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C'est d'ailleurs pour ça qu'il faut "un chouïa" plus d'une semaine pour maîtriser un chapelet... Ceux qui pensent le contraire se trompent et ne sont en réalité pas encore prêts...

Entièrement d'accord avec toi Frantz. Je me suis enfin décidé et en trois jours (je vous rassure en n'y consacrant pas plus d'une heure par jour) je connais déjà la première partie du jeu. Quand je dis je connais c'est que je peux dire sans me tromper le nom de la carte correspondant à un nombre compris entre 1 et 26 et pareil si je vois les cartes allant du 4 de Trèfle au Roi de Carreau, je peux dire leur numéro.

Par contre, c'est loin d'être un automatisme (ce qui me parait tout à fait normal à ce stade) et il me faut encore plusieurs secondes de réflexions pour annoncer certaines cartes. Ce qui est bien c'est que par contre, c'est quand même enregistré car je ne fais pratiquement pas d'erreur.

Par contre, je reste persuadé qu'il me faudra sans doute entre 6 mois et un an avec un travail journalier (et vraisemblablement plutôt un an puisque Claude RIX le dit et il sait de quoi il parle) pour que cela devienne vraiment un automatisme.

Je dois reconnaitre que je dois un grand MERCI à Frantz car sans le vouloir il vient de me rassurer. La crainte que j'avais était effectivement d'oublier le chapelet si jamais je restais plusieurs semaines sans l'utiliser, mais son exemple avec les tables de multiplication a fini par me convaincre du contraire. Merci à toi Frantz :-)

Modifié par NIRAG

NIRAG

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Je dis simplement et je pense même pouvoir l'affirmer en effet, qu'un un système ou l'on te dit 47=47 est plus simple à utiliser et certainement plus rapide (même si cela se calcule en 100èmes de secondes) qu'un système ou l'on te dit 13+34=47.

C'est bien ce que je disais, tu ne connais pas le C PAP, je n'ai pas dit 13 + 34, j'ai dit 3 + 2 !!!

Je n'en dirais pas plus pour ne pas donner d'indications supplémentaires (MP éventuellement). Lisez l'article ou mieux les notes de conf où il y est expliqué que Claude RIX a trouvé certaines applications très intéressantes (et je me suis laissé dire que M. Rix connaaissait bien la chose...).

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

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Je ne voudrais pas paraitre sodomite de diptères, mais l'opération la plus facile soit-elle, reste une opération avec calcul alors que de l'autre côté, c'est un automatisme...

Mr Rix peut trouver cela intéressant sans que cela remette en cause le fait qu'on va plus loin et plus vite avec un deux roues... ;)

Bis' Spiouf! ;)

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De plus, faire des calculs de tête, aussi simples soient-ils, pour trouver une position ou une carte pendant un numéro...eh bien j'ai plus souvent vu des magicos marquer de gros temps d'arrêts que faire la chose naturellement sans que quelque chose attire l'attention du spectateur. S'entrainer et le faire avec le stress, c'est pas pareil.

Pas tout à fait d'accord avec toi. Perso, jusqu'à présent j'utilisais l'Osterlind essentiellement pour présenter un tour très simple c'est à dire faire prendre un petit paquet de 5 ou 6 cartes à un endroit où le spectateur a coupé lui-même le jeu, demander au spectateur de regrouper ses 6 cartes par couleur et par famille et ensuite lui annoncer les 6 cartes qu'il a dans les mains.

Bien sûr avec l'Osterlind il faut calculer chaque carte par rapport à la précédente, ce n'est pas instantanné et c'est vrai que ca prend même parfois plusieurs secondes, mais de la manière dont je le présente cela ne pose pas de problème, voir même ca rend peut être l'effet plus convaincant. C'est du moins ce que j'en déduit vu les réactions que me font les spectateurs suite à ce tour. Apparemment, bien que simple, il les marque beaucoup car certaines personnes à qui je l'ai présenté m'en reparlent même plusieurs semaines après....

Par contre c'est vrai que maintenant j'ai également envie de passer à autre chose et c'est la raison pour laquelle je me suis mis à travailler un chapelet "classique" en l'apprenant sur le bout des doigts.

Alors il peut être intéressant de savoir qu'une formule simple permet de se rattraper...mais on optimise son chapelet en l'apprenant (et c'est pour cela que je ne dis à aucun moment qu'un chapelet x ou y vaut mieux qu'un chapelet à formule.

