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Tout ce qui a été publié par Eflamm CAOUISSIN
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Cf mention ci-dessus, rappelée ci-dessous : Certains verront dans le texte ci-dessous une connotation libérale qui n’est pas la nôtre. Nous préférons y retenir un hymne, dans lequel nous nous reconnaissons totalement, à la méritocratie, et au refus d’un égalitarisme par le bas.
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[Administration] Rapport edifiant des ASSEDIC Pole emploi
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Teddy REX dans Conseil des Sages
Il semble d'après Teddy que mes propos n'étaient pas assez clair. Je me permets donc de repréciser ici que je ne tape pas gratuitement sur les intermittents, et que je ne suis pas jaloux de ce système. Je reproche simplement aux parasites qui se reconnaîtront sûrement, de dévoyer un système qui était très bien à la base, tout comme il existe des parasites dans d'autres secteurs. Les vrais artistes, ceux qui devraient seuls bénéficier de ce système, n'ont pas à se sentir attaqués par mes interventions : ce ne sont pas eux qui cancérisent le système, mais bien les profiteurs, les graines de "stars", les termites scéniques... qui tout comme ils annihilent le système de l'intermittence, détruisent le marché du spectacle, et l'art en tant que tel. Suis-je plus clair ? -
Extrait de Riposte Laïque Comment mieux résumer la dérive de l’Éducation nationale, depuis quarante ans, avec la complicité des Sarkozy-Hollande-Mélenchon-Bayrou, que ce texte, datant de 1931, d’Adrian Rogers, qui résume mieux que de longs discours le nivellement par le bas imposé par les pédagogistes de style Meirieu (aujourd’hui chez les Verts), avec la complicité des différents gouvernements qui se sont succédé. On pourrait aussi évoquer la discrimination positive dans les grandes écoles à la sauce de feu Descoings… Certains verront dans le texte ci-dessous une connotation libérale qui n’est pas la nôtre. Nous préférons y retenir un hymne, dans lequel nous nous reconnaissons totalement, à la méritocratie, et au refus d’un égalitarisme par le bas. Lucette Jeanpierre PETITE LEÇON DE SOCIALISME Un professeur d’économie dans un lycée annonce fièrement qu’il n’a jamais vu un seul de ses élèves échouer, à l’exception d’une année, où ce fut la classe entière qui a connu l’échec. Cette classe était entièrement convaincue que le socialisme était une idéologie qui fonctionnait, et que personne n’était ni pauvre ni riche ! Un système égalitaire parfait. Le professeur dit lors : « OK donc, nous allons mener une expérience du socialisme dans cette classe. A chaque contrôle, on fera la moyenne de toutes les notes et chacun recevra cette note. Ainsi personne ne ratera son contrôle et personne ne caracolera en tête avec de très bonnes notes. » Après le 1er contrôle, on fit la moyenne de la classe et tout le monde obtint un 13/20. Les élèves qui avaient travaillé dur n’étaient pas très heureux au contraire de ceux qui n’avaient rien fait et qui, eux, étaient ravis. A l’approche du 2ème contrôle, les élèves qui avaient peu travaillé en firent encore moins tandis que ceux qui s’étaient donné de la peine pour le 1er test décidèrent de lever le pied et de moins travailler. La moyenne de ce contrôle fut de 9/20 ! Personne n’était satisfait .. Quand arriva le 3ème contrôle, même comportement des élèves, la moyenne tomba à 5/20. Les notes ne remontèrent jamais, alors que fusaient remarques acerbes, accusations et noms d’oiseaux, dans une atmosphère épouvantable, où plus personne ne voulait faire quoi que ce soit si cela devait être au bénéfice de quelqu’un d’autre. A leur grande surprise, tous ratèrent leur examen final. Le professeur leur expliqua alors que le socialisme finit toujours mal car, quand la récompense est importante, l’effort pour l’obtenir est tout aussi important, tandis que, si on confisque les récompenses, plus personne ne cherche ni n’essaie de réussir. Les choses sont aussi simples que çà. Voici un petit extrait de discours qui résume parfaitement les choses. « « Vous ne pouvez pas apporter la prospérité au pauvre en la retirant au riche. « « Tout ce qu’un individu reçoit sans rien faire pour l’obtenir, un autre individu a dû travailler « pour le produire sans en tirer profit. « « Tout Pouvoir ne peut distribuer aux uns que ce qu’il a préalablement confisqué à d’autres. « Quand la moitié d’un peuple croit qu’il ne sert à rien de faire des efforts car l’autre moitié les fera pour elle, et quand cette dernière moitié se dit qu’il ne sert à rien d’en faire car ils bénéficieront à d’autres, cela mes amis, s’appelle le déclin et la fin d’une nation. On n’accroît pas les biens en les divisant. » Dr. Adrian Rogers, 1931
