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Eflamm CAOUISSIN

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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN

  1. De rien, Frantz. Et effectivement, c'est ce que je dis depuis le début, mais il est certain que j'aurai dû commencer par mettre ces infos. Donc merci à toi d'avoir soulevé la question
  2. Pour ma part, cela n'a rien à voir et est hors sujet, mais lorsque certains attaquent, je mords, c'est tout
  3. Bonjour, Voici ma suggestion : http://www.prevensectes.com/opusdei.htm Justement, merci de ne pas mélanger. L'Opus Dei est un organe qui malgré son classement par Prévensectes, n'est pas une secte. Je t'invite d'ailleurs à vérifier si en France elle est classée comme telle. L'Opus Dei est pointé du doigt parce qu'elle dérange certaines personnes Toutefois, en-dehors de ces propos, l'Opus Dei n'est pas l'Eglise Catholique et l'Eglise Catholique n'est pas l'Opus Dei. Ou sinon on peut faire des amalgames de type : http://www.prevensectes.com/baha%27is1.htm avec l'Islam, si tu veux. Ou sinon, encore mieux, peut-on aller jusqu'à dire que certains de nos gouvernants appartiennent à des sectes en intégrant : http://www.gldf.org/ ?
  4. Bonjour Frantz Je pense que ce texte devrait t'éclairer, d'autant que c'est quand même l'interprétation d'une pointure. Même si ce n'est pas un texte législatif, il y a quand même un arrêt prononcé par la cours de cassation. Tu as peut-être déjà consulté le site d'où il provient, mais je le mets tout de même. Je précise que pour comprendre les différentes dispositions, il est nécessaire de ce référer aux différents articles cités. Comme dit Teddy, c'est le Code du Travail. Toutefois, le code de la Sécurité sociale est aussi une des bases qui ont donné cette loi. Donc invitation à s'y référer aussi : La troisième catégorie de personnes affiliées à titre obligatoire au régime général est celle des travailleurs salariés par assimilation. L'article L. 311-3 du Code de la sécurité sociale assimile à des salariés un grand nombre de travailleurs soustraits à tout lien de subordination juridique. Tel est notamment le cas des « artistes du spectacle (…) auxquels sont reconnues applicables les dispositions des articles L. 762-1 et suivants » du Code du travail (CSS, art. L. 311-3, 15°). Selon l’article L. 762-1 du Code du travail, « Tout contrat par lequel une personne physique ou morale s'assure, moyennant rémunération, le concours d'un artiste du spectacle en vue de sa production, est présumé être un contrat de travail dès lors que cet artiste n'exerce pas l'activité, objet de ce contrat, dans des conditions impliquant son inscription au registre du commerce. Cette présomption subsiste quels que soient le mode et le montant de la rémunération, ainsi que la qualification donnée au contrat par les parties. Elle n'est pas non plus détruite par la preuve que l'artiste conserve la liberté d'expression de son art, qu'il est propriétaire de tout ou partie du matériel utilisé ou qu'il emploie lui-même une ou plusieurs personnes pour le seconder, dès lors qu'il participe personnellement au spectacle. (…) Sont considérés comme artistes du spectacle, notamment l'artiste lyrique, l'artiste dramatique, l'artiste chorégraphique, l'artiste de variétés, le musicien, le chansonnier, l'artiste de complément, le chef d'orchestre, l'arrangeur-orchestrateur et, pour l'exécution matérielle de sa conception artistique, le metteur en scène ». Ces dispositions ont été reprises, sans changement substantiel, aux articles L. 7121-1 à L. 7121-7 du nouveau Code du travail qui est entré en vigueur le 1er mai 2008. L’article L. 762-1 du Code du travail pose donc une présomption de salariat des artistes du spectacle. Cette présomption puise son origine dans la loi n° 61-1410 du 22 décembre 1961 « relative à l’affiliation des artistes du spectacle à la sécurité sociale ». Néanmoins, cette loi se bornait à rattacher cette catégorie de travailleurs au régime général sans qualifier leur contrat d’engagement de contrat de travail : présumés salariés en droit de la sécurité sociale, ils ne l’étaient pas en droit du travail. C’est la loi du 26 décembre 1969 (V. infra) qui franchira le pas, introduisant la règle aujourd’hui inscrite à l’article L. 762-1 précité. Mais la Cour de cassation avait pris les devants dès 1922 (Cass. civ., 29 juin 1922 : DP 1922, 1, 125). La question de savoir si cette présomption de salariat est simple doit être résolue par l’affirmative. Le texte lui-même réserve le cas d’un artiste qui exercerait son activité « dans des conditions impliquant son inscription au registre du commerce », c’est-à-dire en tant que travailleur indépendant exerçant une profession commerciale (ex. : un co-entrepreneur de spectacle voire un artiste de grande notoriété). La Cour de cassation a ainsi refusé le bénéfice de la présomption à un soi-disant « artiste du spectacle » qui était immatriculé au registre du commerce et qui, en outre, « choisissait sa clientèle, organisait librement son activité, dont il supportait les charges et risques, et négociait le tarif horaire de ses prestations », de sorte que l’intéressé « devait être considéré comme travaillant à titre indépendant pour son propre compte et non pour celui de la société, les contraintes de lieu et d'horaire auxquelles il était soumis étant imposées par la nature même de l'activité » (Cass. soc., 12 janv. 1995, n° 92-11944). Cela provient d'ici : http://patrickmorvan.over-blog.com/article-19134130.html
  5. Mimosa dit : Mon cher Mimosa, cette phrase est de trop, ou je t'invite également à dire la même chose de l'Islam, de Judaïsme ou de l'Hindouïsme. Il y a ici plusieurs personnes qui sont catholiques ou protestantes, et que ce genre de propos blesse. Il s'avère qu'il est facile de taper sur les chrétiens, qui doivent tendre l'autre joue, soi-disant, mais beaucoup plus difficile pour les autres. Alors les deux poids et deux mesures, non merci !!! De plus, je te propose de t'expliquer pourquoi les religions ne sont pas considérées comme sectes, et pourquoi tu n'as pas à les mélanger. Ok ?
