Eflamm CAOUISSIN

C'est pour cette raison (batailler pour avoir un dû) que j'ai préféré me mettre à mon compte. Tu sais ce que c'est, Fabien Et bien je m'en sort plutôt bien... Toutefois, je prévois une conjoncture assez difficile dans les mois à venir, en dépit des belles paroles de nos dirigeants, eu égard aux différentes sources non officielles qui se recoupent. C'est pourquoi j'anticipe déjà à ma manière cette baisse éventuelle du pouvoir d'achat (y compris des entreprises). Tout ca pour dire qu'en se bougeant, y'a moyen de vivre uniquement de son revenu artistique. Cependant, on est obligé aussi de faire de l'alimentaire, et cela laisse parfois peu de place à la création. L'intermittence permet ce vivier de création. C'est un peu plus difficile en étant à son compte. Mais, conformément aux souhaits des dirigeants successifs et de notre chère Europe, l'intermittence doit être éliminée. Et cela sera, il ne faut pas se leurrer. Nos dirigeants ont vu au fil du temps qu'une suppression de ce statut ne pouvait être envisagée, sauf à provoquer des levées de boucliers plus ou moins violentes. Ils tuent donc le statut en prenant les intermittents un par un et en les usant, quitte à frôler avec l'illégalité (harcèlement moral).

Et bien mon Julien : tu es, sans vouloir te froisser, le parfait exemple de ce que l'on peut faire gober au pékin moyen. J'ai bossé à l'Elysée, et je peux te garantir que s'il faut ponctionner quelque part, c'est là-bas. Et voilà de quoi te faire réfléchir, ainsi que tous les autres. C'est un extrait d'une réflexion trouvée sur un site : "Je vous propose quelques réflexions, un peu en vrac. Ce sont en général des questions, mais le lecteur a le droit de penser que, de ma part, elles sont purement rhétoriques. 1. D'où sortent le(s) milliard(s) de milliard de dollars que va utiliser l'administration US pour éponger les créances pourries des grands joueurs de la bourse? On répond souvent, et c'est déjà choquant: des poches des contribuables. Or, selon l'habitude étatsunienne, ce ne seront pas des levées d'impôts supplémentaires immédiates qui auront lieu, mais le recours au déficit budgétaire. Cet argent sera donc... emprunté. Et emprunté à qui? Si je ne trompe pas: emprunté au marché. Le marché qui ne prête plus d'argent au marché va prêter à l'administration. Et, grâce au taux d'intérêt, se rémunérer sur ces bons du trésor. 2. Les banques qui ont émis des prêts pourris vont donc voir leur ardoise effacée. Mais, que je sache, ces prêts courent toujours du côté des particuliers qui ont souscrits ces emprunts. Les particuliers qui ont «acheté» une maison avec un de ces nombreux crédits dont les taux ont explosé, et qui ne peuvent plus payer, vont-ils eux aussi voir leur ardoise effacée, ou vont-ils se retrouver à la rue, tous leurs biens saisis? 3. Alors que nous connaissions une période d'euphorie boursière, la pression coloniale et néocoloniale sur les pays producteurs de matières premières était phénoménale. Question idiote: avec la crise généralisée des économies occidentales, cette pression va-t-elle baisser, ou va-t-elle s'accentuer? 4. Si la pression coloniale et néocoloniale s'accentue, aura-t-on plus, ou moins, besoin de l'alibi (im-)moral du «choc des civilisations» pour soutenir l'économie de la prédation? 5. La pression néolibérale sur nos propres sociétés va-t-elle s'accentuer, ou reculer à cause de sa faillite économique et de l'évident mensonge qu'elle représente? Pour l'instant, il me semble que les pays les plus directement touchés en profitent pour imposer des mesures supplémentaires de déréglementation du marché du travail. 6. Malgré l'euphorie boursière, les outils de contrôle social, au motif de «lutte contre le terrorisme», se sont développés dans les pays démocratiques dans des proportions inquiétantes (voir Edvige en France par exemple). Face à une crise économique qui va s'abattre sur l'«économie réelle», ces outils seront-ils directement retournés contre les sociétés (syndicats, mouvements sociaux, associations militantes..? 7. Si nous avons une conjonction entre l'imposition accélérée des politiques néolibérales (pour cause de «lutte contre la crise»), l'utilisation des outils de contrôle contre les sociétés et l'intensification de l'outil colonial qu'est le «choc des civilisations», y a-t-il un risque de basculement (violent ou via le processus électoral) d'une ou plusieurs grandes «démocraties libérales» vers des systèmes autoritaires? Est-ce que ça fait trop de «si» pour qu'on doive s'inquiéter? 8. Quid de la pression sur l'environnement? Kyoto, forages en Alaska, exploitation des zones polaires, alternatives aux combustibles non renouvelables, tout ça... La crise va-t-elle aider à réduire l'impact environnemental de nos systèmes (par exemple: baisse de la consommation), ou au contraire servir d'excuse pour achever de saccager la planète («ça n'est pas le bon moment»)? Je ne vous demande pas d'être d'accord, mais réfléchissez au sens de ces questionnements

