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[CR] Journée du CAMP 2006


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J'ai lu de travers ton message Elton, et je vois que tu t'es fait dépuceler sur un billard, l'amour était présent, il y a eu des photos de prises !!!!!!

;)

Non ludo, c'est pas une raison pour sortir les photos compromettantes... tongue.gif

Je vais aussi, comme les autres, dire que ce week end fut très agréable.

Très très bonne ambiance, des confs très enrichissantes, le spectacle de close up de Boris Wild que tout le monde à énormément apprécié, moi le premier.

Et puis des rencontres vraiment chouettes entre autre avec Vincent, Baboun, Yves (carte à terre) Carbonnier, Gérard bakner et les autres que j'oublie....

Une proximité des participants qui fait toujours chaud au coeur....

On a déjà tous hâte à l'année prochaine...

damien

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Bon, moi aussi je m’y colle.

J’étais déjà venu aux autres week-ends du CAMP, en « touriste », mais cette année je suis membre de ce club de Poitiers, et j’ai donc eu l’occasion de tout voir sous toutes les coutures.

Le samedi 1er avril, à 9h, une bonne partie de l’équipe de CAMP se retrouvait sur les lieux du week-end pour mettre en place les stands pour les marchands, la scène, la régie, les lumières, etc. Chapeau plus que bas à Bruno, qui était là depuis 4h du matin pour pré installer tout ça ; c’est également lui qui a assuré la régie son et lumière pour les conférences de Jean Régil et Roberto Giobbi, pour le spectacle de Boris Wild, le dealer show de Magicaplanet, le spectacle de la carte blanche, l’incroyable séance de mentalisme du Grand Garnac, etc. Tout ça sans jamais s’énerver, sans jamais se plaindre, sans rien casser, bref, un mec incroyable.

A 14h, le week-end ouvre ses portes, en accueillant des magiciens venus de toute la France : Manolo (et son équipe de Magicaplanet) et Baboun (BDLI) pour le sud, une délégation bretonne (Vax, LuDo et d’autres drilles) pour le nord, Elton, et plein d’autres dont je parlerais plus loin.

A 15h15, Jean Régil nous offre une conférence passionnée sur l’histoire de la magie, et plus particulièrement des grands shows. Cet homme est d’une gentillesse et d’une passion incroyable, il est littéralement transporté par son sujet. Sa conférence fut l’occasion pour moi (et sûrement plein d’autres) de découvrir des documents vidéos précieux, tels que les numéros de Cardini, Pollock, Kalanag, Selbit, Thurston, Dante, etc. Autant d’extraits de spectacles ou de documentaires qui mériteraient une édition DVD collector en plusieurs volumes (ce qui remonterait agréablement le niveau de la production de DVDs magiques…). Jean Régil connaît chacun de ces documents par cœur, et nous soulignait chaque détail, chaque anecdote, chaque point pratique ou théorique.

Dans le public de cette conférence, des magiciens de tous âges, de tous niveaux, de tout intérêts (scène, close-up, mentalisme, etc.), et tous ont suivi avec plaisir la chronologie passionnée de Jean Régil. Voir une conférence de ce genre avoir autant de succès, sans aucun tour expliqué, sans aucune babiole en plastique rose vendue après, me rappelle la superbe conférence donnée par Jean-Philippe Loupi lors de la dernière Colombe d’Or.

A 17h15 (probablement un peu plus grâce à l’enthousiasme de Jean Régil et à l’approbation du public), petite pause dans le hall du l’hôtel qui accueille cette manifestation. C’est l’occasion de discuter de ce qu’on vient de voir, de ce qu’on va voir, de se faire des tours sur un coin de table.

17h45, dealer show de Magicaplanet. Alors là, je dois avouer, les dealer shows c’est vraiment le truc que je n’aime pas. Un vendeur qui présente sans talents des effets à la va-vite, oubliant presque le fonctionnement du bidule présenté, oubliant la moitié de son texte, mais n’oubliant surtout pas le prix du bidule, avec un fatras de foulards roses et de fleurs en plumes sur sa table, c’est vraiment pas un spectacle intéressant.

Oui, mais là, c’est Manolo, sympathique, passionné, qui fait le dealer show, et ça change tout. Parce qu’il ne nous présente pas des merdes innommables ; il nous présente ce qu’il vend ET qu’il utilise dans ses spectacles, car le jeune bougre fait des spectacles. Et en plus de nous montrer ce qu’il vend et utilise, il nous explique COMMENT il l’utilise. Au final, son dealer show regorge d’idées et de détails, par exemple sur les multiples applications des aimants. Et paradoxe agréable, c’est le public qui doit lui demander le prix de tel ou tel article, car lui il nous présente juste sa magie.

