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Bonjour à Tous

Depuis des mois je trouve de nombreux articles de journaux, complétement inconnus, par le biais de recherches sur le net.

Chaque jour, les journaux nationaux, les journaux provinciaux et les journaux locaux regorgent d'articles concernant tel ou tel nouveau virtuose de notre art.

Celui qui aujourd'hui est virtuose dans son village sera peut être demain l'immense Artiste illusionniste qui foulera les différentes scènes de notre sphère terrestre dans quelques mois ou années.

Avec les moyens dont nous disposons, scanneurs et appareils de prises de vues il devient relativement facile de partager ce type de documents.

Si cela démarre bien avec la presse francophone nous pourrions dans un délai plus ou moins réduit étendre nos recherches à la presse étrangère.

Les articles de la presse magique seront bien entendu exclus de ce post !!!

Une règle importante consistera à donner la référence de l'article:

Nom du journal, date, éventuellement numéro et autres informations.

Qu'en pensez vous ?

Modifié par MORAX

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

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Voici un artcile du 8 septembre 2001 dans "le télégramme" sur un virtuose de notre art : MORAX !

J'ai laissé de côté les autres articles au sujet de Morax dans les revues "Le monde de la Finance", "Chateaux et Chatelains" ou "Gai pied" !

Un talent aux multiples facettes !! :)

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Modifié par JPC
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OUEST FRANCE 15 décembre 2014

Un Vmiste sympathique

Gildas Borghetto, le magicien qui décoiffe - Ouest-France

www.ouest-france.fr/gildas-borghetto-le-magicien-qui-decoiffe-

Coiffeur dans la vie de tous les jours, il s'adonne, depuis l'âge de 18 ans, à sa passion pour la magie. Invité par Gérald Le Guilloux, magicien, il sera à Hermione, le 22 décembre, pour Scènes magiques.

Portrait

« Gildas Borghetto, bonjour... » 14 h 45, vendredi après-midi. L'activité du salon de coiffure, rue de la Corderie, est dense à quelques jours des fêtes de fin d'année. Tenue vestimentaire et coupe de cheveux impeccables, le coiffeur, entre deux prises de rendez-vous et deux clients, évoque cette passion qui l'anime depuis tout petit : la magie...

Elle lui est venue grâce à la boîte de Garcimore (illusionniste et humoriste décédé en 2000), puis a grandi avec des émissions télévisées comme Attention magie avec Gilles Arthur, ou Y'a un truc, l'émission culte de Gérard Majax.

Spécialiste du « close-up »

Mais celui qui lui donne l'envie de s'impliquer à fond, c'est Gérald Le Guilloux. « Lors d'un spectacle qu'il donnait dans le coin. J'avais 18 ans. C'est lui qui m'a enseigné les bases et la manière de présenter et d'amener mes tours. » Des tours qu'il apprend dans les bouquins, les vidéos « car à l'époque il n'y avait pas internet ».

Sa spécialité ? Le close-up ou « magie de proximité », qui se déroule sous vos yeux, dans les mains du magicien, mais également des spectateurs. Depuis, en quête perpétuelle de numéros, il innove, se fait la main lors de mariages, fêtes de famille, auprès des clients de son salon de coiffure... Sillonne les congrès et séminaires de magie, en France, mais aussi en Italie, en Belgique, en Hollande, en Angleterre.

En 2009, Gildas Borghetto a terminé troisième du championnat de France de magie. Une consécration qui, pour autant, ne lui fait pas franchir le pas vers le professionnalisme. « Pour que cela reste passionnant, il faut que cela soit occasionnel. Même si la magie prend une place importante dans ma vie de tous les jours, confie-il avec un petit sourire. Je mange magie, je bouge magie, je pars en vacances magie. Heureusement, Caroline, mon épouse, est compréhensive et me soutient... »

Petite démonstration de close-up. Gildas Borghetto quitte l'arrière de son comptoir pour rejoindre le milieu de son salon, montre une pièce, la jette. Au lieu de tomber directement à terre, celle-ci suspend son vol lorsque le magicien élève les mains au-dessus d'elle. « J'aime le côté mystérieux, l'illusion, ce qui se pratique avec les objets quotidiens. J'aime la magie impromptue », poursuit le coiffeur tout en continuant à jouer avec la pièce en apesanteur.

D'autres tours suivent. Des pièces disparaissent pour réapparaître en grand format. Gildas Borghetto peut même deviner la couleur que vous avez choisie sur une des faces d'un petit dé ou le mot mémorisé dans un livre...

