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Plick (Pierre TLLFR)

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Tout ce qui a été publié par Plick (Pierre TLLFR)

  1. Bonsoir, Mieux vaut se fier aux sources de l'époque comme celle citée par le très documenté "GP de la Côte-d'Or" ci-dessus. Mais à toutes fins utiles, voici le paragraphe consacré à l'année 1951 dans le livre 100 ans d'histoire, 100 ans de magie édité par l'AFAP en 2003 à l'occasion de ses cent ans d'existence : "XVe Concours Magicus. Invention : 2e prix, De Biran ; 3e prix, Prinsard. Originalité : ex aequo, Thoky Yenn et Gauthron. Perfectionnement : Minar et Finkelstein (Mac Fink, Michel Fontaine)." (p. 97)
  2. Les deux sont vraisemblablement des traductions non autorisées, qui sont vendues à vil prix dans tous les congrès français depuis des dizaines d'années. Elles portent les titres suivants : Magie des cartes de Le Paul et Stars of Magic (concernant cette dernière, la bibliographie de Voignier recense une traduction - est-ce la même ? - par Michel Lauvent, éditée à Saint-Dizier en 1979). On trouve dans les mêmes conditions les traductions françaises du Book of Magic de Vernon, de Magic of Slydini et de Slydini Encores.
  3. Bonjour à tous, Les deux réponses précédentes me semblent bien aimables par rapport à la question... Ceci étant dit, pour compléter la liste de SébastienO, le Stars of Magic ainsi que les livres de LePaul et Kaplan existent aussi en français. Concernant Lorayne, Walton, Ganson/Vernon et Marlo, on trouve des anthologies en français. Seuls Scarne et Buckley échappent (encore) aux lecteurs non anglophiles. p. P.S.: Puisque Jason England va également dans ce sens et dans la mesure où ce livre n'a pas été retenu dans la short list de ThaiThai, je me permets d'insister et de répéter que La Magie des cartes de Hugard et Braue est un "classique incontournable", idéal pour débuter intelligemment.
  4. Et comment ! Un grand classique des éditions Payot, sorti peu après la 3e édition augmentée américaine : Jean Hugard et Frédéric Braue, La Technique moderne aux cartes, trad. fr. Maurice Sardina, Paris, Payot, 1955. Pour un apprentissage intelligent et gradué (présentation de chaque technique suivie de plusieurs tours - dont quelques pépites - pour les mettre en application), je recommanderais d'abord The Royal Road to Card Magic des mêmes auteurs, qui existe dans deux traductions françaises : Jean Hugard et Frédéric Braue, La Magie des cartes, trad. fr. Pierre Lanoë, Paris, Payot, 1951 ; nouvelle trad. fr. Richard Vollmer, Strasbourg, Magix – Éditions du Spectacle, 2003. Quelle chance d'avoir tout à découvrir ! Bonne lecture ! p.
  5. Bonjour Ellipse, Merci pour les détails. Je ne suis pas très au courant des publications récentes et encore moins des vidéos, mais il a au moins fait des notes de conférence en 2013, intitulées No Secrets et disponibles chez H&R Magic Books. En dehors du tour paru dans Genii mentionné plus haut, il a publié "Pendu" (tour de bague et ficelle) dans The New York Magic Symposium 5 (1986, p. 118). S'ils passent par là, Philippe Billot et Pierre Guedin pourront sans doute nous en dire plus, en particulier sur d'autres tours qu'il aurait publiés dans des revues. Quant à sa personnalité, les magiciens du forum qui ont fréquenté le Magic Castle en tant qu'artistes ou spectateurs ont certainement des anecdotes à nous faire partager. Voici quelques autres mentions - d'intérêt variable - de Deane Stern que j'ai relevées dans la littérature magique : "The Santa Barbara Session" [encart publicitaire], Richard's Almanac, vol. 3, printemps 1985, p. 279 : "An exclusive magical retreat featuring two of the world's finest magicians : David Roth and Johnny Thompson. Also in a rare appearance, one of the most creative people in magic, Alan Wakeling. Limited to a small group, you will be experiencing almost one-on-one sessions with Earl Nelson, David Gripenwaldt, Deane Stern and other surprise guests." Stephen Minch, "The Finger-Clip Color Change (Edward Marlo)", in Daryl's Ambitious Card Omnibus, 1987, p. 67 [existe aussi en français] : "Deane Stern graciously brought this application of a Marlo Color Change to our attention." James Patton, "Intermission", Genii, vol. 54, n°6, avril 1991, p. 382 : "Magic theme cruises still alive and well: Ron Wilson, magician and booking agent extraordinaire wishes me to inform my readers that, indeed, this popular cruising sujet continues to attract