Aller au contenu

Recommended Posts

Publié le

Tous mes encouragements pour cette belle aventure ! ça sonne bien, c'est frais , ça bouge bien... J'ai hate de pouvoir venir vous applaudir en live ! Bravo, bravo et encore bravo ! On a besoin de nos jours de projets aussi fous !

Longue vie à ce spectacle et un énorme M E R D E à toute la troupe !

PS : je doute que des magiciens tels que ceux qui sont présents dans la troupe aillent mettre les pieds dans une aventure rendue périlleuse parcequ'elle est mal "ficelée" y compris financièrement ;)

Nikola

www.nikola.fr

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 31
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

Je n'ai qu'une envie c'est de voir ce spectacle en live. Un GRAND bravo à Fabien pour avoir le courage de se lancer dans une telle aventure qui cera certainement source de galères mais aussi de grandes joies, notemment celle de faire avancer notre art et de le mettre en valeur.

Concernant la question de Allan HART, je me dis qu'il y a sur le plateau des professionnels qui ont choisi de participer à cette aventure, quelles que soient les conditions, ils sont majeurs, professionnels et qui plus est certains ont de l'expérience. Qu'ils soient extrèmement bien payés, bien payés, payés, ou sous payé, cela les regarde eux. Certains artistes n'hésitent pas à se lancer dans un projet artistique auxquels ils croient, et ils y perdent parfois des plumes. Peut on sortir des sentiers battus sans prendre de risque ? J'en doute.

De nombreux magiciens jouent leurs spectacles dans des théâtres et au final ne gagnent presque rien, peu importe, ils vont au bout d'un projet qui leur tiens à coeur.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le (modifié)

C'est avec plaisir que je te lirais..... par exemple quand tu vas en Allemagne, es tu déclaré? Ou payes tu tes impôts quand tu y es? Si tu es déclaré en Allemagne comment fais tu pour, par ex, convertir cela "en heures ou cachets" pour les assedic, si tu as le statut d'intermittent.

Merci

Modifié par Tivoli

Tivoli logo.pngMC - Fantaisiste 

from here and here

www.arthurtivoli.fr

 

Publié le

"Chacun fait, fait, fait

c'qu'il lui plaît, plaît, plaît!

L'précipice est au bout

L'précipice on s'en fout!

Chacun fait, fait, fait

c'qu'il lui plait, plait, plait.

Toutes les étoiles qui brillent

Chacun fait, fait, fait

c'qu'il lui plait, plait, plait!

Que de pression dans les bars

Personne te pousse à boire,

Chacun fait, fait, fait

c'qu'il lui plait, plait, plait!

Les gens ont de ces manies

C'est la décalcomanie

Chacun fait, fait, fait

qu'il lui plait, plait, plait!

Sous mes pieds y a la terre

Sous tes pied, y a l'enfer !

Chacun fait, fait, fait

c'qu'il lui plait, plait, plait!

mon Dieu, j'peux même pas jouir!

Tant pis pour toi, il faut dormir..."

Chagrin d'Amour, 1982, Paroles : Philippe Bourgouin, Musique : Gérard Presgrurvic.

Nikola

www.nikola.fr

Publié le (modifié)

Les cachets perçus en Allemagne sont déclarés sur l'imprimé fiscal 2047, et l'on paie bien sur des impots dessus ! avant le 1er janvier 2002 ces cachets étaient net d'impot puique l'employeur payait une taxe supplémentaire représentant l'impot des étrangers , on devait l'inclure en plus du cachet dans la déclaration ça correspondait à un prélèvement à la source.

mais depuis Janvier 2002 , cette taxe n'est plus payée, nous sommes donc imposable sur ce que l'on ramène !

au niveau des assedic les cachets pour les pays europens sont comptabilisés pour 6 h au lieu de 12 !

pendant des années je n'étais pas au courant de cela et je payais des 2 côtés , jusqu'a ce qu'un agent des impots plus callé que les autres me l'explique et me fasse rembourser 3 ans de trop payé !

Que dieu le bénisse !

Amen

Modifié par Danilsen
Publié le

Je suis désolé d'avoir une fois de plus parlé de la réalité d'un métier qui, contrairement à ce que beaucoup semblent oublier, est un vrai métier avec des contraintes qui sont, parait-il, souvent budgétaires!!!

Au contraire, c'est très bien de parler de cette réalité là. C'est nécessaire.

Mais la réalité des artiste tourne aussi autour de projets un peu fous que l'on ne peut pas réaliser à cause d'un manque d'argent. Mais quand il est possible de réunir plusieurs personnes sur un projet, et que ces personnes y croient alors on déplace parfois des montagnes.

Ceux qui investissent de l'argent dans un projet (quel qu'il soit) peuvent tout perdre ou gagner beaucoup, leur intérêt est souvent uniquement financier.

Les artistes qui s'investissent réellement dans un projet ne perdrons jamais tout car même si le projet tombe à l'eau il restera l'aventure humaine, artistique, le bonheur de créer et d'avancer.

Oui je sais Allan ce n'est pas ça qui remplira ton assiette et nous avons tous besoin de travailler pour vivre et manger.

Mais il y a aussi les nourritures artistiques et affectives, et on en a besoin pour être vivant.

Vive les projets, vive la création...

... et vive les CE de décembre aussi parce que c'est nécessaire ;) !!

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Messages

    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8336
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Jalal ROGUI
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.5k
    • Total des messages
      681.2k

×
×
  • Créer...