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Mon cher Ksoeze, si tu avais lu l'ENSEMBLE DU SUJET, tu aurais vu que l'idée n'était pas tant de faire la promotion d'un candidat (même si cela a peut-être été le cas) que de faire réagir les magiciens sur leur place dans la société (un peu comme ce qu'évoque Romée dans un sujet du forum général). Car le magicien plus que quiconque doit être capable de décoder les choses, de voir au-delà de ce qu'on lui montre, de dénicher les mis-direction, et d'être en quelque sorte prophète (au sens originel du terme) du bien commun. Jack et moi, même si nous avons des sensibilités politiques différentes, sommes d'accords sur de très nombreux points, des points qui devraient être appréhendés par les magiciens au lieu de se masturber sur le dernier tour de la mort qui tue, à commencer par cela : l'humain doit être remis au centre de la société. Quand aux libertés perdues, outre celles évoquées par Clément et Dub, il y aussi la liberté d'opinion qui est chancelante (sisi... quand on vote une loi Gayssot, on arrive à l'avancée cachée du totalitarisme). La police de la pensée existe bel et bien, ne t'en déplaise. Il y a la liberté démocratique : vous ne votez désormais que pour le folklore, car les vraies décisions ne sont plus prises en France mais dans la République Démocratique Européenne, par des technocrates dépourvus de légitimité populaire. La liberté des peuples à disposer d'eux-mêmes est en train d'être enterrée, sous les hourras des mougeons. La liberté d'entreprendre : le méchant capitaliste (même si ce n'est qu'un simple commerçant) est stigmatisé par le salarié marxisé, à longueur de temps. Il est taxé, rincé, essoré, trituré... comme s'il était le grand patron d'une entreprise du CAC40, alors qu'il produit de la richesse national, pas seulement pour lui. La liberté d'être fier de son pays : qui exprime sa fierté d'être français est taxé de nationalisme. N'importe quoi ! Qui n'a plus ses racines est voué à flétrir, comme les plantes. La liberté d'embaucher qui on veut. Navré mais pour ma part, à compétence égale, je préférerais embaucher quelqu'un de ma famille, qu'un américain, et je refuse que la loi m'oblige au contraire. Et vous ? La liberté d'avoir de nombreux enfants (Hollande veut taxer toute famille à partir du 3ème enfant, supprimer le quotient familial... ) alors que ce sont l'avenir de la nation. La liberté de promouvoir la famille stable, la base de toute société bien portante. Si tu es pour cela, tu es désormais considéré comme réactionnaire, contre la société moderne... La liberté de donner la vie : on ne te donne plus le choix de donner la vie lorsqu'elle arrive, car on t'oriente vers un seul choix : tuer, au lieu de la laisser éventuellement à quelqu'un qui aurait pu l'accueillir. Dans une société qui tue les éléments fondamentaux de son avenir (l'humain), peut-on encore considérer que cette société a encore de l'avenir ? Et j'en passe... En fait, chacun pense surtout à sa gueule (son petit portefeuille, sa petite vie... ) certes à juste titre, mais sans tenir compte du bien commun. Les réclamations vont bon train mais si vous regardez bien, elles concernent quasiment toutes des demandes personnelles. Or, les libertés individuelles ne doivent se concevoir que dans un espace de bien commun. Si tel n'est pas le cas, il est probable que cela pose nuisance. Si chacun commençait à penser bien commun avant individualité, alors ce serait formidable... et je pense que la société humaine y gagnerait. Il est vrai, comme disait Winfried, qu'il y a pire ailleurs, mais pour ma part, je ne conçois pas qu'on prive peu à peu le peuple anesthésié de ses libertés fondamentales. Si mes analyses politiques ne plaisent pas, tant pis, mais au moins ce sont des analyses de fond, et je les partage. Jack en a fait de même de son côté (ce qui prouve que même sans avoir la même sensibilité politique on peut s'entendre) pour tenter d'éclairer avec ses éléments de réflexion. Libre à chacun d'en faire ce qu'il veut ensuite.