passengers who demand fine entertainment in their vacation activities. Ron has several cruises booked from May thru June. (...) Additionally, out of L.A., on board the Southward, May 31-June 7: Tomsoni, Rudy Coby, Chuck Fayne, Steve Valentine and Deane Stern." Ernest Earick, "Apologia", in Stephen Minch, By Forces Unseen - The Innovative Card Magic of Ernest Earick, Seattle, Hermetic Press, 1993, p. vii. In the summer of 1986 I was fortunate enough to visit the Magic Castle in the company of two of the very finest young magicians in the country, Ray Kosby and Bill Goodwin. As we entered the Castle, we were met by the talented professional magician Deane Stern. Dean instantly ushered me over to a corner table, not allowing me time to think or become nervous, and introduced me to Dai Vernon with some ridiculous request like "Show the Professor your finish for Triumph." Yeah, right. Once safely ensconced at that corner table, though, I didn't move. I made myself a nuisance there all night, subsequently meeting Larry Jennings and Michael Skinner, among many others. William Goodwin, The Ancient Empty Street, s. l., William Goodwin, 1997 : "Dedicated with respect to Ray Kosby, Deane Stern, Larry Jennings, Michael Skinner, Roger Klause, Jack Carpenter, my saviors." Jules Lenier, "Knights at the Magic Castle", Genii, vol. 62, n°4, avril 1999, p. 15 : "Deane Stern, who used to be a main member, is now a Maine member. It was good to see him back on the West Coast for awhile." Hal Meyers, "Ricki Dunn...", Genii, vol. 62, n°7, juillet 1999, p. 27 : "A good friend of mine and a relatively new friend of Ricki's, Deane Sterne, came up with a wonderful idea: As a tribute to Ricki, everyone should stand up and steal the portefeuille of the person to the right." Paul Szauter, "No. 362 Bango, Maine - James William Elliott Ring", The Linking Ring, vol. 87, n°8, août 2007, p. 168 : "The May Meeting was held at the Friars' Bakehouse in Bangor, Maine. The theme of the meeting was The Mind of Anneman. (...) Brother Don Paul gave a teaching table on mentalism. He began with an experiment in par optic vision. Deane Sterne selected three cards and put them in his pocket as Deane removed them on at a time. Brother Don, blindfolded, named the cards." Et voici comment il se présente aujourd'hui sur LinkedIn : ici. En tapant son nom sur Google, on trouve un certain nombre de choses, notamment sur sa "success story" avec le "skyliner" (Boris Wild pourrait nous en dire plus, dans la mesure où il a popularisé la chose dans le milieu magique français avec son "Mind Scanner" ?). Bonne journée, p.
  6. Bonjour Ellipse, Pour qu'on puisse/veuille t'aider, dis-nous un peu ce que tu as déjà trouvé et pourquoi tu t'intéresses à lui ! Voici quelques pistes pour lancer le sujet : Dai Vernon, "The Vernon Touch", Genii, vol. 52, n°12, juin 1989, p. 783 : "Back to The Magic Castle, where week after week can be seen many performers. Some, of course, are better than others, but strangely some of the new comers like who show great, great talent as future stars. I must admit that in spite of my many years in magic I am often quite puzzled to discern how some of the effects are done. Larry Jennings, Bruce Cervon, Jim Lewis, Dean Stern, John Kennedy and John Carney, just to mention a few of my close friends. All do superlative effects and rank with the best in the country." Dans la réédition des chroniques de Dai Vernon (The Vernon Touch, 2006, p. 473), on le voit dans une photo de groupe au Magic Castle le 29 août 1985 avec des inconnus : Nelson, Weber, Carney, Vernon, etc. Tony Giorgio, "Magicana: A Sensory Deception by Dean Stern", Genii, vol. 58, n°3, février 1995, p. 263 : "Hollywood's Magic Castle has attracted magicians from all over the world to Los Angeles and southern California. I've met most of them and seen them do their magic. Only a few of them impress me, and one of the most impressive is Dean Stern. A native of Maine, Dean started doing magic as a youngster and has performed all over the world. The space allotted me is totally inadequate for a listing of his credits and achievements. He has one of the most fertile minds in magic and is the originator of countless effects. Among his creations is the currently popular trick in which the magician covers his head with a paper bag and crushes it, creating the illusion of a disappearing head." S'ensuit la description illustrée de sa routine de pièces "A Sensory Deception". p.
