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OUI, moi hier soir dans un cinéma a l'ambiance intimiste ( max 10 personnes par séance dans une salle qui peut en contenir 50 fois plus )

déjà j'ai remarqué avant le début du film que 8 personnes sur 10 dans la salle étaient des adultes et mon oreille indiscrète entendit une jeune demoiselle murmurer à son compagnon des phrases su genre "tu vas adorer"

Le court métrage de Pixar débute (directement car il n'y a aucunes pubs dans ce ciné). Presto et son Lapin Alex ne font pas sensation a en écouter les réactions du peuple (seul moi était en plein délire du genre que seuls les magiciens peuvent comprendre...)

Le film débute enfin avec une musique assez mal choisie pour une ouverture mais le visuel pardonne tout. On débute par la vie quotidienne de Wall.E qui pendant son boulot se montre très curieux laissant quelques passages hilarants renforcé par ses d'onomatopées de sa voix de robot (SOOOO Cute!). Wall.E travail seul sur Terre, ses autres congénères étant hors service, Wall.E s'est donc choisi comme compagnon un cafard, cette drôle de petite bête apporte une interactivité entre les 2 protagonistes et renforce le côté humain à Wall.E (d'un humain qui aime les blattes en tout cas, cela dit en passant, c'est la première fois que je trouve une blatte mignonne)

Vient ensuite la venue d'Eve, Wall.E craque littéralement pour cette robotte et nous aussi. Le contraste entre les 2 technologies de générations différentes créant des situations burlesques.

Ensuite Wall.E...( allez voire le film et vous saurez) mais c'est trop mimi xD (et un peu triste)

La suite se passe dans l'espace, visuellement c'est magnifique mais arrivé dans le vaisseau spatial, l'histoire, bien que ponctuée par des gags (dont un rinning gag avec un Robot M.Propre) et la rencontre avec les humain tout gras, tout roses (et pas mignon), et dont la vision du monde ne dépasse pas celle de leur écran portatif, plombe un peu le cadre initial, car on arrive dans un décor trop contrasté, trop aseptisé et la "farandole" des robots donne un peu mal au crane.

Ensuite Viens le moment du sauvetage... je n'en dirais pas plus mais ce moment de complicité entres les 2 "robots" (à ce stade, on a du mal à les qualifier de la sorte) est dorénavant cultissime.

A la fin, les humain se rendent compte (grâce a un petit robot de 700 ans ) qu'il existe un monde plus loin que le bout de leur nez. Wall.E termine dans un piteux état mais Eve tente tant bien que mal à le réparer et là on en vient au moment le plus dramatique du film (j'en pleur encore...) mais je vous laisse la surprise...

A noter que le générique est un petit bijou à lui tout seul...

en gros il agit comme un épilogue mais les techniques employées pour l'illustrer vont de la peinture sur à l'aquarelle en passant par le fusain et la peinture à l'huile, sans oublier les fresques style rome antique. Quel intérêt me direz vous? Et bien ce générique est une métaphore, il retrace la (re)conquête de l'homme sur terre, c'est le début d'une nouvelle civilisation qui réapprends tout ce qu'elle avait oublier.

En conclusion: j'ai adorer ce film, la 3D est d'un sublime époustouflant, même le sprises de vue semblent être faites par une vrai caméra (flou dans l'arrière plan...) et le moindre détail est correctement réalisé. Chose rare pour un film d'animation, de "vrais" acteur en chair et en os interviennent dans ce film sous forme de clips, ou de pubs dont se gavent les humains obèses du vaisseau.

J'ai pleurer quasiment tout le long du film, une vrai madeleine... c'est beau, propre, net et bien pensé, un robot arrive a véhiculer des émotions aussi forte! tout concorde aussi bien à l'image que dans la bande son (sauf le son d'intro qui convient mal)

Un conseil? ALLEZ LE VOIR D'URGENCE (plutôt en 2 eme partie de soirée pour éviter les piaillement des mioches dans la salle)

C'est de loin le meilleur film que j'ai jamais vu.

Publié le

Un très bon pote, Louis Clichy, que j'ai rencontré au collège (à l'époque, il était dejà bien doué pour le dessin) fait parti des 3 ou 4 français chez PIXAR depuis quelques années. Il est arrivé chez eux pendant la réalisation de Ratatouille, et a bossé à donf sur Wall-E.

Avant ça, il a entre autres fait un film d'animation pour illustrer la chanson d'Edith Piaf "A quoi ca sert l'amour ?".

Comme on fait cette chanson dans mon spectacle "Salades d'amour", il nous a gentillement autorisé à le diffuser pendant le spectacle.

Dommage pour ceux qui ne sont pas venu me voir au festival d'Avignon, vous auriez pu voir cette perle...

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Bon, allez, je suis pas chien ;)

Dégustez bien ce petit chef d'oeuvre !

[video:youtube]http://fr.youtube.com/watch?v=XvHh7wd__qg

"Pourquoi jouer tant de notes, alors qu'il suffit de jouer les plus belles ?" (Miles DAVIS).