C'est la raison pour laquelle au début j'envisageait d'apprendre par coeur l'Osterlind en donnant une position précise à chaque carte et en apprenant par coeur le "duo" carte/position. Cela me rassurait de savoir qu'en cas de "trou de mémoire" j'avais une possibilité de me "rattraper" en recalculant. Mais finalement j'ai opté pour l'apprentissage du chapelet de TAMARIZ en espérant que je l'aurai suffisamment travaillé et que je le maîtriserais suffisamment bien pour éviter les "trous".

Mais pour faire du théâtre amateur et avoir discuté avec des amis acteurs de théâtre chevronnés, je sais que même après avoir joué une pièce plusieurs centaines de fois, tu peux avoir un trou de mémoire. Et donc cela doit bien aussi se produire pour le chapelet ......

NIRAG

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Je n'ai jamais dit le contraire et je vais même dans ce sens puisque certains effets ne sont possible qu'avec un apprentissage par coeur.

Je dit juste qu'il existe un moyen de se simplifier la vie pour 2 raisons :

1) on peut se familiariser avec un chapelet et faire ses premiers effets après 20 minutes de travail maximum.

2) La structure fait que son apprentissage est grandement facilité et que en cas de blanc sur une carte (ce qui peut arriver aux meilleurs), il faut moins d'une seconde pour la retrouver à partir d'une autre.

C'est vrai que c'est la première fois que je suis séduit par ce genre de principe, je ne suis donc pas neutre dans mes propos.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

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Nirag, entièrement d'accord sur le fait que ton effet donne la possibilité d'utiliser un chapelet comme Osterlind. Je pensais plus à des effets comme ACAAN où il vaut mieux éviter les calculs, selon moi, sinon après, on s'embrouille avec ceux de position...bref, je vois que nous nous comprenons.

Spiouf, je vois que nous allons dans le même sens oui, prenons ma bicyclette... ;). Il est vrai qu'il est très "captivant" et "amusant" de pouvoir utiliser le chapelet après quelques minutes pour certains effets.

Pas besoin d'être neutre, le principal est qu'il te plaise... j'en ai découvert un il y a pas longtemps, dans le même genre que celui dont tu parles et c'est vrai que c'est toujours "amusant" lorsqu'on fait ses "premiers pas" dans le chapelet... ;)

En vélo Simone, c'est toi qui pédale, c'est moi qui klaxonne! ;)

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Nirag, entièrement d'accord sur le fait que ton effet donne la possibilité d'utiliser un chapelet comme Osterlind. Je pensais plus à des effets comme ACAAN où il vaut mieux éviter les calculs, selon moi, sinon après, on s'embrouille avec ceux de position...bref, je vois que nous nous comprenons.

Alors nous sommes donc bien d'accord et bien sur la même longueur d'ondes. Il est certain que je n'utiliserai pas l'Osterlind pour un effet comme ACAAN. Par contre, pour une démonstration de "mentalisme" telle que je la présente, cela ne pose pas de problème (au contraire) si il s'écoule quelques secondes entre l'annonce de chaque carte. Par contre il est sûr que pour présenter une démonstration de mémoire prodigieuse avec le jeu mélangé et entièrement mémorisé en moins d'une minute, il n'y a que le chapelet connu sur le bout des doigts. il ne me viendrait pas à l'idée d'utiliser l'Osterlind pour un tel effet !!!

NIRAG

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Spiouf, je vois que nous allons dans le même sens oui, prenons ma bicyclette... ;). Il est vrai qu'il est très "captivant" et "amusant" de pouvoir utiliser le chapelet après quelques minutes pour certains effets.

Je vais même plus loin, à chaque fois que j'apprends une technique, j'essaye de trouver une routine ou je peux l'appliquer très rapidement afin de me familiariser avec.

Par exemple pour l'empalmage j'ai commancé avec la carte dans la chaussure. La misdirection est tellement importante que je pouvais empalmer sans crainte.

Et ensuite on ose de plus en plus. J'essaye de faire ceci pour la plupart des techniques et méthodes que j'apprends.

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Si quelqu'un a lu l'article de la revue de la FFAP, je voudrais bien avoir son avis (même si l'article ne propose que l'outil et pas les différentes applications que l'on trouve dans les notes de conf).