  7. Bonjour, Si cela est une question, l'ouvrage est de grand format (26,5 x 32,5 cm) et comprend 271 pages en couleurs. Il s'agit d'un catalogue de toutes les représentations (peintures, gravures, dessins) du jeu des gobelets entre 1400 et la fin du XIXe siècle (du moins celles connues et référencées par Bob Read jusqu'à son décès). Les œuvres sont reproduites sous forme de vignettes et accompagnées d'une notice de 5 à 10 lignes par image (avec quelques références bibliographiques et mention des collections [les informations sont légèrement datées puisqu'on y trouve les collections Read, Marteret, Christopher ou encore Mulholland] dans lesquelles on peut trouver des exemplaires de ces œuvres). Bien qu'il présente quelques défauts (notamment celui de ne pas avoir d'index ou de sommaire détaillé), c'est l'ouvrage le plus complet qui existe à ce jour sur l'iconographie des escamoteurs aux Temps modernes. Et c'est l'ouvrage posthume d'un magicien et collectionneur passionné et passionnant... dont on attendait la publication depuis des années. La maison Huber fonctionne à l'ancienne. Il n'y a pas de formulaire en ligne, pas de paiement par Paypal, etc. L'éditeur n'a d'ailleurs fait aucune publicité pour l'ouvrage (qui de toute façon sera épuisé sous peu), au point que même les gens qui ont collaboré à sa réalisation n'étaient pas au courant de sa sortie mi-mai. p.
  8. Volker Huber a envoyé 100 exemplaires au Conjuring Arts pour la diffusion aux Etats-Unis, mais on peut se procurer le livre directement chez l'éditeur. J'ai acheté mon exemplaire (par virement bancaire à réception du livre), au prix de 78 euros + 10 euros de frais de port. p.
  9. Merci Philippe. Robelly a en effet consacré un numéro entier de la revue L'Escamoteur à Robin (vol. 6, n°33, mars-avril 1952). En page 2, il révèle LE scoop avec acte de naissance à l'appui : "Comment nous avons appris que Robin était français" [et non hollandais] ! Dans la quinzaine de pages qui suivent sont reproduits de nombreuses gravures et articles de presse du XIXe sur Robin. p.
  10. Et comme dirait Kenton Knepper, la date de naissance est correcte... à 8 ans près ! ;-)
  11. Très cher Gilb', Le principe de la nationalité était déjà régi à l'époque par le (tout nouveau) Code civil, qui privilégie le droit du sang. Les deux parents de Robin étaient nés à Hazebrouck (qui était une ville française depuis Louis XIV). Quant à ses quatre grands-parents, je te laisse le plaisir de chercher ;-)... p.
  12. Bon courage, cher Morax :-) ! On peut passer une vie entière à relever toutes les erreurs dans les livres de Max Dif, de Fanch Guillemin et de Christian Fechner, dans les dictionnaires de Jean de Merry, de Billot/Guedin et de Raczynski... pour ne retenir que les noms les plus sérieux ! Pourtant, malgré les imprécisions ou les erreurs, tous ces gens ont découvert des choses qui ont fait avancer le schmilblick et ils nous ont offert un instrument de travail pour aller plus loin ! D'ailleurs, as-tu déjà remarqué que sur son acte de naissance, Robin est appelé "Henri Joseph Donckel", sur son acte de mariage "Henry Joseph Donckele", et sur son acte de décès "Henri Joseph Donckele". Bref, trois orthographes différentes, de quoi s'y perdre...! A bientôt, p.
  13. Bonsoir, Encore faut-il savoir écrire le nom du créateur : on ne dit plus en effet "un comptage Emsley" mais "un comptage Elmsley" ! ;-) La levée double est au moins attestée depuis 1716 (soit un siècle et demi avant Ponsin) dans le livre de Richard Neve The Merry Companion. Le problème, c'est qu'on ne peut pas faire une liste simple et définitive en faisant coïncider une technique, une date et un auteur. Chaque technique a une histoire complexe (faite d'influences diverses, de tâtonnements, de querelles de paternité, etc.). Pour se plonger dans les sources, et bien que toutes ces initiatives soient toujours parsemées d'erreurs ou d'approximations, il faut évidemment consulter The Encyclopedic Dictionary of Magic de Bart Whaley (dont il existe une version électronique), Prestidigitation - Mille et une sources de Philippe Billot et Pierre Guedin ou encore le site depuis longtemps à l'abandon du Magic Lineage Project (ici) et le site participatif MagicPedia ( ici). Voilà un domaine passionnant et c'est une très bonne idée d'en parler, mais mille et un sujets sur VM n'y suffiraient pas... ! Bonnes recherches ! p.