19h30 (sur le programme, mais pas vraiment dans la réalité) : dîner. Quoi ? « Dîner » ? Un évènement sans magie ? Que nenni ! Parce que l’avantage au CAMP, c’est que les repas sont pris en groupe. Avec les conférences et les spectacles, on a pas trop le temps de discuter, donc là on se rattrape. Et on en profite aussi pour faire de la magie, ce qui fait que régulièrement on entend des applaudissements à la table d’à côté, parce que Pierre Edernac vient de présenter un effet, etc. On fait connaissance avec ceux que l’on ne connaît pas, on discute avec ceux que tout le monde connaît : Jean Régil, Boris Wild, Gérard Bakner, Michel Fontaine, Pierre Edernac, Horace (Roberto Giobbi arrivera dimanche).

21h15 : spectacle / soirée avec Boris Wild. Boris Wild en conférence, c’est déjà pas mal. Mais là, c’est encore mieux, car on a l’occasion de voir ce qu’il fait « dans le monde réel », pour le public profane. Et c’est là qu’on se rend compte de la ligne de conduite du bonhomme, car on retrouve dans son spectacle les perles que l’on connaissait de part son livre, ou ses passages TV. Et l’animal, très connu pour son travail sur la magie des cartes, nous émerveille avec une routine à 3 anneaux, en musique ; puis termine le show avec son célèbre « Kiss shows » et une standing ovation, et beaucoup d’émotions pour tout le monde. 1h15 de magie, de musique, d’élégance et d’émotion ; ça suffit, non ?

Eh bien non, ça ne suffit pas ! Jusqu’à minuit, Boris va discuter avec nous de ces expériences professionnelles. Comme il a travaillé, et travaille toujours, sur les 5 continents, il a un bagage conséquent de conseils pratiques et d’anecdotes précieuses. Il nous parla longuement des FFFF, la célèbre convention américaine de close-up, qui regroupe chaque année autant de stars de la magie qu’il y a de stars du cinéma à la cérémonie des oscars.

Vers minuit, fin de la discussion. Mais si vous restez encore un peu, vous pouvez boire un coup, discuter jusqu’à 3h du matin avec Boris au bar, boire un coup, faire des démos sur la table de billard, boire un coup. Ce samedi magique s’achève donc un dimanche.

Quelques heures après, à 9h30, on rouvre les portes. C’est l’occasion d’accueillir de nouveaux participants, venus uniquement pour le dimanche. L’occasion aussi pour les malins d’acheter les livres de Giobbi, en vente sur le stand de CC éditions, et de faire chauffer le stylo en vue d’une dédicace du maître qui fera sa conférence cette après-midi.

Mais avant cet évènement, il y a la « carte blanche ». Imaginez que l’on vous prête une scène et 5 à 6 minutes de liberté d’expression… 11 magiciens se succèdent, chacun dans leur style, en scène, en close-up, en mentalisme, toujours grâce à l’aide de Bruno et Jicé à la technique, Frantz s’occupant de la présentation du spectacle. Les très internationalement demandés Blothum Boys, et leur style inimitable, dans un numéro d’escapalogie aventurière ; Thibault (primé au congrès de Strasbourg) et un numéro de production de cartes qui le laissa sans souffle et nous sans voix ; Boris Wild, avec un effet « spécial » de cartes « spéciales » ; Horace, qui nous réconcilie avec La Fontaine ; Roberto Giobbi, qui nous présente (sic) un « amuse-bouche » dévastateur ; Gérard Bakner, qui fait de la magie (et de l’humour) avec des mots et sa guitare ; Jean Valsen, qui en plus d’être président du CAMP et maître de cérémonie de ce week-end magique, est aussi un poète dompteur de cordes ; et Pierre Edernac, qui clôt ce défilé magique. Et bien d’autres magiciens aussi (Jean Régil, Michel Fontaine, …) et certains membres du CAMP (Maurice Douda, Julien Lesseur, Roland Leclerc, moi-même). Pardon à ceux que j’ai oublié ; heureusement Jacques Bigot était là pour filmer tout le week-end, donc la vidéo corrigera mes trous de mémoire.

13h30 : avec tout ça, il ne faudrait pas oublier de manger. De nouveau, repas en groupe ; les gens se mélangent, on fait d’autres rencontres, on discute et on fait la magie, on parle de nos parcours personnels, de musique, de cinéma.

