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Dominique BODIN

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  • Date de naissance 11/30/1999

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  1. Bonjour, Absurde & auto-dérision, tenir une salle du Magic Castle avec si peu (un clin d’œil ici ou là à Ricky JAY et son melon) mais un sens de la pause et du rythme très sûr : Mot clé : Jonglerie
  2. Bonjour, Ai répertorié ici des vidéos montrant en action trois des pièces qui sont actuellement prêtées par Georges PROUST au Musée National de la Carte à Jouer : 1) La femme Zig-Zag, ici dans sa présentation originale par son créateur Robert Harbin : 2) L'illusion d'optique des écrous de Jerry ANDRUS : 3) Et enfin l'illusion des deux tonneaux dont Paul DANIELS donnait ici une présentation à la manière début XXe :
  3. Bonjour, La presse généraliste aborde ce sujet : https://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/mon-mari-ma-dit-cest-la-magie-ou-moi-ces-magiciennes-qui-semancipent-et-reinventent-lart-de-la-magie-2171251
  4. Bonjour, Vu "Look Closer" également hier soir. Je n'avais jamais été frappé jusque là par la probable influence de Doug HENNING (cité dans le spectacle) sur Joshua JAY : quelque chose d'une candeur bienveillante, d'une sincérité malicieuse, d'un enthousiasme contagieux. Toutefois s'il y a une communauté de ton, les deux diffèrent sensiblement par l'implication personnelle et biographique qu'instille J.JAY dans ses scripts - là où D.HENNING incarnait un pur personnage, sorte de lutin, enfantin et hippie . On ne peut que saluer le mérite de J. JAY d'assurer le spectacle en anglais devant un parterre français : heureusement Joshua JAY a des notions de français, lesquelles lui ont permis d'ailleurs hier d'éviter habilement quelques écueils d'incompréhension chez les spectateurs invités à participer. Un bémol dans l'usage de la vidéo portée ceci dit : celle-ci aurait gagné (à mon sens) à être plutôt au milieu des travées pour toujours faire face à J. JAY en le filmant en plan "américain" disons, plutôt que de dos et en plan (trop) large (bien trop large même, et sous un angle défavorable disons - au risque de possiblement "trahir" certaines méthodes). Plus que la construction des tours eux-mêmes ici (celle du second tour, le tee-shirt, étant sans doute la plus intéressante à étudier) , c'est la mise en espace, les circulations du magicien, la gestion des accessoires qui, pour ma part toujours, m'ont poussé à la réflexion. Grand merci à @Thierry COLLET et son équipe pour l'organisation de ces Magic Wip : j'avais assisté à une soirée "homérique" de "L'Enfumeur" l'an passé, laquelle est restée un super souvenir grâce à la réactivité et la gentillesse, et de l'équipe d'organisation, et de @Luc APERS lui-même, professionnel jusqu'au bout, faisant preuve d'un flegme et d'une amabilité sans faille. Hâte donc de retrouver cette fois Laura LONDON le 7 Mars prochain au Magic Wip, puisqu'elle serait semble-t-il portée disparue...
  5. Bonjour, Un bref documentaire sur Fay PRESTO : J'en profite pour reposter ici deux autres entretiens déjà partagés il y a quelques années : Bonne journée, Dominique
  6. Bonsoir, Le mathématicien et magicien Persi DIACONIS sur comment mélanger un paquet de cartes : Et une conférence plus en longueur :
  7. "People should get up everyday and try to make somebody laugh for no reason." Cliff Gustafson Un petit court métrage amateur, comme en raffolent les américains pour célébrer un membre de la communauté, "I’m Here on Wednesdays" en mémoire du magicien Cliff Gustafson (décédé en 2016). Quelque chose de tout simple, prosaïque (?), le vieux magicien de Seatlle sanglé dans son smoking tiré à quatre épingles, souliers impeccablement cirés, s'en va de bars en bars, dans des conditions souvent pas idéales (pour dire le moins), parce qu'il faut bien vivre, à courir le pourboire, mais pas seulement, parce que donner un instant de rires aux autres c'est son job. Et en quelques plans de coupe bien sentis au domicile du couple Gustafson c'est toute une vie qui défile comme un intérieur à la Simenon. Pas un prodige technique sans doute, pas un comédien de première force non plus, mais une manière de générosité jusqu'à rendre "magiques" les dernières nuit sur Terre de proches malades https://robhanna.com/portfolio_page/im-here-on-wednesdays/
  8. "Les magiciens ne protègent par leurs secrets du public, ils protègent le public de leurs secrets." Jim STEINMEYER Alors qu'une production très "francisée" de la franchise "The Illusionists" arrive en février et mars à Paris aux Folies Bergères, voici un reportage d'une vingtaine de minutes (en anglais), très soigné, qui donne la parole à Mark KALIN (du duo Kalin et Jinger) directeur artistique de la (d'une des) version(s) américaine(s) de "The Illusionists", "Turn of the Century" . On y voit quelques documents d'archives amusants, mais aussi, et surtout, le très prolifique créateur et historien Jim STEINMEYER interviewé dans son studio de travail :
  9. Bonjour, À voir pour les fêtes en famille sur Culturebox jusqu'au 05 janvier le très joli spectacle de nouvelle magie pour enfants (?) "Déluge" de la compagnie "Sans gravité" où un cousin de Jacques TATI, mi clown, mi savant de fantaisie, fuit les réalités du monde grâce à ses folles inventions à la Rube Goldberg (on pourra aussi aller musarder du côté du film expérimental "culte" "Der Lauf der Dinge (extrait)" ou des objets introuvables de Jacques Carleman ) Qui dit magie nouvelle, dit qu'ici la narration prime, l'effet magique (1) rejoint le trucage théâtral pour se mettre au service de celle-ci, nous sommes tacitement invités à abandonner toute recherche du comment pour chérir la seule l'émotion ressentie (rire, étonnement, surprise...) : https://www.france.tv/spectacles-et-culture/theatre-et-danse/4382197-deluge.html Dominique (1) Le final où notre attachant héros en vient violemment aux prises avec un poste radio récalcitrant est même totalement dénué d'effet magique, mais conclut logiquement la narration.