  14. Je ne nie pas l'existence de la chasse aux sorcières et sorciers, qui est une réalité (qui a d'ailleurs plutôt eu lieu aux XVIe et XVIIe siècles qu'au Moyen Âge), mais d'après le peu que j'ai pu lire sur le sujet, j'ai l'impression qu'on a rarement vu quelqu'un qui faisait de simples tours d'escamotage se retrouver sur un bûcher.
  15. Je reprends à mon compte la formule d'Azoth : "On a des noms et des sources ?" Merci !
  16. On a des noms et des sources ? Je réponds rapidement, même si le débat part dans d'autres directions autrement passionnantes... Deux exemples sont très parlants : Juan Dalmao, escamoteur dans la première moitié du XVIe siècle. Les historiens de la prestidigitation connaissent depuis longtemps le praestigiator espagnol accompagnant Charles Quint à Milan, évoqué par Jérôme Cardan dans son De Subtilitate : selon les éditions, son nom prend différentes orthographes, de Damautus à Dalmagus, en passant par Damantus et Damnatus ! Récemment, il a été rapproché d'autres occurrences trouvées chez des auteurs comme l'Arétin, Luis Zapata ou Tomaso Garzoni... et on a même trouvé un livret d'escamotage écrit par cet artiste. La plupart de ces occurrences et la transcription de ce livret italien sont rassemblées dans l'ouvrage Ilusionismo e magia naturale nel Cinquecento (2011) de l'universitaire italien Giuseppe Crimi. Or il s'avère qu'on connaît également depuis longtemps un "Jean d'Alman" mentionné dans les comptes de François Ier (du type : "A Jean d’Alman, espagnol, don de 225 livres en récompense du passe-temps qu’il donne au roi au subtil maniment des cartes"), qui selon toute vraisemblance, est la même personne dont on a francisé le nom. Donc le même escamoteur est attesté auprès de l'empereur du Saint-Empire et du roi de France dans les années 1530. Girolamo Scotto, escamoteur à la fin du XVIe et au début du XVIIe siècle. En 1996, Thierry Depaulis et Hjalmar ont publié un numéro spécial du Vieux Papier intitulé Enquête sur un escamoteur du début du XVIIe siècle reconstituant la carrière de Girolamo Scotto à partir des multiples fragments épars dans la littérature européenne de l'époque, où il est mentionné notamment sous le nom francisé de L'Escot. On a une description complète d'une de ses séances de cartomagie devant la bonne société de l'époque chez Agrippa d'Aubigné, on a une médaille en bronze qui le représente en 1580, on a des livrets publiés sous son nom en français, etc. L'article de Hjalmar et Depaulis (et plus récemment l'article de Marco Moccella, moins sérieux sur les sources mais disponible en ligne) montre qu'il fréquentait Henri IV, et des manuscrits (que je n'ai pas pu encore consulter) du Dr. Handsch (traduits notamment dans le livre d'histoire de la magie de Clarke), attestent sa présence auprès de l'empereur du Saint-Empire. Voilà donc deux "escamoteurs de la Renaissance européenne qui se produisaient devant les rois et les empereurs". J'espère que j'ai répondu à ta demande (si tu as besoin de références plus précises, je reste à ta disposition, mais le forum n'est sans doute pas le lieu le plus adapté pour un déballage bibliographique). p.
  17. Bonjour, Je ne suis pas contre les grands débats sur l'avenir de l'illusionnisme qui s'appuient sur les évolutions passées, mais encore faut-il avoir dans sa gibecière des sources historiques solides pour éviter la pure spéculation intellectuelle :-). Que fait-on des escamoteurs de l'Antiquité gréco-romaine qui présentaient leurs numéros de manipulations de cailloux dans les théâtres ? Et des escamoteurs de la Renaissance européenne qui se produisaient devant les rois et les empereurs ? Il me semble qu'il s'agissait déjà de ce que nous appelons aujourd'hui l'illusionnisme de spectacle ou l'illusionnisme en tant qu'art scénique... et je ne vois pas de rupture évidente à l'époque des Lumières ou de la société industrielle. Je lirai la discussion avec attention, car étant donné le peu de sources que nous avons sur les escamoteurs du Moyen Âge en Europe (à la différence de ceux du monde islamique), bien malin celui qui pourrait dire s'il s'agissait d'autre chose que d'un divertissement. Bonne journée, p.