J'ai lu l'article. Je maintiens ce que je pense : entrer dans l'univers du chapelet par une formule mathématique, aussi simple quelle soit, est à mon avis une erreur, pour trois raisons principales :

1. un chapelet ne prend toute sa saveur que lorsqu'il est réellement parfaitement su ; donc, à un moment ou à un autre, il faudra le savoir parfaitement ;

2. commencer l'apprentissage avec cette "béquille" fait que l'on mettra plus de temps pour vraiment l'apprendre (puisque l'on se servira de cette "béquille" le plus possible, on n'intègrera donc pas le savoir "brut" aussi rapidement...) ;

3. enfin, et sûrement le plus important : en utilisant une formule, aussi simple qu'elle soit, ou un quelconque procédé mnémotechnique, on a tendance trop tôt (beaucoup trop tôt...) à croire que l'on est prêt et à se lancer en vraie situation... Et là c'est la catastrophe... (J'ai assisté à de telles catastrophes, j'en aurais pleuré...). Alors que tant que l'on ne sait pas quelle est la 23e carte, bah on ne se lance pas...

Petit exemple pour les utilisateurs de formules ou de procédés mnémotechniques : prenez une carte "haute" (i.e. dont le rang est compris entre 27 et 52) et placez-la parmi les cartes "basses" (cartes dont le rang est compris entre 1 et 26). En combien de temps allez-vous la retrouver avec des calculs ?... Imaginez maintenant que vous le faites avec des cartes à numéros : placez une carte avec un numéro compris entre 27 et 52 parmi des cartes numérotées de 1 à 26, et cherchez-la... Je suis sûr que là vous pourrez la trouver en moins de trois secondes, même si vous être bourré, s'il y a de la musique, si 200 spectateurs vous regardent et si vous récitez en même temps une fable de La Fontaine... Eh bien quelqu'un qui maîtrise son chapelet est exactement dans cette seconde situation...

Je pense que vous comprenez la différence... ;)

pouvez vous me citer un tour interessant qui necessite* d apprendre un chapelet ?

Dub a déjà bien répondu... J'aime bien son analogie avec le FP... On n'est pas obligé d'utiliser un FP pour faire de la bonne magie... Mais certains sont capables de faire des miracles avec ça... ;)

Le chapelet, c'est pareil... On n'est pas obligé d'utiliser un chapelet pour faire de la bonne magie. Mais, bien maîtrisé, on peut faire des miracles... Certains ont même gagné un premier prix national en mentalisme avec cet outil... ;)

L'utilisation du chapelet devient une véritable "philosophie"... Les cartes n'ont plus à être choisies, elles peuvent être simplement pensées ("Wahou, j'ai dit n'importe quelle carte et il l'a retrouvée dans sa chaussure !...") ; les cartes n'ont plus à être contrôlées (puisqu'on les contrôle toutes en permanence !...) ; un jeu en chapelet, c'est une "batterie" d'effets toujours prêts, etc.

Il y a de véritables spécialistes du genre (je pense notamment à des gens comme Vincent Hedan ou comme Arnaud Chevrier "Twins"). Ce sont de véritables "chercheurs" qui exploitent cet outil de manière absolument fabuleuse...

Bien sûr, on peut faire une formidable carrière de magicien sans connaître de chapelet (je ne suis pas sût que Copperfield en connaisse un...). Mais, si on veut utiliser cet outil, il y a des façons de l'aborder qui sont meilleures que d'autres... Et il me semble que dire : "Apprenez votre chapelet de façon 'brutasse'" est le premier bon conseil à donner...

Mais, au final, chacun fait bien sûr comme il veut... ;)