15h30. Il existe une personne qui a écrit une sorte d’encyclopédie sur la magie des cartes, reliée tout en blanc. Tout le monde connaît son nom, depuis plusieurs années. Il est un ami proche de Juan Tamariz, et de plein d’autres légendes vivantes de notre art. Ce magicien a analysé, dans les détails, ce qui fait la magie chez les grands maîtres de notre temps, et a ciselé son style et son approche pour atteindre son but. Et cette personne, c’est Roberto Giobbi.

Roberto Giobbi qui nous a fait le plaisir et l’honneur de donner une conférence à ce week-end du CAMP. Plutôt qu’une conférence, une « discussion entre amis sur la magie », comme l’a dit lui-même. Impossible de rapporter ce qui a été dit, ce qui a été fait.

Si, juste un exemple : Roberto Giobbi se dirige vers un spectateur (par hasard, mon voisin de droite, que je connais bien puisqu’il est aussi membre du CAMP, et dont je peux affirmer qu’il n’est pas complice) et lui tend un jeu…invisible. Ah, certains d’entre vous pensent savoir ce qui va suivre ? N’oubliez pas qu’il s’agit de Roberto Giobbi. Il lui demande de bien mélanger les cartes.

Roberto Giobbi sort son portefeuille, l’ouvre et nous montre qu’à l’intérieur se trouve une enveloppe cachetée. Il referme son portefeuille et le tend à un autre spectateur, qui se trouve être Pierre Edernac, en lui demandant de le garder dans sa poche.

Entre temps, mon voisin a fini de « mélanger ». Roberto Giobbi l’invite à éliminer soit les rouges, soit les noirs. Ah, certains d’entre vous pensent savoir ce qui va suivre ? N’oubliez pas qu’il s’agit de Roberto Giobbi. Car mon voisin décide réellement de garder les rouges, puis les cœurs, puis la valeur de son choix, pour finalement aboutir au neuf de cœur.

Roberto Giobbi demande à Pierre Edernac de lui rendre son portefeuille, qui est ouvert. L’enveloppe montrée précédemment est toujours là. Elle est ouverte, et nous découvrons qu’elle contient une carte : le neuf de cœur ! L’enveloppe et la carte sont laissées en cadeau à mon voisin, qui comme nous tous n’a rien compris.

Et voilà, il est 18h00, ou un peu plus, et le week-end est fini. Fini ? Non ! Car les magiciens continuent à discuter, par petits groupes, pendant un bon moment encore. Boris Wild, toujours présent, Jean Régil, Gérard Bakner, et plein d’autres, parmi lesquels un dénommé Vax (oui oui, le mec en noir et blanc avec une carte rouge qui lui sort de l’oreille, que vous pouvez voir un peu plus haut dans ce sujet). Vax qui, s’il avait vécu 200 ou 300 avant, aurait sûrement fini brûler vif sur la place publique d’un village breton pour avoir présenté ce qu’il nous a présenté. Imaginez que vous pensez (juste penser !) à n’importe quelle carte dans un jeu mélangé ; Vax arrive, passe son doigt au-dessus des cartes étalées face en l’air, et tel un sourcier, s’arrête sur votre carte. Et à répétition ! Il présente l’effet avec Jean Régil, puis avec moi (très sceptique), puis avec Boris Wild, sous l’œil médusé d’une quinzaine de magiciens qui ne comprennent plus rien à ce qui se passe. Vax réussi à répétition, les yeux fermés ou ouverts, avec son jeu ou avec le votre. Et comme c’est l’homme le plus gentil et le plus agréable du monde, on n’arrive même pas à le détester pour ses miracles ; on est juste émerveillé. Vingt magiciens autour d’une table (dont un champion du monde) qui voit de la vraie magie !

Nous allons tous à la table de billard (pratique et léger comme tapis de close-up, n’est-ce pas ?), où Vax persiste et signe, où je présente ma démo perso, etc.

Puis nous allons manger, et inévitablement faire encore plus de magie, et aussi discuter de spectacles en général, de cinéma, de comment gagner 1 million de $, …

Et finalement nous séparer vers minuit. Un petit peu de rangement de matériel avec Bruno ; Jean Régil qui nous donne un coup de main, en discutant de Jerry Lewis. Ça y est, là c’est vraiment fini, le rideau tombe, il est 2h du matin, le week-end est fini et la semaine vient de commencer.

