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@Alex’ Merci pour cette vidéo très intéressante un point aussi que je ressens pour l’achat d’un tour au-delà de le vouloir car une création d’un ami Artiste, le faire, puis être à la mode du moment comme tous les magiciens, c’est surtout à mon avis pour 80% pour savoir la méthode, c’est pour cela que souvent le magicien et déçu après l’achat, simplement car MAINTENANT il connaît le secret… 

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Comment mieux acheter ?

C'est comme faire la critique d'un article; c'est très facile ! Après Darlone, donc, voici Alex qui nous propose à son tour une réflexion complexe et chronophage sur un "problème" pourtant très simple à résoudre.  Je me propose de procéder comme je l'ai fait pour le questionnement de notre camarade Darlone et de clore ainsi le sujet en deux coups de cuillères à pot :) .

Pour ce faire, je vous suggère deux approches, chacune en une dizaine de pages max (lol) : 

1. Approche écologique : Bon ben déjà t'achète d'occasion. Si. Ce sera moins cher et tu feras du bien à la planète. "Oui mais si y a pas ?" Ben t'achète pas. Tu attends qu'y a. "Oui mais si y a toujours pas au bout d'un mois ?" Ben t'as pu t'en passer durant un mois ?  Alors ça peut encore attendre un mois de plus. Et puis si tu attends, six mois, sans perte de poids, c'est que t'en as pas besoin, alors achète pas. "Oui mais..." Oh hé merde à la fin ! L'occasion c'est bien ! C'est tout ! C'est écolo et ça te permet de patienter afin de prendre conscience du besoin réel. Si vraiment t'en dors plus au bout de six mois et que tu trouves pas d'occases ben achète la neuve, ta merde. De toute façon elle finira dans un tiroir. Ben ouais mec(que), c'est comme ça. Tu te tirlipotes la nouille à chaque fois que SansMinds sort un truc - j'achète, j'achète pas oui mais le trailer et patati et patata - mais demande à Pradier, Stone, Bertrand ou Bebel quel est leur "produit SansMinds" préféré. LOL :D ! Surtout Bebel, la miskine des marchands de truc, on l'appelle; le mec te fait toute une soirée dans la rue avec un jeu de cartes et trois gobelets et c'est même pas des Sherwood (remarque, c'est pas des Duvivier non plus... xD). 

Conclusion n°1 : d'occasion sinon rien.

2. Approche bouddhiste (ou presque; tendons vers les réalités d'en haut comme l'a si sagement rappelé Saint-Paul Apôtre dans sa lettre aux Colossiens). Notre précédent point de vue nous amenait à conclure "d'occasion sinon rien". Cette seconde approche s'affranchit de l'écologie et tape direct dans le rien. Ben ouais. T'en a pas besoin. Point. Combien de pognon as-tu dépensé jusqu'ici dans tout un tas de trucs pourris ? Fais le compte et donne-toi des queclas. C'est autant d'argent que t'aurais pu dépenser en clopes, tiens. Ben ouais. Mais pour s'en rendre compte, il faut se poser et ne pas céder à un consumérisme forcené. Et si d'aventures tu pensais qu'un pic-vert n'est pas une référence en la matière, qu'il te semble préférable d'écouter tes bas instincts et de te précipiter chez ton marchand de trucs toutes affaires cessantes (ce qui serait relativement insultant mais compréhensible, les simples choisissant généralement la facilité), je te laisse relire le manifeste de Derek DelGaudio et Helder Guimarães (oui, tu peux le lire en plusieurs fois)

Citation

 

MANIFESTO

En coulisse

Trouvez des mentors. Dès maintenant, trouvez un magicien que vous admirez et commencez à lui poser des questions. Rien ne remplacera jamais l’expérience d’être assis en face de quelqu’un que vous respectez dans votre domaine. Sérieusement...allez-y.

Ne soyez pas paresseux. Malgré ce que la plupart des magiciens proclament sur leurs produits, la magie est incroyablement difficile à bien faire. Entrainez-vous, étudiez, répétez et produisez-vous en toutes occasions. Ce sera payant.

