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Eflamm CAOUISSIN

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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN

  1. Non... on n'ignore pas tout du produit de départ, mon cher Marneus, et si on en parle c'est que justement, on connait le produit de départ. Quand au prix, chacun la décide en fonction de différents paramètres, mais il y a un moment où il est préférable d'arrêter de se foutre de la gueule du monde. Heureusement, certains marchands et créateurs sont plus scrupuleux que d'autres.
  2. Ah ??? Et tu as adapté un tuyau à ton vaporetto ? Tu pourrais le commercialiser, dans le package original, et gagner un peu de sous, nom ?
  3. "Le pont tient les bords de la rivière " * Haïku (Vincent Hedan, CC Editions)
  4. Supprimé après discussion avec Frantz.
  5. A Frantz : Non... Un modo a effacé une partie de discussion car un éditeur de ses connaissances l'avait bien cherché, pour des raisons évoquées en privé. Je te remercie, Frantz, d'éviter de remettre le couvert, surtout en te dédouanant de toute responsabilité. De plus, pour ma part, quand une chose est réglée, elle l'est et cela sans arrière-goût de fiel. Il semble que tu ne sois de même constitution.
  6. J'adore !!! Merci pour ce partage d'histoire (s) !!! Toujours un régal. Ca me fait penser à ces artistes bretons que j'aime beaucoup -O'Shan et Naga- qui évoquent des heures durant les tournées Sanlaville, les anecdotes d'une vie que ceux de vingt ans ne peuvent pas connaître... Ca me fait penser à un mon cher sorcier breton Fanch , qui partage à ceux qui veulent l'écouter ses carnets de Voyage. Ca me fait penser à mon grand-oncle et à ses fameux Presti XXème, lettres pleines de Vies d'artiste... La voilà, la magie !!! La magie d'instants révolus.... Continuez... ca fait du bien
  7. En effet, mais on peut toujours trouver pire que le reste. Si on part sur ces idées, on peut donc excuser de nombreuses dérives. Je ne pense pas que cela soit donc une excuse. De plus, un créateur est libre de vendre ses créations le prix qu'il veut, mais le consommateur est aussi libre de faire savoir son mécontentement, certes en ne l'achetant pas, mais aussi par d'autres biais. Les consommateurs ont "50 millions de consommateurs", et nous avons nos forums. Bien entendu, s'agissant d'une création de quelqu'un issu du gotha magique, il serait attendu que l'on s'incline devant le génie du créateur. Mais heureusement, il existe encore des gens qui savent dire ce qu'ils pensent, même si ca ne plait pas toujours. Pour en revenir à Smoke One, le fait déjà d'utiliser le packaging existant et d'y accoler juste le nom du tour, est déjà en soi un pas vers le foutage de gueule, si l'on tient compte du prix de vente. S'il avait pris le matos, l'avait relooké (même peint en noir simplement), fait un packaging magique personnalisé, il y aurait déjà une valeur ajoutée, justifiant en partie le tarif demandé. Là, pas du tout : packaging identique au matos d'origine, matériel livré tel quel avec l'accessoire d'adaptation (qui est certes une bonne idée, mais qui ne demande pas d'avoir fait X pour l'inventer), et le Modus Operandi. Bref.. le prix de vente est en décalage avec le reste, et c'est simplement ce qui est reproché, non pas l'idée.
  8. Comme je l'ai signalé par ailleurs, je pense au contraire qu'informer la communauté magique lorsqu'on se fout de sa gueule est un point important pour éviter les abus des créateurs-vendeurs, car certains d'entre eux se font un point d'honneur à faire du neuf avec du vieux. En l'occurence, ici Nicolas Lepage marche sur ces principes en commercialisant Smoke One. Pour répondre à Nikola, les phases de tests ne justifient pas de tels prix, et la suppression de la phase aspiration et renvoi de fumée non plus. L'idée telle ne vaut pas ce prix. Et les coûts de production non plus. Une publication dans un magazine ou une vente à tarif moindre, en effet, cela aurait été de bon aloi ! ...mais là, non !!! Surtout lorsqu'on voit les argumentaires commerciaux !!! Autant je suis prêt à payer cher pour certaines idées, autant lorsqu'on se fout du monde, il est essentiel de le dire !!! Et si ca vient d'un marchand, c'est encore mieux... Ca assainira peut-être un jour les choses, et les conso-magiciens sauront qu'on ne leur vendra pas n'importe quoi pour se faire des ronds sur leur dos.