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Ben ouai, c'est tout le problème des guerres, c'est même pour ca que c'est pas bien. On se choisit un ennemi, mais après, faut assumer. Vu que toi et Jack êtes radicalement opposé, y'en a au moins un des 2 qui finira ennemi de l'autre. C'est pas vivre ensemble ca. J’avais bien dit que je ne rajouterai aucun commentaire, mais le doux plaisir d’une dernière petite claque m’est tellement jouissive … Je pense que Tanhouarn ne m’en voudra pas trop à dévoiler ici notre MP échangé le matin du 18 mars … ce d'autant, j'en suis certain, qu'il va partager ce plaisir ... ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Cher Tanhouarn Me croirais-tu idiot LOL Je t'aime.., t'apprécie et je te connais bien au-delà de ce que tu peux imaginer, y compris tes petits défauts sur lesquels on peut jouer puisqu'ils sont la valeur noble de tes engagements. Et toi ? Me connaîtrais-tu aussi peu pour imaginer que je ne sache point utiliser tout les ressorts machiavéliques que la magie nous enseigne. J’attendais ta réaction avec la délectation du magicien dont le gimick est placé et dont il sait que l'effet est certain. Le bruit et la fureur sont magiques ! Ils font du bruit, du buzz sur un sujet qui doit réveiller tout ces endormis de VM. Les forcer à se faire une opinion, provoquer une réaction, quelle qu’elle puisse être.. Une sorte d'éducation politique... HUMAINE pour les amener à réfléchir par eux-mêmes. Je compte sur toi pour ramener le sujet au fur et à mesure ! Je te souhaite un très bon dimanche, moi je vais battre le pavé pour ma foi, un programme qui parle au cœur puisqu'il est l'humain d'abord. Et, je sais que par ailleurs et sous d'autres formes tu en fais autant. Mille amitiés Jack ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Des points de concordance ? Tu vois, tu as encore beaucoup à apprendre sur l'humain et sa ..magie La boucle est bouclée ... C'est clôt définitivement pour moi, ici sur ce sujet ! JaB ~~~~~~~~~~ Le monde n'est pas ce que vous croyez, voyez, sentez, touchez, entendez .. ! L'illusion est parfaite ! Réveillez-vous,.. éveillez votre entourage... RêveSolutions.. ! http://expositions.bnf.fr/utopie/index.htm Si l’utopie traduisait l’impossible, la vie, l'humain n'existeraient pas.
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Je suis tout autant d'accord avec ce que tu dis !
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est-ce de l'ironie? Pas du tout... j'applaudissais un commentaire avec lequel j'étais on ne peut plus d'accord, c'est tout.