Embrassez le processus. Le processus d’apprentissage de la magie est aussi enrichissant et important que le résultat final. Explorez, expérimentez et répétez sans rien attendre. Vous découvrirez que cela ouvre des portes dont vous ignoriez l’existence même.

Oubliez le "nouveau". "Nouveau" ou "original" ne sont pas des qualités qui définissent un grand magicien. Focalisez-vous sur la technique, l’exécution, la théorie, la construction, l’histoire, le script, et une communication efficace. Le "nouveau et original" viendra comme un sous-produit de vos efforts pour devenir un grand magicien.

Cessez d’acheter des trucs. Vous possédez bien assez de tours. Allez répéter et produisez-vous à chaque occasion. Un point c’est tout.

Sélectionnez un "groupe de conseillers". Trouvez des gens très talentueux et passez autant de temps que possible en leur compagnie. Laissez leur créativité, leurs connaissances, leur vision et leurs points de vue contribuer à votre formation. Laissez-les devenir une "caisse de résonance" pour toutes vos idées. Si vous les choisissez judicieusement, vos amis seront de loin votre plus grande ressource.

Riez. Riez. Riez aussi souvent que possible, à la fois sur scène et en coulisse. Si vous n’aimez pas ce que vous faites et si cela ne vous amuse pas, en général, ce n’est pas pour vous.

Veillez tard. La nuit engendre la créativité. Les séances de nuit somnolentes peuvent conduire à des pensées irrationnelles, qui, à leur tour, peuvent amener à de grandes idées et révélations.

Regardez en arrière. Nous nous tenons debout sur les épaules de géants. Trop de magiciens oublient les magiciens qui sont venus avant nous ainsi que leurs contributions à la magie. Si vous présentez un tour, vous devriez savoir qui diable l’a inventé.

Ralentissez et profitez du voyage. La bonne magie vient avec le temps. Aucun effort ne peut remplacer l’expérience qui vient avec le temps. Se précipiter pour publier un tour, pour gagner une compétition ou pour avoir votre propre one-man show n’a rien à voir avec le fait de devenir un grand magicien.

Merci de laisser vos chaussures et votre ego à l’entrée. Laissez votre ego de côté et concentrez-vous sur le travail. Si votre objectif est de vous perfectionner, de créer et de présenter de la magie, vous vous rendrez compte que tout ce que vous faites n’est pas forcément génial, chaque spectacle n’est pas forcément brillant, les choix que vous faites ne sont pas forcément les bons, et c’est normal. Le moment où tout ce que vous faites est parfait, c’est quand vous êtes devenu vraiment nul.

Lisez un p**ain de livre ! Outre les magiciens plus âgés et plus avisés que vous, les livres constituent la source de renseignements la plus précieuse. Et inutile de donner la fausse excuse : "J’ai une mémoire visuelle". Les dvds et les didacticiels en ligne ne sont pas un substitut à l’apprentissage de la magie par le livre. Tout ne doit pas nécessairement être appris dans les livres. Cependant, le processus d’apprentissage par l’écrit ne peut être remplacé. Si vous aimez la magie, vous allez prendre un livre et le lire. En fait, il n’a même pas besoin d’être un livre de magie. Voyez la suite.

Apprenez la magie dans un livre de cuisine. Entrainez-vous à voir la magie partout. Abordez d’autres centres d’intérêt pour développer votre ouverture d’esprit et vous mettre au défi. Apprenez au sujet de la musique, de l’art, des sports, des mathématiques, de la poésie, de l’histoire, de la philosophie, de la technologie, du cinéma, du théâtre ou de tout autre domaine que vous trouvez intéressant. En savoir plus sur d’autres sujets que la magie ne peut que vous aider à devenir un magicien plus intéressant.