  9. Mon cher Amaury, si tu lis bien les informations sur ce conseil des sages, tu verras que nous avons effectivement déjà parlé des spectacles s'élevant à moins de 6 par an. Mais, dans le milieu magique, de trop nombreuses associations ne respectent pas les règles, et sont largement au-delà du quota de 6 spectacles. Il existe un forum consacré aux mariages où les assos qui font leur pub font foison, des assos qui ne respectent aucune des règles commerciales. Comme nous l'avons déjà souligné, nos "sentences", comme tu dis, ne visent pas les associations et compagnies qui connaissent et respectent parfaitement les règles. Je tiens justement à souligner à nouveau l'intérêt des notes de conférence de Teddy Rex sur de tels sujets. Lui comme d'autres ne se sentent bien évidemment pas visés par ces "sentences". Je vous invite donc à les lui commander. Ca fera bien avancer les choses Ces sentences, comme tu dis, ne dérangent que ceux qui veulent tricher, car qui se sent morveux se mouche. Si Jcecn rentre dans le cas de figure des 6 spectacles / an max, cette citation le concerne. Mais au moins, il aura été prévenu des conséquences éventuelles sur le reste, en cas de dérapage.
  10. Olasiv... Merci à toi de te renseigner avant de poster. Je suis de ceux qui ont planché plusieurs années sur le sujet avant de me lancer. Je parle donc en connaissance de cause !!! Pourquoi les deux ne sont pas compatibles ? Pour la simple et bonne raison que le statut d'intermittent s'oppose à celui de permanent. Pour simplifier, un intermittent est une personne qui travaille via voie contractuelle un certain nombre de jours dans le mois (lors d'un spectacle ou d'une manifestation) et qui, le reste du temps est inscrite au chômage et touche des allocations selon un régime spécifique, afin de pouvoir travailler à la création... L'inscription au chômage est donc une condition de l'obtention du statut d'intermittent puisque c'est une activité temporaire par nature. A partir du moment où cet intermittent devient gérant de SARL, il perd son statut d'intermittent puisqu'il occupe un emploi permanent. Il n'y a pas lieu, à mon avis, de distinguer ici entre le gérant majoritaire et le gérant minoritaire, les deux occupant un poste permanent. La seule exception à ce que je viens de dire concerne les activités accessoires. Si l'intermittent touche des cachets pour par exemple 90% de son temps et exerce une seconde activité qui ne lui prend que quelques heures par mois, il sera affilié au régime des intermittents pour la totalité de ses activités (s'il remplit les autres conditions par ailleurs : nombre d'heures ou de cachets etc...). Attention, car il se peut qu'en fonction des activités, l'inscription soit au régime général. En ce qui concerne le statut d'associé dans les SARL, tout comme celui d'actionnaire dans les sociétés de capitaux (Société anonyme, société par actions simplifiée etc...), il ne s'agit pas d'occuper un emploi mais de détenir le capital de la société et de toucher des revenus de capitaux mobiliers (intérêts ou dividendes). Rien n'interdit donc à l'intermittent de devenir associé dans une telle société tant qu'il ne s'immisce pas dans la gestion. Une autre personne doit simplement occuper le poste de gérant. Attention à la fraude, car une reconsidération de gérance de fait peut être prononcée si elle est constatée. Par contre, tout ce que je viens de dire n'est pas vrai pour les sociétés dites de personnes comme la société en nom collectif puisque dans ces sociétés, les associés sont des commerçants et l'intermittent ne peut pas non plus cumuler son statut avec la qualité de commerçant. Enfin, en ce qui concerne le nombre d'associés dans une SARL, il est tout à fait possible de créer une telle société avec un seul associé mais