J’en ai très peu dit sur les offs continuels qui se produisirent lors de ce week-end, sur la performance du Grand Garnac (un maître s’il en est), et surtout, je n’ai rien dit sur ce que les autres, eux, ont vu, et qu’il reste à écrire, mais j’espère que la bonne ambiance et le foisonnement de happenings auront filtré à travers ce compte-rendu.

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Je m'y colle, il y a des doublons mais c'est ma vision des choses écrites à tiède (ce matin après avoir pu dormir normalement !)

Samedi matin 07H20 (déficit de sommeil depuis les 15 derniers jours : 20 heures)

Le téléphone sonne sur ma table de nuit, c'est Ulrich qui s'inquiète de ne pas avoir de réponse à ses appuis répétés sur ma sonnette....

- "Xavier ? C'est Ulrich, je suis devant ta porte et y a personne qui ouvre..."

- "Heu... ! Quoi ? 7H20 ! Et on devait partir à 7H00 ! J'arrive le temps de m'habiller."

Bon c'est sûr qu'en s'étant couché à 5H00 du mat, pas évident d'assurer le réveil deux heures plus tard !

7H35, nous sommes partis pour Poitiers. Petite halte pour récupérer Damien, un détour par Lorient pour charger Ludo et Jarnack et une dernière bifurcation par Vannes pour embarquer Michel. Nous voilà au complet, cette année, les organisateurs du CAMP ne pourront pas dire que les Bretons ne font pas d'effort !

Un trajet sans problème qui nous permet de prendre un repas rapide dans le petit restau juste en face du lieu sacré.

14H00 nous voilà sur place et l'immersion est immédiate, un bonheur !

14H30, c'est de manière très poétique, que Jean-Claude, le président du CAMP, ouvre le week-end. Jean Régil nous retrace, avec nombre de passages vidéos, l'histoire de la grande illusion. Mes amis, Jean a une collection de passages vidéos à faire baver pas mal de monde...

Une petite pause café/cloppes puis Manolo nous présente son dealer show avec pas mal d'idées sortant de l'ordinaire. Ce vendeur Toulousain ne manque pas de gentillesse et de disponibilité. D'ailleurs ces deux qualificatifs vont revenir bien souvent pour définir l'ambiance de ce W.E....

Il est temps de se restaurer, histoire d'être en forme. Un repas bien agréable en présence de la troupe de Bretons et autour de Jean-Claude. Vous ai-je parlé de la gentillesse de ce président de luxe ? En toute franchise NE PASSEZ PAS A COTE D'UNE OCCASION DE DISCUTER UN PEU AVEC LUI. Simplicité, gentillesse et portant l'art magique à un très haut niveau, branchez le sur les cordes et vous n'aurez pas à attendre longtemps pour comprendre qu'il peut se permettre de tutoyer les très grands du domaine. Je vous reparlerai de son passage durant la carte blanche un peu plus tard... Bref un dîner enchanteur.

Les organisateurs nous ont concocté une soirée autour d'un nom bien connu, mais dans des conditions inhabituelles, Boris Wild (un de nos prix FISM Français), nous présente son show de close-up public. QUE DU BONHEUR MES AMIS, ici tout est parfaitement rodé, pas de place à l'improvisation vaseuse, que du sur mesure. J'entends certains esprits chagrins râler (à distance), mais quand nous avons une telle occasion (il me semble bien que c'était une première) il faut savoir lire entre les lignes. Un tel spectacle n'est certes pas fait pour bluffer du "jongleur de cartes" (j'utilise un autre terme en privé...) mais quel enseignement de voir la quantité de subtilités qui font la différence sur du public profane. Une très grande leçon de professionnalisme, CHAPEAU L'ARTISTE !

Puis à l'issue de son Show, Boris, à la demande de Frantz je pense, nous parle de la vie d’artiste globe-trotter. Les galères et les joies des Etats-Unis par exemple, surtout il y a quelques années ou les relations avec la France étaient très “ cordiales ”….

Les arrivées dans les hôtels réservés par les clubs invitants mais dont on ne sait pas sous quel nom la réservation ! Wild ? Non ! Sauvage ? Non ! Boris ? Non ! Le nom du club ? Non ! Le nom du président du club ? Non !……

Les voyages en voiture qui durent des heures et des heures alors que l’on est pressé par le temps sans savoir que l’on franchit un fuseau horaire qui bien sûr vous retarde d’une heure supplémentaire et j’en passe.