Explorez toutes les pièces. Comme Eugène Burger le dit : « Il y a beaucoup de pièces dans la maison de la magie". Explorez toutes les pièces pour voir ce que vous pourriez y trouver. Parfois vous découvrirez des trésors cachés là où vous vous y attendrez le moins...y compris dans la chambre des illusions.

Apprenez à jouer. Etre un magicien ne fait pas de vous un artiste. Le travail scènique est une partie essentielle du métier de magicien. Cependant, la plupart du temps, les magiciens se concentrent sur les aspects propres à la magie et négligent de se former, de développer et de répéter les techniques des arts de la scène. Investissez sérieusement du temps dans le développement de vos capacités d’interprétation, d’expression orale et corporelle. Plus vous serez fin, confiant et naturel en tant qu’artiste, plus vous serez crédible en tant que magicien.

Sur scène

Produisez-vous en public. La magie, à l’instar du théâtre, de la comédie, de l’opéra, du rock & roll et de l’art, ne peut être pleinement vécue qu’en direct et en personne. Si vous ne présentez pas de magie à d’autres êtres humains en chair et en os, ni vous ni votre public ne peut véritablement vivre la magie.

Soyez intrépide. Mettez-vous en situation de faire des erreurs. Les accidents et les fautes étant inévitables, acceptez-les, apprenez et grandissez tout en les commettant. Sortez et essayez toutes sortes de choses. Si vous vous sentez à l’aise, c’est que vous stagnez. Plus vous prendrez de risques dans votre travail, plus importante sera la récompense dans votre art.

Soyez présent. La capacité d’être présent sur scène et en coulisse est sans doute la plus importante qualité qu’un magicien peut posséder. Etre présent en tant qu’étudiant vous permet d’apprendre à un rythme accéléré. En tant qu’artiste, être présent sur scène peut conduire à des moments transcendants.

Soyez vous-même. Cela peut ressembler à un cliché, mais c’est vrai. La magie ne vous rend pas cool, branché, drôle, charmant ou intéressant. La magie est intéressante en soi et les gens aiment la voir quand elle est bien faite. Toutefois, cela peut être un piège pour de nombreux magiciens. Laissez votre expérience et votre personnalité réelle vous déterminer en tant que magicien.

Faites des choix conscients. Comprenez que tout ce que vous faites envoie un message à votre auditoire. Les effets que vous présentez, vos vêtements, vos gestes, vos paroles, votre attitude, vos accessoires, votre hygiène, vos éclairages, les circonstances, l’heure et le lieu du spectacle, tout ces facteurs communiquent quelque chose vous concernant à votre public . Essayez de faire en sorte que ce que vous faites, que ce soit bon ou mauvais, procède d’un choix conscient.

Un bon spectacle vous enseigne moins qu’un mauvais. Réussir un bon spectacle peut être merveilleux, mais en rater un aussi. Si vous vivez une mauvaise expérience de scène, il suffit de l’évaluer, de reconnaître ses erreurs et d’en tirer les enseignements. Juan Tamariz dit que ses spectacles favoris sont ceux où trois choses tournent mal. Il est heureux alors, parce que cela signifie qu’il a appris trois nouvelles choses, et quand vous apprenez trois nouvelles choses, "c’est une très bonne journée !"

Trouvez votre voix. Si vous considérez que la magie est une forme d’art, évaluons le problème logique suivant : l’art est une forme d’expression de soi. Si vous n’avez rien à dire, pourquoi les gens vous écouteraient ? Si vous avez quelque chose à dire, mais que vous ne le dites pas, vous ne pouvez pas vous considérer comme un artiste.

Placez-vous en situation inconfortable. Dans chaque spectacle que vous présentez, essayez d’inclure au moins un passage qui vous rend mal à l’aise et nerveux. Cela garantira que vous serez réellement présent pendant au moins un instant dans votre spectacle.

