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Melvin (Jean-Claude)

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Tout ce qui a été publié par Melvin (Jean-Claude)

  1. J'ai écourté l'article effectivement. Ce que tu cites est une ânerie de plus de la navigatrice. Le phénomène d'érosion est un phénomène géologique permanent et n'a rien à voir avec le réchauffement. Une tempête n'a rien d'exceptionnel dans ces milieux hostiles. Elle croyait vraiment que le voyage serait libre de glace. Croire que parce qu'une année la météo a été clémente, les années suivantes le seront aussi, c'est vraiment avoir une méconnaissance totale des surprises que nous réservent la météo. Bref, voilà plusieurs navires qui ont dû rebrousser chemin récemment en Arctique.
  2. Ils avaient embarqué les caméras de tournage ! Tout était prévu et organisé pour nous faire un film... Tout ce tapage médiatique autour de son séjour + un film + des énormes décos à la gare Montparnasse... pffff... on est une peu loin de la science, d'ailleurs au final, je ne sais pas trop ce qu'il a glandé là-haut le Thomas à part jouer du saxo.
  3. Encore une qui croyait à la fonte inexorable de l'arctique : https://kairn.com/de-retour-en-bretagne-anne-quemere-revient-sur-son-aventure-arctique/ "De retour en Bretagne, Anne Quemere revient sur son aventure arctique" “Pour mon départ, j’avais rêvé de jolies conditions météo, mais il faut savoir parfois se contenter de ce que la nature nous offre, et je suis donc partie sous une petite pluie fine, un ciel couvert et une température de 5 degrés” se remémore Anne Quéméré. Bateau pris dans les glaces Le lundi 16 juillet, après avoir longé la péninsule de Tuktoyaktuk et alors que le soleil fait enfin son apparition, le solar boat « Icade » est pris dans un labyrinthe de glaces. La navigatrice tente de slalomer entre elles, mais se retrouve très vite encerclée. Sous la pression des blocs, l’hélice du moteur du bateau se casse. Anne Quéméré plonge alors dans une eau à 2 degrés pour la réparer… “A cet instant, l’horizon n’était qu’icebergs et plaques de banquise !” raconte la navigatrice. L’aventurière est éblouie par ce qui l’entoure. “C’était vraiment un voyage incroyable : des paysages absolument magiques et des rencontres insolites, notamment avec les grizzlis !” Anne Quéméré l’a découvert dès les premiers jours de son aventure : l’été polaire n’aura pas lieu cette année en Arctique. “L’an dernier, à la même époque, les températures oscillaient entre 10 et 15 degrés. Cette année, nous étions autour de 0 degré…un été plutôt revigorant !” explique la navigatrice. Mais, dans la nuit du 31 juillet, une violente tempête s’abat sur la côte… Contrainte de faire escale, Anne Quéméré fait alors la rencontre d’une équipe de scientifiques canadiens. Face aux rafales de vent de plus en plus violentes, la navigatrice décide de les suivre dans leur avion en attendant la fin de la tempête. Aujourd’hui encore, elle mesure à quel point cette rencontre fortuite, sur une côte désertique où il n’existe aucun havre où se réfugier, fut miraculeuse : “Je n’en reviens toujours pas d’avoir eu la chance incroyable de croiser cette petite équipe qui m’a récupérée au vol avant que l’expédition ne tourne au drame !” Malgré la déception de ne pas avoir pu franchir le mythique Passage du Nord-Ouest, le parcours réalisé par le solar boat dans des conditions si extrêmes relèvent d’une prouesse aussi technique qu’humaine : “« Icade » a fait un petit pas de plus dans l’aventure arctique ! Ce fut une aventure extraordinaire et j’attends avec impatience de pouvoir écrire la suite de l’expédition Arctic Solar by Icade… 2019” Sauvée par un avion, des batteries et des matériaux composites perdus en arctique : c'est beau l'écologie !
  4. Le spreadwave n'a pas été commercialisé bien avant le passage de MB à l'émission ?
  5. C'est à dire que la loi de Myhre (qui est approximative) ne s'applique que sur Terre et pas sur Venus. En fait il n'y a pas l'équivalent de cette loi sur Venus, donc j'ai pris l'hypothèse qu'une molécule de CO2 sur Terre et sur Venus rayonne de la même façon. C'est très bien de faire des modèles, mais l'hypothèse de départ ne devient explication que lorsque le modèle est au point pour affirmer que l'hypothèse choisie est la bonne. Or dans le cas du RCA, les modèles ne sont pas encore au point, donc l'hypothèse reste hypothèse et rien de plus contrairement à ce qui est affirmé de manière tonitruante.
  6. Le réchauffement climatique fait de plus en plus baisser les T° mois après mois : Septembre 2018 est le mois de septembre le plus froid depuis 10 ans.