Boris nous a aussi parlé de la convention FFFF, un rassemblement très fermé de magiciens prestigieux. Imaginez qu’il faut avant de pouvoir être invité, avoir été parrainé deux fois et que c’est après vous avoir jugé que l’organisateur vous propose ou non une invitation et tout ceci sans vous prévenir que vous êtes un candidat potentiel bien sûr ! Mais les anecdotes sur la manière dont se déroulent ces quatre journées annuelles étaient fabuleuses ; un grand moment.

A l’issue certains sont partis se coucher…. D’autres pas ! J’avoue ne pas avoir tout vu de ce moment “ off ” car j’ai pas mal discuté avec un client (et oui mes pièces sont sur le marché…) mais à voir les photos certains ne se sont pas ennuyés (pas vrai Damien ?). Bref je me suis couché à 04H00 ce qui est très tôt vu mes excentricités des derniers jours ! Ah si quand même je me souviens d’une routine (toujours sur le billard !) faite par Yves Carbonnier. Un délire d’aisance dans le maniement des cartes au service d’un effet dévastateur. Je ne suis pas prêt d’oublier. Yves si tu as moyen de m’envoyer la référence, ma mémoire me fait défaut….

Dimanche matin 09H20 (déficit de sommeil depuis les 16 derniers jours : 23 heures, la courbe infléchit !)

Je descends pour prendre mon petit déjeuner, il ne reste plus grand monde dans la salle mais Yves Carbonnier discute avec Roberto Giobbi et Boris Wild m’invite à prendre place à sa table.

La carte blanche fut comme d’habitude un grand moment du W.E. Il est une chose importante à garder en tête lorsque l’on voit une carte blanche, les personnes qui passent ont le courage de le faire. Alors attention aux critiques…. Par contre quel bonheur de voir un Vincent Hedan nous fracasser la tête avec ses cartes à la demande, Jean Valsen nous charmer avec une routine de corde hallucinante de poésie et de techniques bien cachées. Comment parler des prouesses d’acteur (et de manip bien sûr) de Thibault ? Attention ce jeune talent va faire mal ! Le seul regret est que le temps nous a manqué pour pouvoir apprécier Pierre Edernac qui n’a pas pu nous faire ce qu’il avait prévu…Vivement le 14 mai pour que nous puissions profiter de ce très grand monsieur de la magie Française en Bretagne et que la neige ne nous en prive pas cette fois ! Pardon aux autres participants de ne pas les citer.

Le déjeuner m’a permis (mais aussi à pas mal de Bretons) de rencontrer et mieux connaître notre ami Gérard Bakner. N’hésitez pas à rencontrer ce monsieur il connaît pas mal la boutique ! Et son art du second degré est incroyable ! Il nous a bien amusé lors de la carte blanche.

L’après midi nous a permis de finir la partie officielle de ce W.E. avec une intervention que l’on peut qualifier de référence. Comment définir autrement une conférence de Roberto Giobbi ? Cet homme est un monstre sacré de la théorie magique. Comment ne pas être subjugué par la pertinence de ses propos ?

Faire un résumé de cette maestria serait d’une très grande insolence, mais de grâce ne cherchez pas d’excuses lors de son prochain passage près de chez vous, FONCEZ !

Puis vint ce moment si déprimant, “ ça y est, c’est fini… ”. Alors on reste un peu pour le fun mais là c’est une autre histoire ! Juste pour vous donner une idée mon lit m’a ouvert ses draps vers 05H00 du mat, j’ai donc rajouté 5 heures supplémentaires à mon déficit de sommeil…

Vax

The subaquatic magician...

Et plus simplement, Xavier BELMONT, pour ceux qui savent prononcer les x comme des x et non pas comme des z...

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Je corrige un peu Vincent,

Je n'aurais effectivement pas vécu très longtemps il y a deux ou trois cents ans... Mais uniquement parce que je suis roux. Et oui c'est pour ça que mon avatar et en N&B, ça ne ce voit pas !

Attention Vincent est trop humble (c'est une qualité auquel je suis très sensible) pour dire qu'il m'a aussi laissé sur le cul (pardon pour la grossièreté) avec SES routines.

Vax

The subaquatic magician...

Et plus simplement, Xavier BELMONT, pour ceux qui savent prononcer les x comme des x et non pas comme des z...

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Pour ne pas trop faire de redite, je vais juste citer :

- le grand moment de poésie avec le numéro de Jean Valsen lors de la carte blanche,

- le talent du jeune Thibaut sur une jolie musique des Tetes Raides,

- la routine d'anneaux chinois de Boris

- le grand moment de culture partagé grâce à Jean Régil

- les photos de Ludo ;)

- les pièces de Vax (du très beau travail)

- la gentillesse de l'organisation

A l'année prochaine...

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