Soignez le syndrome des "oreilles qui rient". De nombreux magiciens et comédiens ont une maladie que Mac King appelle "les oreilles qui rient". Ce terme est utilisé quand un artiste fait une prestation qui rencontre peu ou pas de rires, sort de scène et dit : "Vous avez entendu ? j’ai fait un tabac ! ". La conséquence de cette maladie est la "mort" qu’il rencontre sur scène à de nombreuses reprises, sans qu’il puisse le reconnaitre... Le seul remède contre "les oreilles qui rient" est d’admettre quand vous êtes nul et de grandir à partir de vos expériences.

Bonne nouvelle ! Juan Tamariz, Mac King, Michael Weber, David Williamson, Chris Kenner, Max Maven, Ricky Jay, Mike Caveney, Derren Brown, René Lavand, Dai Vernon, Al Goshman, Del Ray, Tom Mullica, Eric Mead, Johnny Thompson, Lennart Green, Robert-Houdin et Hofzinser étaient tous des magiciens médiocres à un moment donné. Il est parfois agréable de s’en souvenir. La magie exige du temps, du dévouement, de la pratique et d’innombrables heures passées à faire des erreurs et de la magie médiocre pour devenir un grand. Il suffit de demander aux gars ci-dessus. (Du moins à ceux qui sont toujours en vie).

CREDITS :

Helder Guimarães et Derek DelGaudio

© 2011 journalofsecrets.com. All Rights Reserved.

Traduction française par Lawrens Godon

 

Et si malgré cela, tu n'étais toujours pas convaincu : 

Et moi ? Ben j'aimerais bien acheter plein de trucs mais depuis que j'ai sacrifié les picaillons mis de côté pour acheter un beau set de gobelets au profit d'un stage de char à voile en baie de somme, l'année dernière, j'ai revu mes priorités :) .

My2Cents

W.

P.S : Une pitoyable tentative d'écriture inclusive s'est glissée dans ce texte, sauras-tu être aussi perspicace que mon beau-frère et la retrouver ?