La clé de tous les problèmes : "" Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation , puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. L'argent n'a pas de patrie, les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence, leur unique objectif est le gain"" Napoléon Bonaparte.

De toutes façons, on aura beau donner à longueur de temps des arguments solides, on trouvera toujours des détracteurs justifiant leurs actes illégaux avec des sornettes. L'idéal est donc certes, la pédagogie d'un côté, mais l'écrémage de l'autre. De là, il y aura des cris et des grincements de dents.

Ca, c'est pas faux... Mais l'un n'empêche pas l'autre.

Effectivement, tu as mal compris le sens de mon post, d'ailleurs rédigé avec mes enfants bruyants autour de moi, donc avec des difficulté pour me concentrer. Car en effet, certains numéros de jonglage et d'acrobatie sont parfois (souvent ?) supérieurs à des numéros de magie. Mais ces jongleurs, ces acrobates, ont su donner des lettres de noblesse à un art considéré (à tort sans doute) comme ... essayons de trouver le mot adéquat... euh... annexe (?), dans un moment où les magiciens, eux, se sont ringardisés, persuadés d'être supérieurs. Tant mieux pour les arts dit annexes (je n'aime pas ce mot), mais tant pis pour les magiciens... A l'heure actuelle, dans un certain milieu tout au moins, pour les clients, prendre un jongleur ou un magicien, un caricaturiste ou un musicien... tout le monde est considéré à la même enseigne, pas sur le haut du podium mais en dernière roue de charette, c'est-à-dire en général comme saltimbanque (au sens négatif du terme et non au sens noble de celui-ci), alors qu'autrefois, le magicien était le bouquet de la soirée. On est donc loin des Fantasmagories de Robertson ou des Soirées Fantastiques de Robert Houdin. Ce que je dis là (peut-être de manière étourdie) n'est donc pas négatif pour les jongleurs mais l'est pour les magiciens. Ce que je dis est-il plus clair pour toi, Danilsen ? Je sais ce que je veux dire mais l'exprimer est plus difficile, c'est certain. Par contre, pour rebondir sur "serveur n'est pas un art", je suis navré de te l'apprendre mais je me considérais moi-même comme artiste lorsque j'étais cuisinier, puis serveur, puis maître d'hôtel... (entre autres au Palais de l'Elysée, pour le Prince Fayssal Al Saoud, Sting ou Jean Paul II, etc...) Le prix de mes interventions (au-delà des tarifs standards de vacation) était d'ailleurs justifié par cela. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que l'ART DE LA TABLE est une des discipline les plus ardues qui soit, pour que les convives passent un bon moment, dont ils se souviendront. La mise en place, le service, l'approche psychologique des clients... tout ces ingrédients sont à utiliser de la même manière qu'on le fait pour un spectacle, pour un close up... Le service est en lui-même un spectacle, une mise en scène. Si cela est bien fait, avec l'amour du client (public)... c'est gagné !!! En cela, je considère que certains serveurs sont des artistes. On dit bien... les ARTS DE LA TABLE... Pourquoi les intervenants ne seraient-ils donc pas des artistes

