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Publié le

Je viens de regarder la vidéo et c'est vrai que la façon de tenir le jack est très suspecte, je suis pas convaincu. Du coup je me doute du truc mais comme certains d'entre vous l'ont dit, il doit y avoir moyen de laisser le jack à vue. Il doit donc y avoir des améliorations à apporter afin de rendre le tour plus impactant même s'il reste intéressant dans l'état. 

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Publié le

@Sandrotod sincèrement tu peux y aller les yeux fermer !

je l'ai depuis sa sortie et j'ai jamais eu de soucis avec,

Pour ce qui est de la tenue de la prise jack qui paraît bizarre il m'a fallu réfléchir 10 secondes pour trouver comment le tenir sans que cela soit suspect et je me régale avec ce gimmick!!!

Publié le
Il y a 5 heures, alexinho a dit :

Bonjour à tous est ce que quelqu'un a déjà utilisé l'application decibel sous iOS iphone et comment fonctionne t-elle ? 

Je pourrai pas t'aider pour cette application car je suis sur samsung et donc Android,

Il me semble que de mémoire elle est pas simple à utiliser je crois...

  • 7 months plus tard...
Publié le
Le 02/01/2017 à 19:15, JMB a dit :

Est-ce que vous pensez que depuis la sortie des écouteurs sans fils d'Apple cet effet a encore un sens ?

Les casques sans fil existent depuis au moins une bonne dizaine d'années. L'effet, tel que je le vois, n'est pas d'arriver à faire transiter un signal audio sans fil, mais justement de "produire" le signal audio par simple connexion avec la prise minijack.
A mon avis, cet effet perdra tout son sens le jour où plus personne n'aura de casque en mini-jack et qu'il faudra arriver avec son propre casque filaire (et encore, vu le prix d'une paire d'écouteurs on pourrait limite les laisser en souvenir ^^).

La seule évolution pertinente que je verrais à ce gimmick, pour une potentielle version 2.0 serait une paire de bracelets qui permettrait de transmettre le son directement des mains à la boîte crânienne (par conduction osseuse, concept déjà à l'essai chez plusieurs startups).

Le ridicule ne tue pas.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

Donc, le ridicule nous rend plus fort...

Publié le

Sinon, je me permets de déterrer ce sujet car après avoir appris mon premier chapelet (Mnémonica), une idée de présentation m'est apparue...

Je me suis créé un jeu de 52 cartes avec des faces représentant non pas des valeurs de cartes mais des image (jaquette de disques/DVD, affiche de cinéma, etc).
Secrètement, chaque carte est associée à un numéro (de 1 à 52, donc) dont je peux prendre connaissance sans avoir à regarder la face, via un marquage de mon cru (et très capilo-tracté ^^) sur le dos des cartes.

Pour ceux que ça intéresse, je posterais des photos ce soir...

Sans compère, il me suffit d'effectuer n'importe quel forçage de carte et d'enchaîner.

En binôme, je laisse mon téléphone à mon assistant, avec une playlist de 52 pistes numérotées de 01 à 52, donc.
Je peux donc laisser le jeu à un spectateur et lui demander de choisir librement une carte et de la poser face cachée sur sa main ou la table. La seule contrainte que je pose à mon spectateur est de choisir une carte associée à une chanson dont il arrive au moins à fredonner l'air.
[Je trouve la contrainte des 52 chansons largement justifiée par le fait que je ne peux pas connaître (et à fortiori reconnaître) toutes les chansons du monde]

Je peux communiquer le numéro de la piste à envoyer à mon "régisseur" par une boutade du genre "C'est bien, vous n'avez pas traîné. 46 secondes pour choisir une carte" ou encore "Hier, un spectateur m'a avoué avoir hésité entre 23 cartes différentes...". Bref, à ce stade, je pense que vous avez compris le principe.
Si mon compère connaît Mnémonica, je peux même lui glisser l'info par un "OK, la carte que vous avez choisie est la dame de carreau. Non, je plaisante..."

Pour la phase suivante, je fais tenir la prise jack au spectateur exactement de la même façon dont je la tiendrais moi-même dans la phase suivante. Je lui demande de fredonner mentalement la musique qu'il a choisie, ce qui me laisse un peu de temps soit de me souvenir de la musique associée à son numéro de carte, soit de l'écouter moi-même dans le casque (par exemple en lui montrant la façon correcte de tenir la prise).
[Les cartes n'ont pas été numérotées au hasard. J'ai tenté au maximum de me trouver des repères mnémoniques me permettant de mémoriser un maximum d'associations numéro/musique].

Il ne me reste plus qu'a feinter d'entendre la musique dans le casque et de commencer à fredonner (à haute voix) sa musique, pour enfin révéler au public que la musique correspond bien à la carte choisie.