  6. Est-ce qu'on peut trouver dans ce magasin un vendeur incollable sur le khanar à la karte ?
  7. Pour ce qui est de tes deux amis, je pense en effet que leur vision est beaucoup plus crédible que celle d'une CCI, qui n'y connaissent rien. En fait, les URSSAF et Impôts sont les meilleurs conseils, malgré leur mauvaise réputation de contrôleurs. Pour ce que tu signales, Teddy, n'oublions pas de préciser aussi que certaines cotisations à des caisses spécifiques sont à payer par les entrepreneurs de spectacles, ce qui n'est pas le cas des AE où, tu le rappelle bien, les cotisations sont a-minima. D'où le fait d'aller au CFE le plus proche pour recadrer l'ensemble suivant l'activité. Enfin, notons aussi le fait que de nombreux AE n'ont pas souscrit à une responsabilité civile professionnelle. Si un problème arrive... bonjour les dégâts !!! Il est vrai que normalement, tout le monde devrait avoir une RCP, mais c'est encore plus vrai pour un entrepreneur. Et oui... devenir patron, ça engendre un paquet d'obligations
  8. Non... sauf erreur, le fait de te mettre en auto-entrepreneur est licite. Sauf que ton immatriculation doit, si tu t'es mis en AE pour ton activité artistique, déboucher sur une demande de licence(s), faute de quoi tu te mets en illégalité en exerçant ton activité artistique sans celle-ci. A noter aussi qu'il te faudra, pour avoir cette licence, présenter un certificat d'immatriculation au RCS ou au RM. Il te faudra donc prendre contact avec le CFE local pour régulariser cela, en mettant en avant la circulaire, et les points définissant le statut d'AE et ses obligations. En effet, il est peu probable qu'ils sachent quelle position adopter, et ils te pousseront donc à changer de régime, te passant d'AE à entrepreneur (avec les charges afférentes qui, crois-moi, sont largement supérieures). Maintenant, ça reste mon interprétation, et il est probable que Teddy voit les choses autrement.
  9. Par contre, j'aimerai avoir ici l'avis de ceux qui se battent contre Pascal de Clermont via écran interposé. Car je vois un gros silence de la part de certains. Du même style que lorsqu'on voit un cimetière chrétien profané, on n'en cause pas. Par contre, s'il est d'une autre confession, ca fait la une des médias et tout le monde va battre sa coulpe... Deux poids deux mesures ?
  10. En effet, Lancelot, ceci est aussi mon interprétation, que j'ai développé par ailleurs. L'artiste interprète est présumé salarié dès lors qu'il est rémunéré pour présenter son oeuvre. S'il la présente sans les moyens techniques nécessaires, etc... son statut est celui de salarié. Il dépend de manière technique et sociale de l'employeur, agent ou producteur. Il ne peut en aucun cas être intermittent (et donc salarié) s'il propose le montage technique d'une structure nécessaire à son numéro (considéré prestation de services), ainsi que sa production et sa diffusion, dépendant d'une demande de licence. Son inscription au RCS ou au RM devrait donc dans ce cas être effective, quel que soit le régime fiscal. Ainsi donc, il ne peut être présumé salarié, et entrepreneur à la fois, quel que soit le régime fiscal (AE ou autre). La circulaire ne défend donc pas de se mettre en AE, mais de faire un choix, ce choix étant soumis à des règles très précises. La circulaire éclaircit ces points, sachant que les organismes sociaux ont été saisis du caractère spécifiques des métiers du spectacle, l'immatriculation de l'AE étant faite de manière spécifique, et non par le site concerné pour les autres métiers. Il faudra donc à l'AE de respecter ces règles, sans quoi, effectivement, la requalification en contrat de travail des contrats passés sera effective. PS : cette réflexion vaut aussi pour les artistes non-intermittents mais qui lorsqu'ils exercent, reçoivent une feuille de salaire par le producteur/diffuseur.