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    • Un instrument assez Inclassable :  https://www.instagram.com/reel/DRRrGZDkkC6/?igsh=YzVtYWYxcW9hMnhr
    • Quand deux grands magiciens s'associent pour faire un chocolat, ça ne peut être que bon : (Wolfgang MÖSER & David ROTH) Vous trouverez ces tablettes chez ALDI et...oui, je le trouve vraiment bon. A déguster avec modération devant un dvd de l'un de ses "créateurs".
    • Autre détail : si tu confies le briquet à un spectateur et garde donc les aimants entre pouce et index, tu vas sans doute me demander comment je les remet sur le briquet pour la table suivante (en se plaçant dans la situation ou, comme moi, tu vas de table en table). Il faut que je précise que jusqu'à présent j'utilise un porte-monnaie avec des petits morceaux de papier flash dedans et un mouchoir en papier. Ce porte-monnaie est initialement dans ma poche extérieure gauche de veste avec le boulon dedans et les morceaux de papier flash (rectangulaires, à peine plus longs que le boulon et une position debout/couchée alternée, à angles droits les uns par rapport aux autres si vous préférez). Le mouchoir en papier est dans ma pochette (c'est le nom de la petite poche extérieure, de face, sur une veste). Le briquet équipé de ses aimants est dans la poche à briquet (c'est la poche intérieure gauche, en bas d'une veste qui s'appelle ainsi). 1ère table : je sors le porte-monnaie que je pose sur la table ou dans la main d'un spectateur e lui disant "résistez à l'envie de voir tout de suite ce qu'il y a dedans, je vais vous le montrer dans 30s" puis le briquet. Je fais cela pour éviter tout contact malencontreux entre le porte-monnaie et le briquet. Je demande au spectateur d'ouvrir le porte monnaie vers moi pour garder le mystère jusqu'au bout, je prend le boulon et un morceau de papier flash avec ma main gauche (j'arrive à en prendre un seul grâce au positionnement alterné des morceaux rectangulaires "allongés/debout"). Le boulon doit être dissimulé derrière le morceau de papier et le bout des doigts gauches et j'allume tout de suite le briquet (le bruit de la molette ou du piezo et la flamme attirent l'attention vers le briquet). J'enflamme et fait apparaître le boulon. Je présente la routine du boulon dont l'écrou se dévisse seul avec l'idée de Gaëtan BLOOM d'utiliser le briquet. Là : soit je remet le boulon dans le porte-monnaie et je range tout comme au départ pour la table suivante, soit un spectateur veut essayer d'allumer le briquet près du boulon. Je lui donne. Je récupère les aimants entre pouce et index comme je l'ai décrit dans mon message précédent et je prend le mouchoir en papier que j'ai dans ma pochette entre pouce et index droits (qui ont déjà les aimants) car le meilleur moyen d'avoir une position des doigts naturelle, justifiée est de tenir un objet. Lorsque le spectateur a terminé son essaie, le boulon a noirci un peu donc je lui tend le mouchoir pour qu'il me l'essuie et lui demande de me redonner le briquet. Là, vous l'aurez compris, je conserve les aimants comme avec le briquet lorsqu'il prend le mouchoir en papier et je reprend le briquet en replaçant les aimants dessus et hop, direct dans la poche à briquet. J'attends qu'il m'essuie bien le noir sur boulon (je plaisante un peu là dessus) et lui demande de mettre l'écrou à mi-chemin dessus (je l'embête un peu en lui disant "encore 2 tours et demi" ou je ne dis rien et en récupérant les spectateurs je dis "encore un tour ?"; Après leur "oui" je fais de manière exagérée un tour de plus à l'écrou sur la vis puis je leur dis "nan, vraiment, je vous montre encore un mystère rigolo...et là je sors les rondelles avec le trou que l'on fait voyager ou le clou qui se tord ou le stylo qui se tord, etc...ça dépend de mon envie du moment). Evidemment je range le boulon dans le porte-monnaie et c'est reparti...pour un tour ! Je précise aussi que lorsque je dis "pour la table suivante", en fait je parle non pas de la table que je vais aborder après mais de celle encore après car en table à table, j'ai deux enchaînements de 3 routines chacun et j'alterne une table sur deux. Un des enchaînement occupe mes poches gauches (intérieures et extérieures) et l'autre mes poches droites. Ainsi les spectateurs d'une table ne voient pas ou plus difficilement ce qui les attend. Deux tables voisines n'auront pas le même "numéro" et comme je dis souvent, le premier plaisir d'un spectateur par rapport à la magie, c'est de voir le numéro mais le second (et quelque part encore plus important) est de le raconter à des personnes qui ne l'ont pas vu le lendemain dans la famille, au boulot ou autre. Et là, entre tables, il n'est pas rare qu'ils échangent en disant "ils vous a fait le coup du...?" ou "t'as vu le tour avec ....?". Bien entendu, il n'est pas rare qu'une table me demande à voir un effet dont un voisin de la table d'à côté lui a parlé ou qu'il a entrevu de loin. Dans ce cas, selon le cas, je refais le tour en question ou un autre du même tonneau. Attention : sur certaines vestes, la poche à briquet et au même niveau que la poche extérieure gauche. Dans ce cas, l'aimant peut être trop près du boulon et l'activer malencontreusement. Dans mes vestes, la poche le fond de la poche à briquet est toujours plus bas que celui de ma poche extérieure gauche de veste et le porte-monnaie n'est pas gros mais assez rigide et épais (ce qui limite encore le risque et évite que le spectateur à qui je le confie sente le boulon ou en tout cas une chose dure au travers du cuir). Chaque détail compte pour moi. C'est au fil du temps que je trouve chacun de ces détails pour les routines que je présente mais ça, ce n'est pas un mystère, c'est évident. On s'écarte un peu des billets de Finn Jon alors pour "rattacher le wagon", je dirais que je n'ai jamais testé sa version des billets. Je trouve qu'elle n'est pas adaptée pour le table en table mais que c'est la plus nette pour la scène ou le salon (car les transformations sont à vue et douces, sans accoups et sans pliage des billets).
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