  10. Bonjour, Pour le plaisir de revoir Ricky JAY et Juan TAMARIZ à l’œuvre avec deux variations sur un même thème : une spectatrice va jouer sa bonne fortune selon que des cartes aléatoirement tirées du jeu sont rouges ou noires. Dans le cas de Ricky JAY on voit comment un effet plutôt banal et dénué intrinsèquement de sens est placé dans un contexte correspondant idéalement à son personnage : celui du jeu de cartes et d'argent, discipline où le personnage de Ricky JAY est connu du public pour être un habile falsificateur (et le script a bien le soin de le rappeler dès l'entame de la routine - remarque au passage : c'est aussi là une motivation habile au tirage des cartes trois par trois, ou quand une marque d’honnêteté supposée n'en camoufle que mieux la méthode). La routine en deux phases (la 1re sur une idée de Dai VERNON enchaînée sur le classique OTW de CURRY, mais ici pour une fois bien contextualisé) construit une sorte de crescendo de l'excès : c'est par ce que la déveine de la spectatrice est à ce point systématique, que se construisent, et l'humour de la saynète, et l'habilité sous-jacente de Ricky JAY aux cartes. Là où un esprit de mentaliste aurait essaimé sans doute une ou deux réussites par-ci, par-là, question d'accroitre la crédibilité de l'aléa l'ensemble, c’est bien au contraire cet excès dans l'échec qui ici fait que le public à la fois : 1) infère que Ricky JAY "a bien dû faire quelque chose" ; sans mention explicite dans le script d'une quelconque tricherie de sa part, sans démonstration aucune d'habilité, ni fioriture quelconque surtout : voire même comment le magicien guide la spectatrice dans son mélange "basique" des cartes ; et le ton suave, et la rythmique impeccable de la présentation, catalysent encore plus ce sentiment du public que ce diable de Ricky JAY est définitivement expert en subterfuges et artifices. 2) éprouve de l'empathie pour l’infortunée spectatrice à la malchance décidément suspecte (d'autant que Ricky JAY a bien soin que de l’argent soit explicitement, visuellement, en jeu ce qui amplifie encore l'effet d'identification du public à la spectatrice, victime bien innocente d'un charmant tricheur). Parvenir à ce maximum de divertissement avec une présentation toute entière bâtie sur un bras de fer autour d'un jeu, avec qui-plus-est le parti-pris d'une défaite totale de la spectatrice n'est vraiment pas donné à tout le monde ! *** Amusant donc de comparer avec le même effet -sinon la même méthode- présenté cette fois par Juan TAMARIZ : mais ici voir comment tout au contraire le magicien est embarrassé, tout en empathie et compatissant avec là encore une infortune totale de sa spectatrice. Infortune dont le magicien dans la narration n'est cette fois nullement suspecté d'être responsable (bien entendu le public perçoit certainement que dans l'écriture cette malchance par trop systématique répond à une nécessité préméditée du récit qui se joue devant lui, mais le personnage de J.TAMARIZ est bien innocent dans ce récit). On ne peut qu’admirer toutes les petites touches de présentation qu'emploie J.TAMARIZ pour construire simultanément son personnage et aussi un crescendo dans la routine (et ce malgré la stricte répétition de l'effet : la spectatrice n’obtient que des cartes noires). Comme précédemment avec Ricky JAY, c'est à la fois la parfaite mise en adéquation au personnage du magicien de la routine (à l'effet intrinsèquement assez peu épatant), combinée à cet effet délibéré d'excès, qui en élèvent la qualité de divertissement. Et là où tant réduisent un effet de transformation de carte à un effet purement visuel/flash, pure fioriture dénuée de sens, voir ici comment l’ultime transformation est le parfait climax du récit : le magicien par son pouvoir apportant la bonne fortune à sa très malchanceuse spectatrice. Finalement on a là deux expressions totalement différentes autour d'un même effet, mais qui ont en commun d’être jouées par deux maîtres de la présentation d'un effet magique. Bonne journée, Dominique
  11. Dominique BODIN

    Fay PRESTO

    Bonjour, Figure emblématique de la magie outre manche, Fay PRESTO livre ici diverses réflexions tout à fait à son image : solides et pragmatiques: Bonne journée, Dominique
  12. Bonjour Un long portrait de Derek DelGaudio paru il y a tout juste un an dans le New-York Times (et qui n'a pas été répertorié ici sauf erreur de ma part): https://www.nytimes.com/2017/03/15/magazine/derek-delgaudio-the-magician-who-wants-to-break-magic.html Cordialement, Dominique
  13. Bonjour, Une critique assassine du show en question: https://www.lesinrocks.com/2018/03/09/medias/tele/qui-est-derren-brown-lhomme-derriere-push-la-tele-realite-derangeante-de-netflix-111056428/ Même s'il est assez clair que le journaliste n'a pas vraiment creusé au-delà des shows "polémiques" de D.BROWN, et qu'il méconnait clairement la perception du personnage par son public anglo-saxons d'origine, certaines questions méritent toutefois d'être posées. Cordialement, Dominique
  14. Bonjour, A noter qu'il s'agit là d'un tour créé et publié par l'inclassable Robert E. NEALE.
  15. Bonjour, Une bien divertissante illustration du débat qui précède : [video:youtube]
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