  11. Felix qui potuit rerum cognoscere causas ! Et combien de pages pour y arriver, cette fois ?
  12. Bonjour, Dois-je prendre cette réflexion pour moi ? Non, non.... je crois qu'elle m'était adressée ... N'est-ce pas, Swann ?
  13. Ce commentaire était de trop. Ou sinon, je t'invite à dire la même chose d'un rabbin, d'un imam ou d'un bonze.
  14. Je crois surtout que de plus en plus les lieux virtuels magiques sont, plus qu'un espace de travail commun, des places de Grève sur lesquelles sont plantés des piloris permanent, ouverts à toute personne suspecte de démolir l'image magique telle que certains la voient, parfois à juste titre, parfois non, avec à la clé un lynchage obligatoire sur le gibet virtuel, chacun se croyant l'obligation morale d'y rajouter sa pierre lapidaire. Je n'aime pas Pascal de Clermont, que je trouve suffisant et inintéressant, et pourtant votre acharnement me hérisse. S'il y a quelque chose qui le rapproche du milieu magique, c'est au moins cela : il se la joue et se prend pour Dieu le Père. C'est fréquent dans le milieu, non ??? Mais si Pascal de Clermont est pour vous un escroc, il est inutile d'en faire une tartine de 15 pages. On l'aurait compris en moins de cinq ; d'autant qu'à mon sens, les messages étant accessibles au grand public, vous attisez plus la curiosité à son sujet que vous défendez un intérêt commun, du moins à la vue du public. De plus, sauf si avéré, les propos que vous tenez envers cette personne peuvent se montrer diffamatoires, et là encore, ca ne grandit pas la magie !!!
  15. J'ai en effet saisi ta démarche, Franck, et tout comme Lancelot, mon intervention ne vous visait pas en particulier, mais visait l'ensemble des messages qui font 14 pages, comme tous les sujets qui concernent l'intervention d'un magicien "magiquement incorrect". Au bout de 14 pages, j'imagine qu'on a eu la possibilité de crier haro sur le baudet plus d'une fois, et de se défouler un tant soit peu. Je conçois que vous vous sentiez le droit de défendre l'art magique ou la veuve et l'orphelin crédules, mais alors je ne comprends pas du tout, si on est si à cheval sur les bonnes manières du métier, que des magiciens de type "gouroutisant", aient bonne place encore actuellement dans le gotha magique, sans que quiconque (ou presque) ne dise quoi que ce soit. Y aurait-il deux poids et deux mesures, et doit-on faire partie de l'establishment de la magie pour bénéficier d'une clémence ? Mais si vraiment vous souhaitez faire avancer les choses, créez donc un collectif, portez plainte, et tentez de faire tomber le khân gourou ... Quant à acheter son dévédé... c'est comme toutes les nouveautés : y'a que les conso-magiciens pour le faire... Les autres ont assez de culture avec les livres qui existent sur le sujet depuis bien longtemps. Effectivement, moi aussi, ça me fait bien rire. Bref... vous accordez beaucoup d'importance à quelque chose qui n'en vaut pas. Au moins à mon sens...
  16. La communauté magique doit-elle être garante de l'éthique et de la morale dans le monde actuel ? Si oui, j'en suis ravi... La communauté magique ira-t-elle alors s'intéresser à nos politiques, dont les méthodes mis-directrices et manipulatrices ferait pâlir les meilleurs mentalistes et illusionnistes ? Il est d'ailleurs à mon sens douteux de voter pour des personnes dont on sait sciemment la propension à arnaquer la chose publique, loin de toute éthique. Devient-on alors collabo de l'escroquerie publique ? Les magiciens, qui connaissent les ficelles de la manipulation, iront-ils dénoncer cette atteinte immorale aux techniques de notre art ? Et puis, en fin de compte, la communauté magique voue-t-elle aux gémonies TOUS les magiciens suspects de manipulations des personnes ? Je n'en suis pas certain... Mais surtout... Un passage télé (qui plus est raté) mérite-t-il 14 pages de palabres inutiles qui ne feront en rien avancer le schmilblick ?