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[Réflexion] De la magie à la prestidigitation
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Romée DELABIGNE dans Forum Général
Et on dit quoi ??? Merci Tanhouarn d'avoir rappelé cet appel de sens Et moi aussi, ton travail m'intéresse, Romée, pour peu que tu élargisses tes lectures pour un travail réellement objectif (je me répète, mais j'aime ça... ) -
la privation de liberté prend-elle nécessairement la forme d'une chaîne? n'existe-t-il pas de moyens plus pervers, plus discrets, mais plus efficace de priver quelqu'un de sa liberté?
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Hé bien... Récupérer sa liberté ??? Encore faut-il l'avoir perdue... Je me sens libre de mes mouvements, libre d'aller où je veux quand je le souhaite. Franchement.. on ne parle pas de la même chose, je pense. Si tu as la liberté de circuler, il y a par contre de nombreuses entraves à la liberté qui existent, et de plus en plus. Humanité ? Je n'ai pas l'impression de l'avoir perdue non plus. Je ne suis pas du genre à marcher sur la gu**le de mon voisin pour réussir, ni à flinguer son chien par qu'il me chie dans le jardin. Effectivement, c'est dans la logique du point 1. Maintenant, en dehors de la considération individuelle, il serait intéressant de développer la sociétale... Je suis peut-être simplement heureux en dehors de toute considération politique. Mais cela ne veut pas dire que j'ai n'ai pas la conscience politique développée. Être heureux, c'est une philosophie. Ne serait-ce que ça, est une attitude politique. Tout à fait d'accord, mais encore faudrait-il que les politiques eux-mêmes le pensent, tant au niveau individuel qu'au niveau de la communauté humaine. Peut-être que vous ne vous croyez pas libres ni humains parce que vous ne savez pas être heureux (et j'ai des exemples de gens comme vous à la pelle). En effet, mais imaginons que l'on soit heureux, et que pourtant on sait que l'on pourrait l'être bien plus, ou encore que l'on pourrait rendre heureux certains qui ne le sont pas, mais que l'on t'en empêche ... Et bien cela est un point noir dans ton environnement heureux. Tu ne peux donc être pleinement heureux si le sort de ton prochain t'importe. Et tant que des entraves se posent, il y a atteinte à cette liberté d'être heureux et d'assumer pleinement son humanité. Ou peut-être pas... Idem
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Peut-être qu'on dirige une nation en faisant fi des clivages (donc pas d'opposition) Peut-être qu'au contraire asséner des vérités sur les forums aux mougeons est plus constructif que tu ne le croies, qui plus est si ces vérités leurs sont cachées. Peut-être que vivre ensemble, c'est aussi désigner l'ennemi qui nous en empêche pour que tous ensemble on puisse lui faire la peau. Encore faut-il ne pas se tromper d'ennemi. Peut-être que ce ne sont pas vraiment les premières préoccupations des électeurs du FN et du FDG Peut-être qu'affirmer ses convictions permet au contraire de savoir où l'on va, pour peu que l'on soit ouvert à l'opinion de l'autre sans le traiter de fasciste ou de stalinien, de théoricien du complot ou de populiste, ... Peut-être que vivre ensemble, c'est non pas passer son temps à faire des concessions mais affirmer pleinement ce qui est bien pour l'homme, sans idéologie, et mettre cela en application dans la société. Ou peut-être pas. Mais en tous les cas, tant que le Français ne prendra pas conscience de la chose politique et de ce qui se trame dans son dos, il n'a aucune chance de récupérer sa liberté... et donc son humanité... Mais bon... ce que j'en dis...
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Tout à fait d'accord avec toi !
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Mais justement, Jack... JLM ne se crédibiliserait-il pas plus en se gardant, et en poussant ses militants à faire de même ? Imaginons que ses presque 4 millions de voies s'abstiennent. Ca poserait de réelles questions quand à la crédibilité du gouvernement en place, non ? Et ca le pousserait ensuite... Car comment peut-on par son vote cautionner une politique à laquelle on n'adhère pas ? Je parle ici du FDG, mais je le pense tout autant du Centre ou du FN.
