ce tour.

attention quand même à ne pas rater les enfants des organisateurs et ceux qui attendent depuis le début, concernant les ados, je les envoie promener vite fait sur le ton de la rigolade.

pour les anim avec moins d'enfants je laisse libre choix du modele.

par experience, il faut savoir que pour des grosses anim en ballon, le seul bur est de faire du volume, inutile de se lancer dans des sculptures compliquer, car le résultat est le même: le sourir des enfants qui repartent avec un cadeau...

pas de blabla du résultat

Invité WillQw
Publié le

Bon, chacun fait comme il veut, je n'ai pas à juger, mais personellement, je ne suis pas du même avis. Il existe bon nombre de sculptures à 1 ballon, et même deux ballons, pour pouvoir proposer bien plus qu'une machine à chien-chien et épée. Pourquoi?

-Tout d'abord votre image. Même si le ballon n'est pas votre activité principale, pourquoi ne pas donner la "meilleure" image de votre travail. Pour le public, au lieu d'être un simple distributeur, vous serez un artiste, capable de faire le chien, mais aussi l'épée, le pistolet, le coeur, le tigre, le nounours, les lunettes, le cochon, le lapin, le cygne, et j'en passe des centaines... Quelques heures d'entrainement vous serviront toute votre vie, et vous saurez faire ces sculptures toutes simples...

-Deuxième aspect de l'image, celle au niveau d'autres pros. Quand je vois un ballooneur ne faire que des chiens et epées, je me dis simplement "ben celui là, il se fait pas ch...", et qu'on ne me parle pas du prix des ballons, puisqu'on ne parle que de sculpture à un ballon. En gros, par ici le cachet, et je vous balance ma purée... Après tout, du moment que les gosses ont le sourire... Bon , tout ceci n'est que ce que je ressent lorsque je croise ce genre "d'artistes." Après tout, ne faire que des chiens, ce n'est que refuser d'accorder une ou deux secondes de plus, pour se donner du mal à faire mieux....Pourquoi s'em*erder ??? Pour moi, drôle de conception de l'art magique ou des ballons.

-Troisième coté, votre public. Le fait de donner des choses differentes aux enfants "personalise" la sculpture. Chaque enfant a eu l'impression d'avoir eu quelque chose "rien que pour lui" et pas le même que tout le monde, comme l'assiete de legumes de la cantine. Bien que de nos jours, même les cantines proposent de la variété !!! Alors vous valez mieux qu'une cantine non ???? Le souvenir que vous leur laisserez sera bien plus imprégné de magie, qu'en vous contentant de balancer chien et épée, puis d'imposer la couleur. Laissez les enfants choisir : "quelle couleur est ta préférée ???" C'est bien plus joli que de voir une gamine faire la moue parce que sa copine a eu un rose et qu'elle aussi aurait voulu du rose ... Je n'ai JAMAIS agi de la sorte, c'est peut être pour celà que j'ai progressé....

Soyez plus ouverts, ne calculez JAMAIS avec des aspects de "rendement" ou "rentabilité" ou en étant "accros" aux horaires... Vous deviez finir à 16 heures et vous avez fini à 16h15 ?? Et alors??? Vous avez le plus beau metier du monde, ne faites pas la fine bouche, ne bossez pas comme dans une usine Peugeot ou Caterpillar !!!

Je ne prétend pas détenir la science, mais croyez moi, le "chien-chien/épée" vous dégrade bien plus qu'il ne vous valorise !!!

A méditer ....

Publié le

Willow, j'adore ta façon de voir les choses, évidemment je suis 100% d'accord avec toi, et je rajouterai simplement ceci, c'est grâce à ce comportement là, que je travaille partout avec mes ballons et je ne suis pas le seul....Car une fois que les spectateurs ont vu la magie opéré leurs avis est différents.

Et dire que je refuse de faire des épées lors de fêtes....Et c'est aussi valable pour les armes à feu...

Maintenant chacun fait ce qui lui plaît, moi je m'éclate à ma façon et je pense sincèrement que j'ai choisi le bon chemin!

Zéb ? parce que c'est bien !

Publié le

je suis d'accord avec toi willow, je ne voyai pas les choses de cette facon, même si je considere les ballons comme une activité "alimentaire", je verrai les choses sous un autre angle dorenavant, rassure toi, même si ce que je propose en ballon est relativement sommaire par rapport aux balloneurs pro, je ne dévalorise pas pour autant les presta...en tout cas merci pour ton avis qui me semble être le bon.

si qq peut me donner des bons plans video pour apprendre d'avantage de models relativement simple avec 1 voir 2 ballons, je suis preneur de l'info

merci et à bientot

pas de blabla du résultat

Invité WillQw
Publié le

En video, Tivoli, sans hésiter ( mais y en a d'autres comme JC Briand, David Ghrist, Don Cardwell...). En bouquins, les Pallonccini ou la merveille de Jean Merlin .

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k
×
×
  • Créer...