  17. Dites-moi... je me pose une question : Loin de moi l'idée d'excuser quoi que ce soit à Pascal de Clermont (j'avoue que je m'en fous royalement), mais juste une constatation en passant. C'est marrant comment lorsqu'un magicien reste en travers de la gorge du microcosme magique, on passe son temps sur les registres de la magie virtuelle, à taper dessus avec un malin plaisir... et cela quels que soient les genres ( Christian C helman, Allan Hart, Kamel, et j'en passe). Si encore cet acharnement pouvait accoucher d'une magie anoblie... Car de la critique de "la manière de..." à l'attaque des personnes, ici il n'y a qu'un pas, qui est aisément franchi. A croire qu'à abaisser les autres on tente de se grandir...
  18. C'est marrant, ca... D'un côté, un magicprestige qui signale cette vente. De l'autre, un Prestige Magie, qui vend cette table ... Coïncidence ?
  19. Et comme quoi les médias cathos ne sont pas que ringards
  20. En effet... je te recontacte bientôt, étant un peu débordé ces temps-ci
  21. Et oui, à commencer par Eon de l' Estoile : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89on_de_l%27%C3%89toile http://www.paperblog.fr/1467682/aux-sources-de-la-magie-eon-de-l-etoile/ en passant par Saint Jean Bosco http://eflamm.blog.mongenie.com/index/p/2010/01/909495 Saint Vincent de Paul avait lui aussi appris certains tours, et approché les entresorts de son dernier maître, alors qu'il était esclave. Le Bienheureux Zeferino Namuncurà n'était pas prêtre, mais fut quelqu'un pour qui la magie était un atout : http://eflamm.blog.mongenie.com/index/p/2009/10/871560 Sans compter de nombreux prêtres de paroisses qui se sont ou s'adonnent à la magie : http://www.actu24.be/article/regions/provinceliege/infoslg/soixante_bougies_valent___bien_une_messe_des_artistes/242893.aspx Voilà pour ne citer qu'eux...
  22. C'est souvent le but, mais ca ne le devrait pas. En effet, une conférence est avant tout un partage d'expérience, de maître à élève. On paie l'entrée de la conf' pour avoir le droit d' approcher ledit maître et l'écouter. Mais si on paie l'entrée et qu'en plus on doit acheter tout le matos (Henri Evans est un champion du genre) pour reproduire les tours "enseignés", c'est un peu de l'escroquerie. Cela passe encore lorsque vous avez du bagage et que cela peut vous donner des idées, mais sinon... Ce que j'appelle une conf, c'est ce que fait Gaétan Bloom : un partage de son approche, de ses trouvailles et de ses tours. Tout le monde peut normalement refaire ses routines après une conf et un peu (beaucoup) de boulot. Ce que j'appelle une conf : c'est Christian C helman qui partage à des magiciens triés sur le volet, lors d'une conférence gratuite où il offre les notes de conf (sur Cédérom). Pour ne citer qu'eux... Donc : le but d'une conférence, c'est de vendre ses dernières trouvailles ? Non, sauf si on considère que la magie est devenue une niche mercantile ou l'appât du gain prime sur l'évolution de l'art.
  23. Mais bon... peu de personnes ont rebondi sur les pistes données dans Hauntiques à propos du X-mentalisme. Et pourtant il y a de quoi travailler rien que sur ce passage (en ayant bien entendu le bagage que tu précites).
  24. Zappy, je te suis sur ton argumentaire précédent. Je pense tout de même qu'il serait souhaitable de la part des organisateurs de bien faire la différence entre ce qui peut être une conf ou un dealer show. On en parle ici à l'occasion de la conf de Mayoral, mais c'est une tendance valable pour d'autres. Je suis d'ailleurs curieux de savoir si la conf de Mickael Châtelain, prévue à l'occasion de la St jean Bosco bretonne, sera un dealer show ou une vraie conf. S'il mets l'accent sur la créativité et sa démarche innovatrice, c'est une conf. S'il montre ses routines gimmickées et s'en tient là, ce sera un dealer show... Mais bon... Pour ce qui est de Météor, je ne pense pas que c'aurait été une bonne idée de l'inclure dans une conf. C'est une routine tellement belle que la mettre à disposition de tous serait un tort. Ceux qui veulent la faire rackent un certain prix, et travaillent pour ce rendu.. Il serait fort dommage de voir des magiciens la faire à tous les coins de rue, comme c'est le cas avec la table volante.
  25. Je ne crois pas, non... En tous cas pas pour ma part, et je me permets donc d'avoir le droit de critiquer ces dealer show qui n'en portent pas le nom mais qui le sont. Et les créatifs le savent bien. En montrant leur savoir-faire, ils savent bien que peu se mettront à la tâche, et qu'au final ils vendront le matos au conso-magicien. Alors certes, des gens comme toi, Zappy, verront les choses au-delà, mais quel est le pourcentage de magiciens ayant la même approche ? Maintenant, est-ce les créatifs qu'il faut blâmer, ou plutôt les organisateurs qui proposent ces conférences Tupperware ?
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