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C'est bien ce que Marine Le Pen disait : c'est la voiture balai de Hollande... Comment peut-on cracher sur un candidat (vu ce qu'il a dit sur Hollande) et ensuite appeler à voter pour lui, fut-ce par des gymnastiques linguistiques visant à dire "on ne vote pas pour un candidat mais contre l'autre". Il faut une certaine cohérence dans la pensée politique, et pour ma part je ne conçois pas que l'on puisse brader ses convictions, et se transformer ainsi en républicaine. Il est trop facile de dire "Sarkozy Hollande, c'est bonnet blanc et blanc bonnet"... C'est mon avis, et je le partage.. L'affirmation des convictions ne doit pas se faire par des compromissions, mais par une clarté sans faille dans nos propres choix, des choix qui doivent être nôtres, en conscience.
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Info intéressante pour tous. Si quelqu’un croit qu’il n’y a pas de censure actuellement, qu’il nous dise pourquoi on a tout su au sujet de ce qui se passe en Egypte, en Syrie ou en Libye, et pourquoi les journaux n’ont absolument rien dit sur ce qui se passe en Islande ? Et ne vous leurrez pas... que ce soit d'un bord ou de l'autre, ce sera du pareil au même. En Islande, - le peuple a fait démissionner un gouvernement au complet, - les principales banques ont été nationalisées et il a été décidé de ne pas payer la dette contractée par ces dernières auprès de banques de Grande Bretagne et de Hollande, dette générée par leur mauvaise politique financière ; - une assemblée populaire vient d’être créée pour réécrire la Constitution. Et tout cela, pacifiquement. Toute une révolution contre le pouvoir qui a conduit à cette crise. Voilà pourquoi rien n’a été publié pendant deux ans. Que se passerait-il si les citoyens européens en prenaient exemple ? Brièvement, voici l’histoire des faits : - 2008 : La principale banque du pays est nationalisée. La monnaie s’effondre, la bourse suspend son activité. Le pays est en banqueroute. - 2009 : Les protestations citoyennes contre le Parlement font que des élections anticipées sont convoquées. Elles provoquent la démission du Premier Ministre et, en bloc, de tout le gouvernement. La situation économique désastreuse du pays persiste. Par le biais d’une loi, il est proposé à la Grande Bretagne et à la Hollande le remboursement de la dette par le paiement de 3.500 millions d’euros, montant que paieront mensuellement toutes les familles islandaises pendant les 15 prochaines années à un taux d’intérêt de 5%. - 2010 : le peuple descend à nouveau dans la rue et demande que la loi soit soumise à référendum. En janvier 2010, le Président refuse de ratifier cette loi et annonce qu’il y aura une consultation populaire. En mars, le référendum a lieu et le NON au paiement de la dette remporte 93% des voix. Pendant ce temps, le gouvernement a entamé une investigation pour régler juridiquement les responsabilités de la crise. Les détentions de plusieurs banquiers et cadres supérieurs commencent. Interpol lance une enquête et tous les banquiers impliqués quittent le pays. Dans ce contexte de crise, une assemblée est élue pour rédiger une nouvelle Constitution qui reprend les leçons apprises de la crise et qui se substitue à l’actuelle qui est une copie de la constitution danoise. Pour ce faire, on a recours directement au peuple souverain. On élit 25 citoyens sans filiation politique parmi les 522 qui se sont présentés aux candidatures. Pour cela, il faut être majeur et recueillir le soutien de 30 personnes. - L’assemblée constituante commence ses travaux en février 2011 afin de présenter, en partant des avis collectés dans les diverses assemblées qui ont eu lieu dans tout le pays, un projet de Grande Charte. Elle doit être approuvée par l’actuel parlement ainsi que par celui qui sera constitué après les prochaines élections législatives. Voici, en bref, l’histoire de la Révolution Islandaise : - Démission en bloc de tout un gouvernement - Nationalisation de la banque - Référendum pour que le peuple puisse se prononcer sur les décisions économiques fondamentales - Emprisonnement des responsables de la crise - Réécriture de la constitution par les citoyens Nous a-t-on parlé de cela dans les médias européens ? En a-t-on parlé dans les débats politiques radiophoniques ? A-t-on vu des images de ces faits à la TV ? Bien sûr que non ! Le peuple islandais a su donner une leçon à toute l’Europe en affrontant le système et en donnant une leçon de démocratie au reste du monde. Source : liste partidegauche 84 – Par Forum Civique Européen
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[Administration] Et les magiciens, ils votent pour quel président?