  7. Facile à construire chez soi si vous êtes bon en couture : il suffit de faire un sac à trier les cartes mélangées.
  8. C'est qui Dominique sur la photo ? (Et oui, un prénom mixte ça ne facilite pas les choses pour reconnaitre qui est qui).
  9. Ce serait absurde d'absorber le CO2 de l'atmosphère. L'Homme en rejette très peu et on ne connait pas les amplitudes des variations naturelles du CO2 dans l'atmosphère. Le CO2 est vraiment a un niveau très bas actuellement or il ne faut pas oublier que le carbone du CO2 atmosphérique est le carbone qui se retrouve dans les molécules organiques de notre nourriture (glucides, lipides, protides, acides nucléiques, vitamines). En fait le CO2 EST notre nourriture. J'ai calculé qu'il y a 4,72.10^20 Kg de CO2 dans l'atmosphère de Vénus, ce CO2 est responsable des 430°C de l'effet de serre de la planète càd 13870.15 W/m2. Or sur Terre, il y a 150 000 fois moins de CO2 (3.128.10^15 Kg) que sur Venus ce qui correspond donc à une énergie de 0.092 W/m2 (pour l'ensemble des 400 ppm de l'atm) çàd rien du tout ! Bizarrement, je ne vois nulle part ni mon raisonnement, ni mon calcul qui pourtant est très simple et très parlant. Bon le Giec ne trouve pas du tout ce résultat : ils attribuent aux 100 ppm de CO2 de plus depuis le début du siècle, un pouvoir réchauffant de 1.6 W/m2... si on part de cette constatation, on ne peut pas retrouver la T° de Venus qui s'envolerait, ce qui me fait dire que cette valeur est complétement fausse. Sur Terre l'effet de serre est surtout dû à l'eau atmosphérique qui peut varier de 0.4 à 7 % (contre 0.04 % pour le CO2) et qui peut absorber des longueurs d'ondes IR bien plus vastes que le CO2. Donc absorber le CO2 est pour moi une très mauvaise idée ! Qui peut se permettre de dire que 300 ppm de CO2 serait la valeur la meilleure pour notre vie sur la planète. Dans les serres on rajoute 1000 ppm CO2 pour faire pousser les végétaux de manière optimale ! A 400 ppm de l'atm, les végétaux sont sous-alimentés. Grâce aux rejets humains de CO2, la planète n'a jamais été aussi verte qu'aujourd'hui.
  10. ça m'étonnerait. J'ai récemment découvert que le CO2, mesuré dans l'atmosphère depuis 1958 au sommet du volcan Mauna Loa, a été aussi mesuré avant 1958. Le Giec n’en tient pas compte mais ces mesures ont été compilées en 2007 : plus de 90 000 mesures ! Et on trouve qu’en 1920 par exemple, le taux de CO2, en plein petit âge de glace, a été mesuré à 450 ppm (actuellement on est à 400 ppm) !
  11. La grande comédie continue... Juste avant d’accueillir la COP24, la Pologne autorise la construction d'une centrale à charbon de 1 000 MW https://www.novethic.fr/actualite/energie/energies-fossiles/isr-rse/juste-avant-d-accueillir-la-cop24-la-pologne-autorise-la-construction-d-une-centrale-a-charbon-de-1-000-mw-146378.html?utm_source=Abonnes+Novethic&utm_campaign=df43ee8417-Recap_2018_09_28&utm_medium=email&utm_term=0_2876b612e6-df43ee8417-171136205
  12. Attention, ne parle pas mal du "Champion de la Terre" !
  13. https://spaceweatherarchive.com/2018/09/27/the-chill-of-solar-minimum/ An historical record of the Thermosphere Climate Index. Mlynczak and colleagues recently published a paper on the TCI showing that the state of the thermosphere can be discussed using a set of five plain language terms: Cold, Cool, Neutral, Warm, and Hot.