dans ce cas, la société sera une EURL (Entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée). L223-1 du code de commerce. L'intermittent peut être associé unique mais un tiers devra prendre le poste de gérant. Cf ce que je viens de dire plus haut sur la requalification en gérance de fait. L'EURL est en principe soumise au régime des sociétés de personnes....sauf si elle opte pour l'impôt sur les sociétés. Lorsque l'associé unique est un intermittent du spectacle, il faut donc exercer cette option !! Pour terminer avec mon avis personnel, il faut savoir que si l'on se met en entreprise, ce n'est pas pour survivre, d'une manière ou d'une autre, en faisant des montages permettant d'avoir le beurre et l'argent du beurre, mais bien parce qu'on est persuadé que son entreprise est vouée à la réussite. Dès lors, si de tels montages peuvent être envisagés, c'est à mon sens un pas vers l'échec, en comptant sur un assistanat. Soit on est intermittent, et on travaille d'arrache-pied pour avoir ses dates, en s' investissant dans le travail de création (les allocations servent à ça et non à se dorer la pilule. Mon automate préféré est le meilleur exemple que je connaisse sur la gestion idéale de l'intermittence). Soit on est entrepreneur et on travaille d'arrache-pied pour subvenir aux besoins de son entreprise, quitte à parfois faire de l'alimentaire. Je parle en connaissance de cause. Sachant qu'il n'est pas possible de profiter de ce cumul, du moins suivant mes recherches et mon parcours (mais peut-être me trompé-je, et le législateur aussi), je vous ferai tout de même part d'une réflexion qui s'impose à moi. Du côté logique (et moral) de la chose, un choix est à faire, et vouloir cumuler les deux est, à mon sens, un pas vers la malhonnêteté, qui aide encore plus notre p... n de société à sombrer. Quant au fait de vouloir lancer une activité à son nom sans prendre de risques, il existe assez d'aides à la création d'entreprise, et que le cumul de l'intermittence et du micro-entreprenariat ne saurait être justifié dans ce sens. PS : pour ce qui est des ASSEDIC, aucun conseiller ne saura vous renseigner correctement, pour la simple et bonne raison que ca sort de leur domaine de compétence. Il en va de même pour les CCI, qui prêchent souvent pour leur paroisse (cotisations obligent). Les seuls (ou presque) capables de vous renseigner justement travaillent à l'URSSAF.
  11. A proscrire, outres les tours de cartounettes, pièces et j'en passe (ca dépend encore la façon d'aborder les routines) : tous les tours avec des couteaux. Les tours avec du feu peuvent aussi donner des idées post-spectacles aux enfants.
  12. La moyenne des prix publics de close up se veut être, si je ne me trompe (et aussi d'après les informations reçues par mon épouse) à 550 euros, charges incluses, en effet suivant la notoriété et la prestation proposée. La situation géographique et le nombre de magiciens exerçant au m² joue aussi. Bon, je te l'accorde, beaucoup de magiciens exercent en-dessous de ce tarif, y compris des pointures. Si ca peut t'aider, je suis pour ma part à une moyenne de 600 euros HT + VHR, et j'ai une clientèle. Il ne s'agit donc pas de tarifs annoncés mais de tarifs effectifs. Il existe aussi des tarifs spécifiques agences, pour celles qui me font travailler régulièrement, leur permettant ainsi de marger sans non plus me vendre à des tarifs prohibitifs au-delà de l'estimation de mon travail. Sur ce dernier point, de trop nombreux magiciens donnent aux agences le même tarif que le prix public, ce qui à mon sens est inconcevable. Bien entendu, un "one shot" ne donne pas un droit identique à des contrats proposés régulièrement par une même agence. Certains l'ont compris, d'autres non... Cela étant dit pour faire réfléchir certains...