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Jean-Yves LOES dans Chemins de Traverse
[img:center]http://www.chine-informations.com/forum/images/cache/26745_02350.jpg[/img] -
[Administration] Et les magiciens, ils votent pour quel président?
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Jean-Yves LOES dans Chemins de Traverse
Ai-je dis ca à un moment ou à un autre ? Je ne le crois pas... Toujours est-il que vu la tournure du 1er tour, il est permis de penser que peu de gens ont conscience de ce qui se trame plus haut. -
[Administration] Et les magiciens, ils votent pour quel président?
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Jean-Yves LOES dans Chemins de Traverse
Personne n'a gagné. Le peuple est une marionnette de ventriloquie, qui se fait fourrer comme il faut (à sec), et ne dit que ce qu'on lui dit de dire...Manipulé à merveille, il fait la joie du public des hautes sphères, qui va continuer de l'utiliser de manière efficace. Le pire, c'est que le peuple en redemande. A croire qu'il y prend plaisir. En bref, c'est le dictionnaire de la mythologie qui a réellement gagné... une créature ubuesque : Le Vulguspecum, animal mythologique hors pair, 25% autruche, 25 % âne, 25 % mouton, et 25 % coq (l'animal qui chante les pieds dans la merde). Il n'y a plus d'humain, puisque le propre de l'humain est, outre son intelligence, sa liberté. Et après ca vient pleurer que tout va mal : 30 ans que vous votez pour les mêmes qui, quels qu'ils soient, vous prennent pour des benêts tout en vous confisquant peu à peu la liberté si chèrement acquise, et vous applaudissez des deux mains. Vous dites que notre société a évoluez, et tout comme durant l'Empire Romain décadent, du pain et des jeux vous achètent une paix sociale dérisoire qui vous place hors du jeu politique. "La politique ne consiste pas à faire taire les problèmes, mais à faire taire ceux qui les posent." (Henri Queuille) "Les promesses n'engagent que ceux qui les croient" "Donnez leur du pain et des jeux" (Juvénal) "Ne vous en faites pas... On pense pour vous... " [img:center]http://static.mediapart.fr/files/imagecache/225_pixels/media_194903/mougeon.jpg[/img] -
[Administration] Rapport edifiant des ASSEDIC Pole emploi
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Teddy REX dans Conseil des Sages
Et pour le petit commerçant à son compte, le côté psychologique d'assumer des périodes où devant soi on n'a rien (ajouté au phénomène ne DEVOIR trouver) ne s'applique-t-il pas ? Lui aussi est dans une démarche PERMANENTE de travail, ce que certains ne comprennent pas. Eux aussi COTISENT donc ce n'est pas du "sens unique" par rapport à ce que l'on peut lire ici où là. Lui, il n'a pas de prime journalière, mais c'est le méchant capitaliste quand même... -
Quel ramassis de bêtise on a la joie d'entendre sur l'ensemble des chaînes, ce soir...