Publié le

Bonsoir ! Je publierai ma critique plus tard, juste pour réagir : La scène d'ouverture est pour moi parfaite.. Une chanson d'amour sur une image de la Terre complètement dévasté, déserte.. Cela est fais exprès !! Cela fais froid dans le dos même ! C'est justement pour ça que l'on se sent mal devant ce spectacle abominable !

Je reviens demain.

Bonne soirée !

"La magie ne nait pas dans les mains du magicien mais dans les yeux du spectateur." [Harthur Hallen]

Publié le

tout à fait d'accord, mais la chanson choisi sonnait mal, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai mal accroché au début à cause de ça. A mes oreilles ça connait "faux" xD

Publié le

Vraiment adorable ce film !!!

Par contre, on peut toujours rêver pour voir le film Presto et son petit lapin à l'UGC de Nantes :( Ce ciné (que j'apprécie pourtant) ne diffuse jamais les court-métrages de Pixar. C'est vraiment dommage car si les films de Pixar sont magnifiques, leur court-métrages sont des chef-d'œuvres.

P.S : Le travail de ton ami, Jérôme, est vraiment très beau ! L'image met en valeur la chanson ; la chanson met en valeur le film.

Julien

La tête qui tourne : le livre magique où les mots prennent tous leurs sens !

Invité Ethan
Publié le

Perso, ce film m'a marqué à vie et j'écoute la B.O.F. en boucle :)

Publié le

Un conseil.. allez le revoir.. vous allez non pas y recevoir un deja vu.. mais remarqué tout les détails.. Ce film qui m'avais un peu déçu.. Lors de la seconde diffusion se révèle être LE meilleur PIXAR.. J'y retourne demain soir.. C'est bouleversant.. Les larmes me tirent à certains passages..

"La magie ne nait pas dans les mains du magicien mais dans les yeux du spectateur." [Harthur Hallen]