  18. Bonsoir, Ce livre est une grande compilation de nombreuses sources et notamment d'articles de revues américaines et françaises qui traitent de machineries de spectacle, de trucages de temple, d'illusions d'optique, de projections, de ventriloquie, de mentalisme, de manipulations photographiques, etc. Il a été republié aux éditions Dover en 1976, puis 1998... et est donc très facile à se procurer à un prix dérisoire. On peut également le télécharger gratuitement ici. p.
  19. Bonjour, Tu cherches à retracer l'histoire des conférences de magie, c'est bien ça ? Quels livres as-tu consultés pour le moment ? p.
  20. Bonsoir, A gauche : L'un coupe la bourse sans bruit, l'autre son complice s'enfuit avec le butin. A droite : Oh ! Combien de tours de passe-passe ne trouve-t-on pas en ce monde ? Ceux qui grâce au sac à malices font merveille amènent par leurs tours trompeurs le peuple à cracher des choses curieuses sur la table. C'est ainsi qu'ils réussissent leurs coups. Ne leur fais donc jamais confiance car, si tu perdais également ta bourse, tu t'en repentirais. Il faut en tout cas bien garder à l'esprit que le cuivre de Balthazar Sylvius Van den Bos n'est qu'une gravure d'interprétation, diffusée un demi-siècle après la mort de Jérôme Bosch. Les inscriptions livrent une signification "clef en main" de l'image, mais ce n'est pas forcément ce que Jérôme Bosch voulait dire à l'origine... P.
  21. Bonjour, Je n'ai aucune idée de ce que tu cherches, mais peut-être trouveras-tu ton bonheur dans ces articles : Gloria Flaherty, "The Performing Artist as the Shaman of Higher Civilization", MLN, vol. 103, n°3, avril 1988, p. 519-539. Graham M. Jones, "Modern Magic and the War on Miracles in French Colonial Culture", Comparative Studies in Society and History, vol. 52, n°1, 2010, p. 66-99. E. T. Kirby, "The Shamanistic Origins of Popular Entertainments", The Drama critique: TDR, vol. 18, n°1, mars 1974, p. 5-15. Fanch Guillemin a aussi publié un petit livre intitulé Les Sorciers d'aujourd'hui - Fakirisme, Hypnotisme, Radiesthésie, Voyance, Magie noire, Illusionnisme. Si mes souvenirs sont bons, son contenu est repris et étoffé dans Les Sorciers du bout du monde (dont il y a d'ailleurs un bon aperçu sur Google Books). Plus récemment, Fanch a édité un recueil de cinq nouvelles inspirées de ses nombreux voyages : Aventures magiques d'Amérique et d'Afrique (éd. Leezam, 2010). Amicalement, p.
  22. Je n'ai jamais entendu parler d'Antonio Vargas. En revanche, j'ai rencontré José Vergas, et il ne ressemblait pas (du tout) à Jean Merlin ! Amicalement, p.
  23. Bonjour, Je n'ai pas les livres sous les yeux, mais la routine des foulards doit être décrite dans : - The Magic of Slydini de Lewis Ganson (il en existe une version pirate en français qui circule dans les congrès au stand d'un certain G. N., mais autant se procurer la version augmentée par le Dr. Gene Matsuura : The Annotated Magic of Slydini, L&L Publishing, 2001). - The Magical World of Slydini de Karl Fulves (Tannen Magic, 1979). De saines lectures ! p.
  24. Bonjour, Pour avoir une approche un peu plus exhaustive de l'histoire de ce problème mathématique devenu un tour de cartes, vous pouvez consulter en ligne le chapitre "7.B. Josephus or Survivor Problem" des Sources in recreational mathematics de David Singmaster : ici. Il fait remonter le problème à Flavius Josèphe et cite des centaines de références passionnantes. Plick.
  25. Bonjour mister Elektrik, My two cents : dans le même genre, il existe aussi un petit livre agrafé d'Arnold Furst intitulé Great Magic Shows (Genii Publishing, 1968). p.
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