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[Réflexion] De la magie à la prestidigitation
Eflamm CAOUISSIN a répondu à un sujet de Romée DELABIGNE dans Forum Général
Je te réponds rapidement parce que je suis crevé, mais en vrac... Franchement, Romée... si tu pouvais éviter certaines certitudes, je pense que tu te rendrais service. Exemple dans ce que tu dis ici : Tu ferais bien de te pencher sur le fait religieux avant d'aller plus loin (je pense en te lisant que tu ne connais pas grand chose à cela) : affirmer qu'il y avait d'avantage de magie cérémonielle que de religion, c'est déjà méconnaitre le fond religieux (quel qu'il soit), méconnaître le fond magie, et enfin méconnaître l'histoire du peuple Egyptien, de son polythéisme à sa tentative de monothéisme, et de l'apport de certains peuples (par exemple d'Israël puisque tu l'évoques ici). La magie avait son rôle, de même que l'illusionnisme (je sépare ici volontairement les deux termes), mais pas de la manière dont tu sembles le penser. Autre chose : si tu te penches sur les études sur l'Inquisition, il serait souhaitable que tu lises aussi celles qui sont objectives. Cela te permettra de te faire une opinion objective sur la relation religion / magie. Enfin, Frazer est bien gentil, mais il raconte pas mal d'âneries, tout en diffusant ses idées "initiées". Enfin, il faudrait peut-être penser à d'autres racines que la religion quant au déclin de l'influence magique, même si la religion a effectivement eu son rôle. Le sécularisme et les avancées de la sciences réunis, pour ne citer que ces deux facteurs, ont déjà une importance dans ce constat. De plus, le matérialisme, les courants de pensées philosophiques... ont eux aussi joué des rôles là-dedans, et bien plus que la religion. Si tu veux toucher la thèse sociologique, tu aurais tout intérêt à revoir tes avis, ou au moins à les compléter de lectures objectives, ou à multiplier tes sources d'information. De plus, je pense que les magiciens y sont aussi pour beaucoup. Je crois donc que tu devrais te pencher sur ce qu'en dit Jack Barlett, présent sur ce forum. Et pour terminer ce post -
La crise est derrière nous, qu'ils nous disaient... "L’Italie commence à dévisser. Le jeudi 12 avril, l’Italie a émis pour 2,88 milliards d’euros d’obligations à trois ans : son taux d’emprunt est passé de 2,76 % à 3,89 %, soit une hausse de 41%, et ce, pour seulement 2,88 milliards d’euros. Il n’échappera pas aux observateurs avisés que “la BCE a prêté aux banques italiennes pour la même durée 1 %. Si elles utilisaient ces fonds pour assister l’Italie plutôt que pour restructurer leur bilan, elles auraient une superbe marge de 289 % pendant trois ans”. L’effet des premiers mois de Mario Monti s’estompe et le Tesoro italien continue de prétendre qu’il n’y a pas de problème de financement. Cette politique de l’autruche ressemble tellement à celle de la Grèce que l’on frémit. Il faut signaler que Mario Monti cumule les fonctions de Premier ministre et de ministre des Finances. Comme si nous avions besoin de problèmes supplémentaires, l’effet des pertes sur emprunts grecs dans les résultats et les bilans des banques chypriotes grecques commence à sérieusement inquiéter les investisseurs. Or leur endettement frôle les 100 milliards d’euros. La nervosité des investisseurs s’explique en effet face à l’incertitude sur l’impact de ces mesures sur les résultats des banques. (Source: Démystifier la Finance)" Je rappelle que Mario Monti est un ancien de Goldman Sachs...