  14. https://www.capital.fr/entreprises-marches/affaire-areva-la-monstrueuse-amende-qui-menace-la-france-1308725?amp "Au coeur de ce nouveau scandale, qui n’a pas encore éclaté aux Etats-Unis, les conditions dans lesquelles Areva a acquis, en février 2010, Ausra, une startup américaine spécialisée dans l’énergie solaire. Officiellement, selon le groupe français, le prix d’achat aurait été de 243 millions de dollars. Problème : un dirigeant d’Ausra affirme avoir vendu la société pour… 275 millions. A l’époque, Areva s’était contenté du minimum syndical en matière de communication : le dossier de presse ne mentionnait aucun montant, ni l’identité précise des principaux actionnaires vendeurs.... ... Si Anne Lauvergeon a préféré rester discrète, c’est que, à l’époque, Areva est déjà dans une situation financière compliquée. Quelques semaines avant cette acquisition, en janvier 2010, une réunion du Conseil de politique nucléaire, qui s’est tenue à l’Elysée en présence de tous les principaux acteurs de la filière, a abouti à la conclusion qu’il fallait le recapitaliser d’urgence. L’opération est réalisée quelques mois plus tard : la société obtient 900 millions d’euros, 600 millions étant versés par le fonds souverain du Koweït, le KIA, et 300 millions par l’Etat. Dans cet environnement très contraint, on peut s’interroger sur l’opportunité d’acquérir Ausra. D’autant que la start-up est elle-même dans une situation financière difficile, et que sa technologie (l’énergie solaire thermique à concentration) n’a rien de révolutionnaire. ... Pour quelles raisons Areva a-t-il accepté de lâcher autant d’argent pour Ausra ? ... A commencer par cet échange de mails intervenu en décembre 2009 entre Olivier Fric – le mari d’Anne Lauvergeon, qui n’a officiellement rien à voir avec Areva – et un haut dirigeant du groupe. Fric y propose de monter avec Areva un fonds, dont il serait co-actionnaire, pour réaliser des acquisitions dans les énergies renouvelables. “Impossible !”, lui répond ce dirigeant après avoir consulté sa patronne, en arguant que le groupe n’a pas les moyens de mener ce genre de politique. Cela n’empêchera pas Areva de s’offrir Ausra deux mois plus tard. Ni Olivier Fric d’en devenir lui-même actionnaire en 2011, par le biais d’Agave Partners Holdings, une société constituée avec un homme d’affaires américain. ... Ce futur établissement était censé assurer la transformation en mox (un combustible nucléaire) des 34 tonnes de plutonium militaire que Washington s’était engagé à faire disparaître dans le cadre d’un accord de désarmement avec la Russie. Son coût était estimé à 1,4 milliard de dollars, et la mise en service programmée pour 2005. Hélas ! Onze ans plus tard, il n’avait toujours pas vu le jour. Et selon un rapport de l’US Army remis au gouvernement américain, sa facture était passée à… 17,4 milliards de dollars et son ouverture repoussée à 2048 ! Depuis, le Congrès américain s’est rendu à l’évidence : il a mis fin à ce projet, baptisé “Mox Services”, au début de cette année. Mais cette petite affaire aura tout de même coûté quelque 7,7 milliards de dollars au budget fédéral en pure perte ! ... La construction de l’usine Mox Services a elle aussi été arrêtée, mais la facture va continuer de gonfler pour le budget fédéral américain. Pour pouvoir entreposer en toute sécurité le plutonium militaire (matière très instable) qui aurait dû être transformé en combustible mox, Washington va en effet devoir dépenser quelque 19,9 milliards de dollars, selon une étude du Department of Energy ! ... Une bien mauvaise nouvelle pour le contribuable… français. Car, en cas de procès pour corruption aux Etats-Unis, la règle veut que le montant de l’amende couvre la totalité du préjudice financier. Certes, le procureur pourrait se contenter de réclamer à Areva les 243 millions de dollars correspondant au montant de l’acquisition d’Ausra. Mais il peut aussi très bien exiger le remboursement de toutes les dépenses fédérales engagées dans l’affaire, à savoir : les 7,7 milliards de dollars investis dans l’usine de mox jamais construite, les 19,9 milliards qui vont être engloutis dans la gestion du plutonium non transformé et les 243 millions de l’acquisition d’Ausra, soit au total pratiquement 28 milliards de dollars, ou si l’on préfère, 24,1 milliards d’euros au cours actuel. Inutile de préciser que, Orano n’ayant pas un centime en poche, c’est l’Etat qui devrait passer à la caisse..."
  15. Merci, j'avais raté ça ! C'est une très bonne nouvelle ! Pour ceux qui maitrisent mal l'anglais, comme moi, décortiquer un livre de tours, ça reste possible, lire un livre de littérature en anglais c'est mission impossible. Cette traduction est vraiment la bienvenue.
  16. Ce quetsche (et les 3 de la série) est en haut de mon panthéon de l'humour ! Tout simplement hilarant de bout en bout. Je suis un gros fan de Daniel Prévost.
  17. J'ai envoyé le lien, non pour la façon de voir la politique du journaliste, mais pour les données météo passées,ce qui est quand même vachement plus intéressant. Quant aux sources, elles proviennent de Le Roy Ladurie et de Coutterand, deux scientifiques.
  18. Sur les 66 lignes de l'article, 63 parlent de la météo du passé et toi tu ne retiens que les 3 lignes de commentaire politique ! Franchement, si c'est comme cela que tu lis, je comprends mieux ensuite tes analyses.
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