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J'explique aussi la notion de sous chapelets dans le C-PAP dans mon bouquin. Ce qui ouvre des horizons que l'on a pas ailleurs.

On a une notion de sous chapelets dans Mnémonica et ISIS (état décliné en stay stack, Rosary, moitié de stack ou stack emboîté, états dégradés etc..) .

Mais sans doute que dans le cas du C-PAP c'est tout autre chose.

Intéressant donc, tu peux nous en dire plus ?

Et quand je lis que l'on ne peut faire des mains de poker, cela me laisse un peu dubitatif.... (je vous recommande mon tome 2 en fin d'année)

Je ne critique en aucun cas le C-PAP, très bon outil, ni tes recherches très poussées dans le domaine.

Je dis simplement qu'aujourd'hui (ton livre n'étant pas encore sorti) avec le C-PAP tel qu'il est décrit par Patrick Dessi on ne peut pas distribuer des mains de poker à la demande, c'est à dire demandées par un spectateur.

Si le spectateur demande un carré de valets ? un brelan de dames ? un carré de 8 ?

Si ton livre résout ce problème c'est effectivement une superbe avancée pour le C-PAP et j'irai sans doute y jeter un coup d'oeil voir plus.

Quoi qu'il en soit, notre nouveau cartomane voulant se mettre aux chapelet doit être effrayé avec ces deux écoles qui débattent sans fin sur le sujet :)

Par curiosité j'ai relu le début de ce sujet: finalement tout y était déjà dit! Les échanges entre Vincent, Frantz et Dub sont à lire avec la plus grande attention, c'est d'un tout autre niveau que cette petite querelle de clochet. ;)

Très condescendant ça ...

Modifié par Nicolas (LittleZ0mbie)
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Publié le

Je ne critique en aucun cas le C-PAP, très bon outil, ni tes recherches très poussées dans le domaine.

Je dis simplement qu'aujourd'hui (ton livre n'étant pas encore sorti) avec le C-PAP tel qu'il est décrit par Patrick Dessi on ne peut pas distribuer des mains de poker à la demande, c'est à dire demandées par un spectateur.

Si le spectateur demande un carré de valets ? un brelan de dames ? un carré de 8 ?

Si ton livre résout ce problème c'est effectivement une superbe avancée pour le C-PAP et j'irai sans doute y jeter un coup d'oeil voir plus.

Pour les carré la structure mathématique du C-PAP n'est pas maximale il faut faire un déplacement d'une carte, mais par contre les Fulls et surtout les couleurs sont très facile avec le C-PAP

et aussi j'ai montré que dans Hold'em à 2 ou 4 le C-PAP est très bon

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Publié le (modifié)
Très condescendant ça ...

Ah désolé, ce n'est pas le but, comme quoi l'écrit...

Comme indiqué par la citation qui est dans mon message, je réagissais à une remarque concernant le cas d'un débutant cherchant à avoir des informations pour y voir plus clair. Et dans cette situtation, les informations qu'il trouvera en début de ce sujet seront plus adaptés que notre débat actuel.

En revanche, il est vrai que quand je lis des énormités du type "Et si on utilise [le C-PAP] de façon mixte, on se soustrait à quasiment toutes les contraintes", et donc laisser sous-entendre qu'on aurait le beurre, l'argent du beurre et le c.l de la crémière, là je continue de dire non. Mais il ne faut pas y voir de la condescendance. :) Le C-PAP a beaucoup d'avantages, ok, mais il faut rester honnête et ne pas ignorer ses inconvénients qui sont loin d'être négligeables.

Modifié par TanMai
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We're looking for a better solution to the problem when we should be looking for a better problem to work on.

Publié le (modifié)
Très condescendant ça ...

Ah désolé, ce n'est pas le but, comme quoi l'écrit...

Comme indiqué par la citation qui est dans mon message, je réagissais à une remarque concernant le cas d'un débutant cherchant à avoir des informations pour y voir plus clair. Et dans cette situtation, les informations qu'il trouvera en début de ce sujet seront plus adaptés que notre débat actuel.

En revanche, il est vrai que quand je lis des énormités du type "Et si on utilise [le C-PAP] de façon mixte, on se soustrait à quasiment toutes les contraintes", et donc laisser sous-entendre qu'on aurait le beurre, l'argent du beurre et le c.l de la crémière, là je continue de dire non. Mais il ne faut pas y voir de la condescendance. :) Le C-PAP a beaucoup d'avantages, ok, mais il faut rester honnête et ne pas ignorer ses inconvénients qui sont loin d'être négligeables.