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Trouvé sur http://www.contrepoints.org, cet article dont voici l'intro et la conclusion Alors qu’il est on ne peut plus clair pour tout le monde que l’Europe n’est pas sortie de la crise, certains pensent qu’il suffit de passer par une période « d’austérité » et d’appliquer un certain nombre de « recettes », fussent-elles au goût amer, pour que les choses rentrent dans l’ordre et que tout redevienne comme avant. Cette perspective ne trahit qu’un optimisme irrationnel. Rien ne sera plus comme avant. De simples ajustements ne suffiront jamais à sauver le modèle socio-démocrate européen: il est mort. La dure réalité nous forcera à changer, à court terme et à travers une période dont la Grèce essuie à peine les plâtres [...] Loin de moi l’idée de présenter l’Europe du début du vingtième siècle comme un paradis perdu, mais si on se donne la peine de faire abstraction du contexte technologique de l’époque, il faut bien reconnaître que la société fonctionnait, sans que les villes ne soient dévastées par les chefs de guerre ou en proie à l’anarchie. On pouvait circuler librement. Il existait des banques, des centres de recherche, des orphelinats, des hôpitaux, des universités, de la culture, des flux de marchandises, des entrepreneurs inventifs. Il existait des oeuvres sociales pour prendre en charge les plus pauvres et les plus faibles (dont l’Etat s’occupe si bien aujourd’hui.) La question n’est pas d’établir les avantages de tel modèle de société comparativement au nôtre. Ce débat n’a plus d’intérêt: celui dans lequel nous vivons n’est pas soutenable et touche gentiment à sa fin. D’une façon ou d’une autre, il nous faudra réinventer une société équilibrée capable de fonctionner sans léguer une dette incommensurable à ses descendants. Non que cela soit moralement souhaitable (c’est évidemment le cas) mais simplement parce que, en pratique, ce ne sera pluspossible. Personne n’acceptera plus de prêter des milliards à des régimes politiques réglant leurs emprunts avec de la cavalerie. La société de demain – voire d’après-demain, car les lendemains promettent d’être troubles – devra nécessairement être une société avec peu de dettes, ce qui implique que les services rendus soient financièrement durables. Les générations qui nous succèderont n’accepteront pas de se laisser enfermer à nouveau dans des modèles financiers intenables qui les amèneront à la ruine à terme, comme nous l’enseigne ce début de XXIe siècle. C’est toute l’intelligence que je leur souhaite. Et de cette évidence découle l’inévitable jugement sur les élites actuelles: elles sont complètement dépassées par la tournure des événements. Le changement de paradigme excède leur entendement. Incapables de saisir les enjeux, elles restent aggripées à leurs raisonnements traditionnels, fussent-ils désuets. Le bateau prend de la gîte et leur seule suggestion est de rajouter des cales sous les sièges pour retrouver un semblant d’assise… Comme en témoignent les « solutions » avancées par Joseph Stiglitz un peu plus haut. Déconstruire l’Etat-providence représente un chantier colossal: la société civile devra assurer de nouveau les services dont l’Etat s’est arrogé le monopole depuis si longtemps. Ces nouveaux services devront être financièrement viables, ce qui implique l’abandon de la collectivisation des coûts et de leur report sur les générations futures. Beaucoup de citoyens déboussolés rejetteront ce changement. Ils préfèreront choisir l’aventure des marchands de promesses plutôt que d’assumer une remise en question du mode de financement des services dont ils profitent. Leur appréhension sera canalisée par une classe politique au cynisme sans limite, prête à les bercer de toutes les illusions pour accéder au pouvoir. Voilà pourquoi la gigantesque remise à plat qui s’annonce sera douloureuse – extrêmement douloureuse. Nous sommes englués dans la croyance que sans l’Etat, il n’y aurait pas ceci ou cela: cette pensée nous terrifie, aussi erronée soit-elle. Alors qu’une attitude adulte et constructive consisterait à préparer aujourd’hui la transition pour qu’elle ait lieu en bon ordre, les politiciens préfèrent abreuver la foule de harangues populistes, de rétablissement sans effort, de retour au calme et à la vie paisible par la magie de mesures cosmétiques. Autrement dit, nous ne reprendront contact avec la réalité que lorsque celle-ci nous frappera de plein fouet. Le choc sera violent. La démocratie y survivra-t-elle?
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Ah mais je ne dis pas le contraire. Je l'ai juste mis là parce qu'il est symptomatique d'une situation donnée, que tu résumes fort bien. Qu'on soit d'accord ou pas sur ce qu'il dit, et bien je pense qu'il est intéressant de lire, tout comme les infos sur Mélanchon, Sarko, Le Pen, Hollande, etc... et bien d'autres infos
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