  13. Les "pauvres" n'auraient droit qu'à la télé ? Hum... Non, mais comme je l'ai dit, on dépense à la mesure de ses possibilités. Comme je l'ai précisé par ailleurs, si on veut aller au Lido, on économise et on prends ensuite du plaisir. Si on veut aller chez Rollinger, on bouffe certes des patates pendant quelque temps, pour y aller. Si on veut un spectacle, on économise pour l'avoir. J'en parle d'autant mieux que mes parents n'ont pu nous offrir le quart de ce que de nombreuses personnes ici présentes ont pu avoir dans leur enfance.
  14. Alors... je ne pense pas, mais je me trompe peut-être, que l'on est dans la bonne compréhension des choses. Il ne s'agit pas de protectionnisme mais d'application du droit. Je récapitule donc pour voir si j'ai bien compris. 1- L'asso de parents d'élèves n'a pas de moyens mais fait appel à une asso d'étudiants pour avoir une prestation à moindre prix. 2- Les étudiants sont contents : ca leur fait de l'argent pour le fonctionnement de l'asso. Ils demandent comment faire. Chacun ramène sa fraise sans spécialement connaître la loi (à ce titre Peter a bien raison de s'énerver de temps à autres). 3- Pour que les Parents d'élèves soient contents, et empocher le contrat, les étudiants demandent à connaitre le juste prix "juste pour des étudiants". On propose donc des tarifs au rabais "parceque c'est une école et qu'ils n'ont pas les moyens", et "que nous sommes juste des étudiants" et "n'avons pas l'habitude de travailler en public" et "ne voulons pas demander la même chose qu'un pro, car nous ne le sommes pas". 4- Les parents d'élèves sont contents et ont des magiciens, et les étudiants sont content, car ils ont de l'argent pour leur asso. Maintenant, voyons les conséquences plausibles. 1- Les parents d'élèves, s'ils veulent refaire une soirée similaire, vers quelle solution croyez -vous qu'ils se tourneront : le pro ou les étudiants moins chers ? 2- S'ils ont besoin d'un magicien pour une soirée privée ou dans leur entreprise... comment réagiront-ils quand vous leur direz de se diriger vers un professionnel (comme vous le prétendez), et que celui-ci demandera 600 euros la soirée, alors qu'ils peuvent avoir un magicien pour un tarif moindre ? Le produit n'est certes pas le même, mais le pékin moyen ne regarde pas ça au premier abord. Enfin, - Croyez-vous normal que d'un côté, pour la même activité, l'un paie des charges sociales, "bénéficie" des lourdeurs administratives ..., et de l'autre on crée une asso en évitant les inconvénients ? Il existe des assos qui elles respectent les règles (n'est ce pas Teddy, n'est ce pas Peter ?), mais il est bien évident qu'elles ne se sentent donc pas visées par mes dires). Je parle des assos qui facturent des prestations en toute illégalité, qui font de la pub soit par plaquette, soit par site interposé, alors que toute publicité est proscrite sauf à assumer les mêmes charges qu'une entreprise, etc... - Est-ce que vous trouveriez normal que des garagistes, des boulangers... se mettent en asso pour proposer des prestations à tarifs moindres ? Allez... juste pour info : S'il concurrence le secteur commercial, examiner si l'organisme exerce son activité selon des modalités de gestion similaires à celles des entreprises commerciales (chapitre premier - section 2 - B). Pour cela, quatre éléments doivent être pris en compte, mais leur importance dans l'appréciation de la « commercialité » n'est pas la même. Ainsi, il convient d'étudier dans l'ordre décroissant : le « Produit » proposé par l'organisme, le « Public » qui est visé, les « Prix » qu'il pratique et la « Publicité » qu'il fait (règle des « 4 P »). * produits : les produits (biens ou services) ne sont pas disponibles auprès d'entreprises lucratives ou le sont de façon non satisfaisante ; * public : les services ou les biens vendus doivent toucher un public qui ne peut normalement pas