En fait, avoir un vrai travail avec un vrai salaire, compatible avec le métier de saltimbanque. En bref, pas un pour remplacer l'autre, pas un plus important que l'autre, mais être "multicartes" Ou sinon, être à son compte, ce qui peut être bien quand on a pas mal de dates, mais avec ces temps incertains, je n'inciterai pas à partir dans cette optique. Je suis très bien placé pour en parler, J'ai actuellement un paquet de dates (avec un bon brut), mais malgré cela, vu les données que je reçois concernant l'évolution économique, j'envisage les choses différemment, pour ne pas faire partie de ceux qui resteront sur le bas-côté le moment venu. Ce que dis Niko est donc dans la lignée des perspectives d'avenir à étudier sérieusement. Mais justement, c'est une raison primordiale de se battre contre ceux qui eux ne respectent pas les règles. Resteront ainsi les artistes (sous l'intermittence pour quelques uns et sous d'autres régimes pour d'autres), ceux qui font tout pour vivre de leur passion, et non les doryphores qui profitent maintenant d'un système éc ulé qui mérite d'être purgé et purifié. Les "anciens" sont donc ceux qui doivent se mêler à cette lutte en faisant part de leur travail antérieur et des pistes sur lesquelles ils ont travaillé, pour permettre aux successeurs de se battre avec des armes meilleures encore. Les "anciens" ne doivent pas être là pour refroidir l'ardeur des plus jeunes (qui eux ne sont pas encore désabusés), mais les soutenir dans leurs efforts et leur projets. Rien ne sert d'avancer un ego suranné (assaisonné d'expériences diverses présentées souvent comme un épitaphe déjà gravé et non comme moteurs ) si ce n'est pour avancer... Sinon, quel intérêt pour eux de rester sur le marché ? Le travail des seniors est aussi là pour passer le flambeau, non ?

Pour moi la réalité est surtout là : certains s'attaquent aux problèmeS actuels, pendant que d'autres ruminent le passé, dans un savoureux "de mon temps", et/ou que d'autres se trouvent des justifications genre "on n'arrivera à rien, c'est le système qui est ainsi" En bref... "les chiens aboient et la caravane passe". PS : par contre il est vrai que l'intermittence deviendra si hard à acquérir qu'elle disparaitra, c'est certains. Mais les artistes, eux... resteront, peut être à leur compte, mais resteront...

Hello !!! Bienvenue... Si je comprends bien, tes spécialités sont : les cordes, les foulards, les cartes.... toute sorte de magie. Donc en bref... pas de spécialité, non ? J'ai bon, j'ai bon ???

Oui mon Gégé, mais justement ... pourquoi ne pas soutenir les actions des plus jeunes... Comme je l'ai dit, la vieillesse commence lorsque l'on ne possède plus de projets d'avenir. Diriez-vous donc que vous avez passé la barre fatidique... Pour le docteur Jack Addams... toutes les réponses à tes interrogations ont déjà été évoquées par ailleurs. De plus, je t'invite à aller sur le forum de la FFAP, qui évoque ces sujets, car ce sont les remarques qui viennent le plus souvent. Il n'est donc pas utile de les réitérer ici. Pour Willow... adhérer à la FEPASES et le montrer est déjà un bon pas à effectuer, avant tout label éventuel.

Effectivement, le côté neuf du 1800 pose problème. Toutefois, à l'usage, il vieillit parfaitement. De plus, je l'ai laissé un peu à l'humidité pour que les cartes soient un peu gondolées, etc... Le résultat me convient à l'heure actuelle, puisqu'on dirait pratiquement un jeu ancien. Je dis bien "pratiquement".