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    • Au delà des effets, je suis toujours assez friand des considérations éthiques dans ce genre d’ouvrage. 🙂 Page 164 et 165, Vincent Hedan discerne quatre catégories principales de voyants / médiums… Très intéressant et à rapprocher des pages 54 et 55 du Numéro 1 de la Revue Les Cahiers du Mentalisme (automne 2023) où Erick Fearson, cette fois, distingue également quatre catégories de voyants. Les classifications de Vincent Hedan et de Erick Fearson ont des nuances assez sensiblement différentes (! 😂).  Il n’y a guère que pour la catégorie 1 (les escrocs purs et durs) que les deux auteurs semblent d’accord… Ce qui est plutôt rassurant ! Pour le reste, cela révèle plutôt les 50 nuances de mentalisme en fonction des auteurs, leur sensibilité personnelle vis à vis du paranormal, leurs croyances, leurs tabous…
    • Ce qu’ils en pensent. Véritable magicien unique en son genre, Jay Scott Berry est le virtuose de la magie. – Gerry Griffin « Une magie impeccable, absolument merveilleuse ! » – Channing Pollack « Le numéro le plus magique que j’aie jamais vu ! » – Dean Dill « Un numéro parfait ! » – Milt Larsen « Un véritable visionnaire. Un homme qui a dépassé les limites. Seule une poignée de magiciens sont des maîtres de cet art. Cet homme en fait partie. Faites tout ce que vous pouvez pour assister à l’une de ses conférences ou à l’un de ses spectacles. Quel que soit votre niveau en magie, je vous garantis que vous découvrirez l’art et la science de l’illusion. Merci, Jay, pour ce que vous avez fait et continuez de faire pour la magie. » – Anthony Brook « De toute ma carrière, je n’ai jamais rien vu d’aussi convaincant. C’était de la vraie magie, délivrée avec un timing précis et un talent consommé. » – Mark Wilson « Jay nous a apporté sa magie visuelle unique et impeccable, et nous a époustouflés ! Nous attendions un conférencier du calibre de Jay depuis un moment, et il valait vraiment la peine d’attendre ! Sa technique était impeccable, ses créations uniques et bien conçues, et ses idées créatives et très utiles. Jay était un artiste accompli, et à la fin de sa conférence, nous en avons tous redemandé. – Mark Hogan « Jay est parmi les plus grands magiciens de tous les temps, au même titre que Slydini. » – Ed Rosenthall « Votre conférence m’a époustouflé. J’ai assisté à de nombreuses conférences au fil des ans, données par certains des meilleurs magiciens du monde. Vous voir, cependant, a complètement changé ma perception de la magie, ce fut comme une révélation, une épiphanie. » – Michael McMillan « J’ai eu le privilège d’assister récemment à la conférence de Jay Scott Berry sur le Château Magique. Pour tous ceux qui ont l’occasion de participer à cet atelier pratique, c’est un incontournable. » – Keith Leff  
    • Exemple de sa dernière conférence 2002 Extrait Conférence de Jay Scott Berry Lyon, le 15 octobre 2002 par Jean-Yves Prost  Jay est toujours le même et sa magie originale utilisant volontiers le FP s’est agrémentée de quelques idées nouvelles qu’il a présentées dans cette nouvelle conférence également organisée par Arcane. Pendant la première partie, Jay présente des effets de pièces avec productions et changes, “Spell Bound”… Il poursuit avec des productions de rubans de différentes couleurs qui se transforment en un ruban unique bariolé grâce à l’utilisation de son FP Eclipse décrit dans un précédent numéro d’Arcane et possédant une ouverture sous l’ongle. Il enchaîne avec plusieurs techniques de manipulation du FP, empalmages, disparition à la manche, etc. Il présente ensuite son Topit avec un nouveau design et des nouvelles techniques de misdirection pour lancer l’objet dans le Topit et montrer les mains vides auparavant. Utilisation du FP au Tenkaï s’il contient un grand foulard ; productions de boules excelsior au FP. Une très belle idée : l’utilisation d’une pince attachée dans la manche pour fixer le FP qu’on peut libérer à tout moment et prêt à l’emploi ! Un autre chargeur universel excellent : une petite pochette fixée également dans le bas de la manche ouverture en dedans pouvant contenir une pièce. On peut ainsi montrer les mains vides et en relevant ces dernières, la pièce sort de la pochette dans la manche prête à l’emploi lorsqu’on rebaisse les bras.  Productions de balles mousse d’une armature de bourse, disparition de balle, transformation de balle en foulard. Ruban coupé et restauré. Apparition d’un anneau sur un ruban. Apparition d’une petite ampoule bleue (à la D’Lite) ; Production d’une lumière dans un verre en le tournant rapidement ; Changement de couleur de la lumière bleue en rouge ; D’Lite bleu et rouge dans le verre ; D’Lite multicolore. Une foison d’idées nouvelles et originales sur cette technique moderne et très populaire chez les magiciens. Le Sanada 2000 : Production de ruban en utilisant le gimmick du japonais Sanada qu’il a modifié pour l’exploiter un peu plus. Avec le même principe, transformation d’un billet de dix euros en deux de cinq euros. Explication de la production et de la disparition d’une balle mousse au gimmick Sanada. Production d’un oeuf et disparition au Topit.  The cloaking device : utilisant un “Sanada” avec une poche, le tout clipsé dans la veste, ce qui permet de montrer les mains vides et de se charger du gimmick pour des productions de rubans par exemple. Cette technique peut servir pour couper et restaurer un ruban ou changer un billet de banque. Le double Sanada : composé de deux gimmicks fixés ensemble ce qui permet de dissimuler deux charges différentes dans chaque compartiment. Les applications sont multiples : production et changement de couleur d’une balle mousse, transformation d’une balle en ruban en final d’une routine de balles mousse dans les mains d’un spectateur par exemple. Utilisation des deux poches pour la routine d’anneaux. Diamond star fountain : Il termine avec une fontaine de foulards au FP. Une conférence de magie générale pleine d’idées pour les amateurs de FP, rubans, foulards, pièces ou balles mousse.
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