obtenir le même service ou bien, par exemple des personnes indigentes, chômeurs, familles monoparentales ou personnes dépendantes ; * prix : les prix sont inférieurs à ceux du marché (mais on peut toujours invoquer un motif de différenciation — réelle ou fictive — de la prestation) ; * publicité : l'association n'a pas recours à la publicité Ce n'est que s'il exerce son activité selon des méthodes similaires à celles des entreprises commerciales, que l'organisme sera soumis aux impôts commerciaux de droit commun. Les points 1 à 3 doivent être examinés successivement. Attention, les associations qui exercent leur activité au profit d'entreprises sont, dans tous les cas, imposables sur les bénéfices commerciaux. Une association qui ne répondrait pas à ces critères devrait alors être fiscalisée et être donc soumise aux impôts commerciaux. Certaines personnes (y compris dans des administrations chargées de conseiller les particuliers) considèrent parfois que la constitution d'une association permet de « tester » une activité avant de fonder une entreprise (l'association serait donc un « ballon d'essai ») ; cela n'est pas toujours vrai, l'association serait soumise à * l'impôt sur les sociétés en cas de bénéfice ; * un impôt forfaitaire annuel si son chiffre d'affaire dépasse 76 224 euros ; * la TVA si son chiffre d'affaire dépasse 76 224 euros pour la vente de biens, de prestations de restauration ou d'hébergement, ou 26 680 euros pour toutes autres activités de services ; * la taxe professionnelle, sauf franchise de 38 112 euros. Maintenant, une fois ces données données, tu as des pistes pour ta réflexion.
  15. Justement... sous le mot "juste des étudiants" ou "juste des passionnés"... on arrive à des abus qui frôlent avec la concurrence déloyale. Navré, mais le "prix juste pour des étudiants", ca ne passe pas avec moi. Car ne te leurres pas : les parents d'élèves sont des salariés, des patrons, peut-être des demandeurs d'emploi. Ils savent que tout travail a un prix, et ils tireraient la tronche si un étudiant venait travailler dans leur boite pour le même emploi, à un tarif moindre. On est donc dans la même optique ici, malgré les excuses qu'on peu trouver. A vous de montrer que votre boulot a un prix, et que si on n'a pas l'argent, on ne va pas au spectacle. On reste devant sa télé ou projette un film, mais on dépense à la mesure de ses possibilités. C'est tout à ton honneur de demander, mais par contre, nous avons créé le Conseil des Sages, avec toutes les informations nécessaires, pour éviter de retrouver à chaque fois les mêmes questions.
  16. Et rebelote... C'est quand même crénom pas possible !!! On retombe dans le travers des assos qui cassent les prix, au détriment des professionnels (intermittents ou à leur compte), en ne respectant pas les règles. De tels comportements ont sabré les loueurs de calèches, les DJ, certains traiteurs (et oui !!!) et on vit la même chose avec les magiciens. Désolé, mais il existe des règles, que vous retrouvez dans le "Conseil des Sages"... Si c'est pour votre école passe encore, mais là, vous ne leur rendez pas un service !!! En acceptant une prestation pour une autre école dans la manière sus-évoquée, vous incitez plutôt les parents d'élèves à se diriger (y compris pour de l'événementiel autre) vers vous plutôt que vers un pro. Quant au fait d'aider une petite structure, vos justifications sont bidons !!! pour info, ce soir je faisais une presta pour une maison de quartier, qui n'a pas forcément les moyens. J'ai fait un effort sur les frais de transport, mais je n'ai pas baissé mon tarif. Ils se sont débrouillés pour trouver. Je fais régulièrement des prestations pour les écoles bilingues bretonnes. Elles n'ont pas de moyens : elles se rassemblent donc à plusieurs pour m'avoir !!! Il y a toujours une solution, loin des prix cassés aux justifications hasardeuses.