Je suis allé hier soir voir Jack Barlett, qui était en Bretagne. Je connaissais déjà son approche, vu le nombre de fois où on en a parlé ensemble, mais ne l'avait pas vu opérer en live. Je ne sais les impressions que vous en avez, à part Husky qui a fait un très bon CR de sa conf'. J'ai vu que peu d'entre vous avaient rebondi sur ce CR. Toujours est-il que je tenais à mettre ce petit mot car en le voyant en live, on se rend compte des pistes immenses qui restent à explorer pour déringardiser la magie et lui redonner ses lettres de noblesse. Autrefois, le magicien était quelqu'un de reconnu. Lorsqu'on l'embauchait, c'était parceque les gens y tenaient. Aujourd'hui, le magicien en général est embauché au même titre qu'un jongleur, qu'un caricaturiste... En utilisant les pistes proposées par Jack, la magie et le magicien peuvent tenter d'approcher l'aura d'un Nikola Tesla et d'un Méliès, ou toucher l'aspect fondamental de la magie de Robert Houdin. L'important n'étant pas le truc mais le fond, car tous ces personnages usaient des nouvelles technologies, les étudiaient jusqu'au bout et au-delà, pour mystifier les spectateurs, leur faisant vivre ainsi des soirées fantastiques. Jack donne ici des pistes intéressantes (même plus). Il est donc essentiel de ne pas se limiter aux applications basiques de ces outils, mais voir où on peut aller. J'entre-aperçois ici des perspectives très intéressantes pouvant mêler l'illusionnisme fantastique et ces nouvelles technologies. Bref... nous ne sommes qu'au début d'une ère qui pourrait déringardiser la magie, pourvu qu'on souhaite se défaire de cette image, et proposer autre chose que des boiboites glimmerisées. Je ne peux donc que vous encourager à aller voir Jack, à parler avec lui. C'est un passionné, et qui partage sans problème. Maintenant, comme il dit, on est sur le même bateau, et c'est à chacun de travailler main dans la main pour le faire avancer. Merci Jack pour cette soirée sympa Et Pago, ravi de t'avoir rencontré à cette occasion avec les autres !

Pour moi, je cherche quelqu'un qui vends mon consommable à des prix moindres. Par contre, je cherche quelqu'un qui soit sympa, ouvert, prêt à aller chercher ce que je cherche, avec un bon rapport qualité / prix. Je cherche quelqu'un qui ira me trouver l'introuvable. Je cherche quelqu'un qui se veut original dans les produits proposés. Je cherche quelqu'un qui voit sa passion et son amour de client avant son intérêt. Je cherche quelqu'un qui propose autre chose que ce qui existe sur le grand marché. Bref... malgré la sympathie de nombreux marchands de trucs chez qui j'ai commandé auparavant, je n'en connais qu'un, qui correspond dans l'ensemble à mes critères. Le seul hic : Dommage qu'il ne soit pas encore assujetti à TVA

Justement... La FEPASES est sur cette ligne, d'où l'intérêt de faire front commun FFAP et FEPASES. Bien sûr, il y a beaucoup de boulot, mais si on ne commence pas, on n'y arrive pas. Je considère donc d'un très bon oeil ce qui se passe entre ces deux organes.

Pas de soucis, Thierry, mais je rebondissais juste sur ce que disait Nirag Antoine... pourrais-tu m'en dire un peu plus à l'occasion sur ces ouvrages ? Merci d'avance

Mon cousin, musicien intermittent, respectant les règles, s'est vu traité par les ASSEDIC de cet manière : "comme tous, vous êtes un chasseur d'allocs". Ce genre de réflexion mérite réflexion, non ?