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    • Bonjour  J'ai trouvé ça extrait du New York time  Philippe  Version francaise (traduite) : Werner Reich, qui a appris la magie à Auschwitz, est mort à 94 ans Il avait 16 ans lorsqu’un codétenu, un magicien, lui enseigna un tour de cartes dans les baraquements du camp d’extermination. Il appelait cela un « miracle ». Dans les baraquements d’Auschwitz, où des hommes affamés, émaciés et mourants étaient entassés à six par lit, le plus proche voisin de Werner Reich était un homme allemand juif d’une trentaine d’années, courtois, nommé Herbert Levin, connu avant la Seconde Guerre mondiale sous le nom de Nivelli le magicien. Un jour, au début de 1944, M. Reich, alors âgé de 16 ans, revint au baraquement après une corvée, grimpa sur la couchette supérieure de son lit à trois étages et observa M. Levin battre un jeu de cartes sale que les gardes du camp lui avaient donné pour les divertir — une manière d’éviter d’être envoyé à la chambre à gaz. « Et je n’arrivais pas à y croire, vous savez — avoir un jeu de cartes à Auschwitz, c’était comme trouver un gorille dans sa salle de bain », se souvenait M. Reich dans une conférence TEDx en 2020. « Puis M. Levin s’est tourné vers moi, m’a tendu le jeu et m’a dit : “Choisis une carte.” Alors j’ai choisi une carte, et il a fait un tour pour moi. » Pour un adolescent qui n’avait jamais vu un tour de magie, c’était un « miracle ». M. Levin lui expliqua le truc, et M. Reich en mémorisa chaque étape durant tout son temps à Auschwitz — une distraction qui l’aida à survivre à l’horreur — puis pendant une marche de la mort de 55 kilomètres, dans la neige et la glace, vers le camp de Mauthausen, en Autriche. Ce n’est que plusieurs années plus tard, une fois libéré et arrivé en Angleterre, qu’il acheta un jeu de cartes et tenta le tour par lui-même. « Et ça a marché », dit-il. « Ça a magnifiquement marché. » Après avoir émigré aux États-Unis, M. Reich devint ingénieur, sans jamais perdre son amour pour la magie. Il exécutait des tours de cartes et de pièces devant de petits groupes, dans des temples ou lors des anniversaires de ses fils. Il est décédé le 8 juillet à son domicile de Smithtown, dans l’État de New York, a indiqué son fils David. Il avait 94 ans. Enfance et déportation Werner Reich est né à Berlin le 1er octobre 1927. Sa mère, Elly (Dux) Reich, reçut la Croix de fer pour son service comme infirmière sur le front de l’Est pendant la Première Guerre mondiale. Son père, Wilhelm, était ingénieur. La vie confortable des Reich fut bouleversée en 1933, lorsque les nazis prirent le pouvoir et que Wilhelm fut renvoyé de son emploi parce qu’il était juif. La famille se réfugia en Yougoslavie, où le père mourut de causes naturelles à Zagreb en 1940. Quand les nazis envahirent le pays en 1941, la mère de Werner envoya ses deux enfants, Werner et sa sœur Renate, se cacher dans des familles différentes. Werner vécut environ deux ans chez un couple membre de la résistance, avant d’être arrêté par la Gestapo. Commence alors sa vie de prisonnier, notamment dans un commissariat à Graz, en Autriche, où il aperçut sa mère dans la cour de la prison — la dernière fois qu’il la vit avant qu’elle ne soit vraisemblablement assassinée. À Theresienstadt (aujourd’hui en République tchèque), il fut contraint de tuer des nuisibles avec le pesticide à base de cyanure Zyklon B, le même utilisé dans les chambres à gaz. À Auschwitz, il dut courir nu devant le Dr Josef Mengele, qui décidait qui était assez fort pour travailler et qui serait envoyé à la mort. « Nous courions pour nos vies », raconta-t-il au New York Times en 2017. « On essayait d’avoir l’air fort, on souriait — tout pour paraître apte au travail. » Il survécut à Auschwitz, à la marche de la mort (au prix de plusieurs orteils amputés pour cause de gelures) et aux derniers mois à Mauthausen, avant d’être libéré par l’armée américaine le 5 mai 1945. Il avait 17 ans. Il pesait 29 kilos. Une nouvelle vie De retour en Yougoslavie, il s’enfuit deux ans plus tard vers l’Angleterre, où il devint outilleur-ajusteur et rencontra sa future épouse, Eva Schiff. Celle-ci faisait partie des 669 enfants tchèques, principalement juifs, sauvés avant la guerre par Sir Nicholas Winton, un agent de change britannique, grâce à des pots-de-vin, de faux papiers et des contacts secrets avec la Gestapo. Werner et Eva se marièrent en Angleterre et émigrèrent aux États-Unis en 1955. Après avoir obtenu un diplôme à City College of New York, il travailla comme ingénieur chez Nabisco et dans la chaîne de supermarchés Hills. Durant les 25 dernières années de sa vie, il témoigna dans des écoles, des synagogues et des associations de son expérience de la Shoah. Aux élèves, il transmettait un message contre le harcèlement : « Il disait que de bonnes personnes n’avaient rien fait — qu’il s’agisse d’un ami ou d’un pays », raconta son fils David. « Il disait : si tu vois quelqu’un se faire malmener, défends-le. Fais quelque chose. » Outre David, il laisse un autre fils, Mikal, et quatre petits-enfants. Son épouse est décédée en 2016. Sa sœur, Renate Romano, survivante de l’Holocauste, a immigré aux États-Unis en 1948 et est morte en 1999. Le legs d’un tour de magie Le tour de cartes de M. Levin resta gravé dans la mémoire de M. Reich toute sa vie. « Nous aimions tout ce qui pouvait nous arracher à Auschwitz ne serait-ce qu’un instant, tout ce qui pouvait détourner nos esprits de nos souvenirs et de l’horreur autour de nous », dit-il en 2017. En Angleterre, il se plongea dans la magie : il acheta un jeu de cartes, puis d’autres tours et livres de magie. « Il y a une ligne très, très fine entre un passe-temps et la folie », plaisantait-il dans sa conférence TEDx. M. Reich ne revit jamais M. Levin après Auschwitz et ignorait que celui-ci avait lui aussi émigré aux États-Unis, repris sa carrière de magicien et vécu à Rego Park, dans le Queens. M. Levin mourut en 1977, mais M. Reich ne l’apprit qu’environ 30 ans plus tard, en lisant un article dans The Linking Ring, la revue mensuelle de la Fraternité internationale des magiciens, dont il faisait partie. Le révérend William V. Rauscher, prêtre épiscopal à la retraite et magicien, rédigea cet article puis collabora avec M. Reich à son autobiographie, The Death Camp Magicians (2015), qui raconte aussi l’histoire de M. Levin. « C’était un assez bon magicien », dit M. Rauscher. « Il venait chez moi, sortait des cartes et des pièces et faisait des tours sur la table du salon. » « Les autres magiciens le trouvaient fascinant à cause de son lien avec Nivelli. » M. Reich n’oublia jamais M. Levin, ni le cadeau de ce simple tour de cartes qui, un instant, avait offert à un garçon terrifié une évasion et un geste d’humanité. « Ce n’est ni la valeur ni la taille d’un cadeau qui comptent vraiment », disait-il dans sa conférence TEDx. « C’est la façon dont tu le gardes dans ton cœur. »                  
    • @BoB Magicien est l’élève le plus ancien de @Philippe MOLINA et est aujourd’hui devenu un professionnel accompli, vivant de son art en tant qu’animateur et magicien. Dans ce programme, Bob partage 9 routines de cartes originales, accompagnées d’explications détaillées, d’astuces issues de sa pratique quotidienne sur le terrain, et de réflexions théoriques enrichissantes. Sa solide expérience du public, acquise au fil des années, se reflète dans chaque aspect de ce contenu. 🎁 Bonus exclusif – Bon Plan VM : Les Bavardes – PM & Friends S1E07 de Philippe MOLINA offert avec l’achat de la conférence ! 🎬 Durée : 2h45 Disponible en streaming + téléchargement, avec chapitrage pour un accès direct aux effets et explications. Un extrait avec une huile et eau : En promo dutant le Black Magic jusqu'à lundi minuit. https://www.virtualmagie.com/boutique/videos-magie/conferences-ateliers-videos-magie/philippe-vous-presente-bob-magicien/
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