  17. Oué... avec la fille à papa !!! Pour ce qui est de Christine Albanel, l'ayant croisé et entendu très régulièrement pendant environ un an à l'époque où j'étais à l' Elysée, elle n'est pas l'incapable que les médias tentent de faire croire. Pour ce qui est des banquiers... C'est tout bénef pour eux ; En simplifiant pas mal pour les incultes : argent emprunté par l'Etat aux banques pour les sauver, intérêts versés ensuite... Le contribuable racke !!! Si certains veulent des exemples d'abus et de gaspillage, vu mon parcours, je te garantis que j'en ai vu bien plus que beaucoup, et donc, mon cher Ikoli, je peux te dire que sur ce coup, tu es dans la droite ligne de ceux qui se font berner par la désinformation et la manipulation publique. Mais je te rassure, tu n'es pas le seul, ... Comme je suis gentil et que c'est Noël, voici en pièce jointe la crise financière expliquée aux enfants... Pour ce qui est des intermittents : la question a été évoquée maintes fois, et il vaut mieux ici comme pour le reste, parfois la fermer et passer pour un khon que l'ouvrir et en donner la certitude !!! Quand on ne sait pas... on ferme sa... En bref, là comme en d'autres cieux, il existe le bon grain et l'ivraie... 2054.pdf
  18. J'ai bossé en tant que maître d'hôtel puis en magie à l'Elysée... Je me faisais fouiller et je n'y voyais pas d'inconvénients. J'ai aussi servi le Pape Jean Paul II. Je me suis fait fouiller puis interdiction de sortir de l'enceinte de la journée. Je n'y ai pourtant pas vue d'inconvénients. J'ai bossé pour le prince Fayçal Al Saoud. Je me suis fais fouiller la première fois, par ses hommes, puis on a sympathisé et les 15 jours passés ensemble ont été un régal. ... Donc je suis Winfried à fond sur ce principe. Je suis d'accord aussi avec Lancelot, et si on me fait ch... je n'hésite pas à faire demi-tour. Ce fut le cas récemment dans un casino qui m'avait embauché. On me refuse l'entrée parce que je n'avais pas de pièce d'identité... Rien à battre... je me barre... et finalement, tout est rentré dans l'ordre. Mais la demi-mesure dans tous les cas est idéale.
  19. "être prestataire de service sous forme associative avec siret et licence d'entrepreneur de spectacle." Hum Hum...
  20. Sachant qu'il existe même une version adverse
  21. Juste en passant : si actuellement tu fais au minimum trente dates sans trop faire de pub, signifiant donc qu'en te foulant un peu, tu en feras facilement 43. si actuellement la magie prend le pas sur ton autre activité pro. Fonce... Sinon, tu es quasi certain de galérer. On ne lance son entreprise qu'après avoir fait une étude de marché, et avoir déjà sa clientèle potentielle. Il en est de même pour les arts. Trop de magiciens se lancent en tant que pro, en négligeant ces aspects des choses, et se retrouvent à faire du cachet minable pour arrondir les fins de mois difficiles et combler le déficit de dates. Mais ça n'est que mon avis. Sinon, pour le reste, ce que dit Lancelot est archi vrai !!! Et pour les démarches, je t'invite à lire les sujets concernés sur ce Conseil des Sages, créé justement exprès pour cela
  22. En effet, Chris !!! Pour Anthony, ton astuce ne marche pas car l'imposition est effectuée au pro-rata, comme en micro !!! De plus, augmenter le CA ne veut pas dire augmenter le bénéfice. La limite de 80000 est là car il y a achat de matières premières ou de produits finis, ce qui n'est pas présent dans le cas des entreprises de services. C'est donc une erreur de penser que l'on peut cumuler plus pour gagner plus.
  23. Alors... je n'avais rien dit, car je me disais que comme certains sous d'autres cieux, je devais être une tanche. Mais en effet, je comprends comme Frantz et Chris... Pour te répondre, Frantz, en effet, nous étions en micro, mais le chiffre d'affaire ayant explosé cette année, nous sommes désormais au régime simplifié, et non plus micro.
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