En effet, Magie et Mise en Scène de Henning Nelms, est une somme de 3 ouvrages traduits comme d'hab par Richard Vollmer, et édité par Les Editions du Spectacle (Magix) C'est très bon à lire et je le conseillerai à tous. Quelques abords sont je pense un peu obsolètes, mais dans l'ensemble, je crois que la lecture devrait être obligatoire pour chaque magicien qui se respecte. Fondations devrait donc compléter et donner une vision plus actuelle de principes inusables à appliquer pour la bonne marche d'un spectacle. De même, je ne saurai que conseiller le livre de Maskelyne, traduit en français par les mêmes : "Si vous avez aimé le livre de Henning Nelms, : Magie et Mise en Scène, vous dévorerez celui-ci avec la même passion, car il en est le complément naturel. Si vous pensez que le 'Nelms' constitue une lecture indispensable pour tout magicien digne de ce nom, vous en direz autant lorsque vous aurez lu le 'Maskelyne '. C'est à mon avis l'ouvrage le plus franc, le plus décapant, le plus instructif, le plus intelligent et le mieux écrit qui ait jamais été publié sur la théorie de la magie en tant que discipline artistique. Tous ceux qui s'intéressent sincèrement à la magie et qui y voient autre chose qu'une simple source de profits, se doivent de lire cet ouvrage indispensable, écrit par l'un des magiciens les plus célèbres du début de ce siècle. Au sommaire: # Les Véritables Secrets de la Magie. # Les Trois Degrés de l'Art. # L'Unité. # La Cohérence. # La Justification. # La Surprise et la Répétition. # Les Effets de Transition. # La Chute. # La Présentation. # Les Répétitions. # La Vitesse dans la Présentation. # Le Boniment. # Le Comportement sur Scène et la Personnalité. # L'Attitude Mentale. # L'importance des Principes Artistiques." Pour ma part, depuis ces lectures, je vois les choses un peu différemment. J'espère donc progresser en conséquence. Certaines choses sont des rappels, mais ca fait du bien de relire et de digérer cela. Et tant que vous y êtes, ca ne peut que faire du bien : la vision de la magie par Christian Chelman dans LU (pour passer de la démonstration de trucs à la magie), La grande magie des tout-petits de Peter Din et Magie enfantine de Gérard Bakner. Ces deux derniers sont plus ciblés, mais ca vaut le coup de les lire et éviter ainsi de faire des démonstrations d'aspirateur. PS : Mais il n'y a qu'à regarder le nombre de personnes ayant lu ce thread, et le nombre de messages, pour se poser la question sur l'intérêt majoritaire pour une mise en scène travaillée. Comme le dit Didier : " Ce qui interresse " les magiciens " ce sont avant tout les TOURS ...pas leurs mises en scène ou en situation ...comme disait Jacques DELORS après des démonstrations de virtuosités ...j'ai vu beaucoup de tours et d'effets mais pas beaucoup de magie..."

Et moi le troisième.. à un mec super

Oué... c'est comme ce qu'ils vendent dans les rayons "soldes" des hypers : plein de trucs qui ne servent à rien, mais les professionnels les vendent quand même !!!

Donc pas dan le C mais sur le B

La première notice des Noces de Cana : http://fr.wikipedia.org/wiki/Noces_de_Cana

Et certains, à en déduire par ce sujet, sont un peu vert des affaires traitées entre certains, et pensent à tort qu'ils l'ont dans le C... J'ai bon, j'ai bon ???

J'ai acheté sur VM il y a de cela environ deux ans une cage à disparition, à système pneumatique, à un dénommé Olivier Verger-Varid (pseudo : Verger) Cet Olivier se trouve étonnamment dans le 27 (ca vous dit quelque chose, ce département ?). Hasard ??? Toujours est-il que j'avais vanté la qualité de son matériel sur VM au moment de l'utilisation, car c'est du beau matos... J'aurai mieux fait de m'abstenir... Il s'avère qu'au bout de dix utilisations (répé incluses), le système est défectueux. Je le contacte, et il me rappelle plusieurs mails après pour me dire ce qu'il faut faire. Ce que je fais... Au final, ca limite la casse mais cage inutilisable en spectacle (et même en répé), car la cage disparait en cours de spectacle Je tente de le contacter, mais c'est peine perdue. La chose est simple : ce monsieur interviendrait en cabaret dans le 27 et à l'entour. Quelqu'un le connaît-il ? Si oui, merci d'avance de me donner ses coordonnées actuelles (j'ai son mail). Il n'est pas normal qu'un matériel soit défectueux au bout de si peu d'utilisation.

Sans vouloir choquer, je croyais innocemment que pour avancer le pro lape, suce... ... ok... je connais la sortie