Tu continues à dire Non mais tu ne connais certainement pas le C-PAP comme je le connais. Et je crains fort que je ne dise pas d'énormités comme tu le dis et je n'ai jamais dit non plus qu'on avait tout...Et je le dis sans agressivité, il faut parler quand on connait le chapelet en question et à ce niveau je pense savoir mieux que quiconque de quoi je parle. Mais bon, peut être que si j'étais très connu j'aurai plus de crédibilité aux yeux de certains....

J'assume parfaitement le fait de dire que si l'on mixe les 2 méthodes d'utilisation du C-PAP on décuple (voir plus) les possibilités.

Maintenant chacun sa vision des choses et il n'y a pas plus d'énormités dans ce que je dis par rapport à ce que tu dis ou d'autres disent. On peut ne pas être d'accord mais ce que disent les autres ne sont pas forcément des énormités. Le respect est la première des choses dans un débat (surtout quand on parle d'un chapelet qu'on connait pas aussi bien que son interlocuteur).

Par exemple, je ne dis pas que tu dis une énormité sur les carrés, cela est une partie des propriétés décrite dans mon livre (hé oui on a des propriétés simples sur les carrés dans le C-PAP).

Modifié par Moonlight

Thierry Périchon
http://www.moonlightanimations.fr
 

Publié le
Très condescendant ça ...

Ah désolé, ce n'est pas le but, comme quoi l'écrit...

Comme indiqué par la citation qui est dans mon message, je réagissais à une remarque concernant le cas d'un débutant cherchant à avoir des informations pour y voir plus clair. Et dans cette situtation, les informations qu'il trouvera en début de ce sujet seront plus adaptés que notre débat actuel.

Ha ok, je n'avais rien compris du coup :)

Effectivement l'écrit et l’interprétation de l’écrit ... d'autant qu'il semblerait qu'on soit d'accord sur pleins de points.

Publié le

Je ne sais pas si quelqu'un en a parlé récemment, il existe un livret (en pdf) gratuit de Simon Aronson, traitant des chapelets, intitulé "Memories are made of this", qui est très intéressant :).

Il explique sa façon d'imaginer les utilisations d'un tel jeu, et les réflexions d'un génie du jeu mémorisé tel que lui, apportent toujours de nouvelles idées et façons de penser :).

Par exemple, il explique que le choix d'un chapelet peut aussi être dicté par le nombre de personnes/magiciens utilisant également ce chapelet.

Lorsqu'un jeu mémorisé est assez répandu dans le monde de la magie, on peut faire des miracles...Si vous connaissez dans votre public un magicien (le reste du public n'étant pas au courant de la situation :) ) qui utilise le même chapelet que vous, vous ne seriez pas tenté de faire un Acaan parfait, en demandant une carte à une personne quelconque, puis un nombre à ce "spectateur" apparemment quelconque aussi :) ? C'est le genre de situation qui doit vraiment être géniale ;) !

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Publié le

Wahou, je laisse VM quelques instants, et puis quand je reviens... Des dizaines de messages sur mon sujet favori :)

Si vous connaissez dans votre public un magicien (le reste du public n'étant pas au courant de la situation :) ) qui utilise le même chapelet que vous, vous ne seriez pas tenté de faire un Acaan parfait, en demandant une carte à une personne quelconque, puis un nombre à ce "spectateur" apparemment quelconque aussi :) ? C'est le genre de situation qui doit vraiment être géniale ;) !

Cette situation m'est arrivée : j'étais le spectateur, et le magicien (que je ne connaissais pas) était un adepte... Bref il a eu son instant de gloire :)

Au passage il me semble que « chapelet » désigne à la base un arrangement d'un jeu qui permet en connaissant une carte de déduire la suivante (par un calcul la plupart du temps).

On fait trop souvent la confusion avec un « jeu mémorisé », qui n'est autre qu'un jeu dont l'ordre est su par cœur...

Un chapelet peut être mémorisé, ou non ; un jeu mémorisé n'a pas besoin d'être en chapelet...

Bref, cette confusion de langage entraîne de l'imprécision dans les débats...

Pour faire avancer le chmilibillibick, j'ai entendu parlé d'une rencontre sur le sujet dans quelques semaines... Quelqu'un a-t-il des informations ?

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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