L'effet proposé à ce stade est donc d'avoir utilisé le casque comme un espèce d'amplificateur afin de pouvoir entendre les vibrations émises par la simple pensée d'une mélodie fredonnée mentalement.

Et puisque cela parait impossible, il devient alors tout à fait logique d'en apporter la démonstration au spectateur en inversant les rôles.


 

 

  • J'aime 1

Le ridicule ne tue pas.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

Donc, le ridicule nous rend plus fort...

Publié le
il y a 35 minutes, hokutobboy a dit :

Sinon, je me permets de déterrer ce sujet car après avoir appris mon premier chapelet (Mnémonica), une idée de présentation m'est apparue...

Je me suis créé un jeu de 52 cartes avec des faces représentant non pas des valeurs de cartes mais des image (jaquette de disques/DVD, affiche de cinéma, etc).
Secrètement, chaque carte est associée à un numéro (de 1 à 52, donc) dont je peux prendre connaissance sans avoir à regarder la face, via un marquage de mon cru (et très capilo-tracté ^^) sur le dos des cartes.

Pour ceux que ça intéresse, je posterais des photos ce soir...

Sans compère, il me suffit d'effectuer n'importe quel forçage de carte et d'enchaîner.

En binôme, je laisse mon téléphone à mon assistant, avec une playlist de 52 pistes numérotées de 01 à 52, donc.
Je peux donc laisser le jeu à un spectateur et lui demander de choisir librement une carte et de la poser face cachée sur sa main ou la table. La seule contrainte que je pose à mon spectateur est de choisir une carte associée à une chanson dont il arrive au moins à fredonner l'air.
[Je trouve la contrainte des 52 chansons largement justifiée par le fait que je ne peux pas connaître (et à fortiori reconnaître) toutes les chansons du monde]

Je peux communiquer le numéro de la piste à envoyer à mon "régisseur" par une boutade du genre "C'est bien, vous n'avez pas traîné. 46 secondes pour choisir une carte" ou encore "Hier, un spectateur m'a avoué avoir hésité entre 23 cartes différentes...". Bref, à ce stade, je pense que vous avez compris le principe.
Si mon compère connaît Mnémonica, je peux même lui glisser l'info par un "OK, la carte que vous avez choisie est la dame de carreau. Non, je plaisante..."

Pour la phase suivante, je fais tenir la prise jack au spectateur exactement de la même façon dont je la tiendrais moi-même dans la phase suivante. Je lui demande de fredonner mentalement la musique qu'il a choisie, ce qui me laisse un peu de temps soit de me souvenir de la musique associée à son numéro de carte, soit de l'écouter moi-même dans le casque (par exemple en lui montrant la façon correcte de tenir la prise).
[Les cartes n'ont pas été numérotées au hasard. J'ai tenté au maximum de me trouver des repères mnémoniques me permettant de mémoriser un maximum d'associations numéro/musique].

Il ne me reste plus qu'a feinter d'entendre la musique dans le casque et de commencer à fredonner (à haute voix) sa musique, pour enfin révéler au public que la musique correspond bien à la carte choisie.

L'effet proposé à ce stade est donc d'avoir utilisé le casque comme un espèce d'amplificateur afin de pouvoir entendre les vibrations émises par la simple pensée d'une mélodie fredonnée mentalement.

Et puisque cela parait impossible, il devient alors tout à fait logique d'en apporter la démonstration au spectateur en inversant les rôles.


 

 

Je veux voir les photos ! L'idée est énorme !!

🙂

Publié le (modifié)

20170819_110136.thumb.jpg.28b9150fd7af23ede917eaa51a61c757.jpg

Le jeu dans son étui (obligé puisque les faces autocollantes ajoutent une épaisseur aux cartes).

20170819_110324.thumb.jpg.6d0f66d1be44030e1ad0e2f8957e5226.jpg

Quelques faces au hasard...

20170819_110719.thumb.jpg.46e954664b652cd2195a74ae860072d7.jpg

Mon marquage maison. Il n'en'est pas très discret mais n'est pas compréhensible sans mes explications et est facilement lisible quand la carte est à plat. Ici la dame de carreaux, si vous voulez vous torturer les méninges ^^

Modifié par hokutobboy
  • Merci 2

Le ridicule ne tue pas.

Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.

Donc, le ridicule nous rend plus fort...

  • Thomas changed the title to Decibel de Adam WILBER
Publié le

Hoooooo... Ce tour me vexe tellement. :/

J'avais eu pas longtemps avant sa sortie une idée pour faire entendre à un spectateur une musique (pas choisie à la différence de decibel) dans des écouteurs débranché.

Du coup maintenant que ce tour est sortie, le mien n'a plus aucune valeur. Mais j'en étais si fier. :cry:

Le Diable me suit de jour et de nuit car il a peur d'être seul.

  • 1 année plus tard...

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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