Au bout de vingt-cinq années de pratique, le coiffeur magicien maîtrise le close-up. C'est donc tout naturellement qu'il se tourne vers le mentalisme (1). Son maître à penser ? « Frédéric Da Silva », répond Gildas Borghetto qui prépare un numéro pour un concours au mois de janvier. D'ici là, il offrira une petite mise en bouche sur la scène de l'auditorium de l'Hermione, où il dévoilera quelques tours...

(1) Le mentaliste, maître dans l'art de manipuler la pensée et le comportement, peut utiliser diverses méthodes telles que l'illusion, la psychologie.

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(Christian Fechner )

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OUEST FRANCE 26 MARS 2010

Son arrivée vaut le détour. Caleçon blanc et serviette sur l'épaule, il reçoit dans son appartement de Trouville. La mine faussement gênée, poignée de mains cordiale, Otto Wessely est en retard mais déjà en scène. À 64 ans, le magicien comique ne passe pas une journée sans travailler.

En juillet, ce trublion du spectacle accompagnera le transformiste Arturo Brachetti dans une longue tournée en Italie. Wessely est une référence de la magie depuis quarante ans. Sur les sites internet de partage de vidéos, il est l'auteur du «Repas de la mort», un impressionnant numéro de lames de rasoir créé en 1963. Il les avale une à une, à la vitesse d'un cheval au galop. Ou plutôt c'est ce qu'on croit voir. Car « sa dextérité n'a d'égale que son humour et son dynamisme », selon Bruno Coquatrix, l'historique propriétaire de l'Olympia.

D'où vient cet appétit pour l'illusion? « À 17 ans, je n'avais pas de passion, explique-t-il dans un français parfait teinté d'accent autrichien, son pays d'origine. Je me suis arrêté devant un magasin de farces et attrapes, à Vienne. cela m'a donné des idées ». Quand il a commencé la scène, c'était plutôt par nécessité. « La semaine, j'étudiais la chimie à l'université. Le week-end, je faisais des spectacles. »

Son premier contrat en tant que magicien sera de dix jours, dans une foire, en Autriche. Payé trois fois le salaire d'un employé d'État. Il y rencontre sa future épouse, Christa. Le jeune Otto prend ses distances avec sa famille, un père ouvrier, une mère qui sera emportée par la maladie.

La suite ressemble à un conte de fées. En 1971, il trouve du travail dans un café-théâtre parisien et rode ses premiers numéros. Joue la carte de l'humour quand les autres magiciens roulent des mécaniques. S'habille en smoking rouge quand la coutume exige du noir. Manie l'«Otto dérision», un mélange d'espièglerie et de provoc.

Comme lors de cette élection de Miss France 1997, à Deauville. Pour son numéro de lévitation, plutôt qu'une partenaire taille mannequin, il choisit Anne Zamberlan, « une comédienne sexy de 130 kg ». Avec le recul, il se demande encore pourquoi le public n'a pas ri autant que lui ce soir-là.

"Des numéros qui font rire"

Pour cet ancien chimiste, créer un numéro de magie ne s'éloigne pas tant que cela d'une expérience de laboratoire. Cela ne fonctionne pas du premier coup. Il teste toujours ses gags devant un auditoire plutôt que derrière un miroir. « Je ne suis pas une marionnette ! Il me faut le contact et la chaleur de la foule. »

Otto Wessely n'aime pas dévoiler ses secrets. Il a tenté de le faire dans un livre, qui est encore dans un tiroir. On y découvre un personnage à plusieurs visages. Côté pile, c'est l'ancien étudiant devenu « l'homme aux mille mains », selon la formule de Jean Cocteau, dans un poème consacré à la profession.

Côté face, c'est l'antihéros. Passé par les substances illicites et l'illusion de l'argent. « J'ai gagné beaucoup d'argent mais j'ai aussi fait faillite. Mes shows au café-théâtre ont permis de rendre mes producteurs insolvables et dépressifs, mais aussi, heureux et sereins. » Un miroir aux alouettes qui a failli le faire sombrer. Mais qu'il a pu briser à temps, avec l'aide de très rares amis de la magie. « Gilbert Rozon (Juste pour rire), Hugues Protat, Gilles Arthur. Ils m'ont fait travailler quand plus personne ne voulait de moi à cause des stups. »

De l'Olympia au Crazy Horse, en passant par le Lido et Las Vegas, ce globe-trotter a vécu toutes les transformations du métier. L'arrivée de la magie dans les émissions de télé. Internet, qui permet aux jeunes artistes de se faire connaître. « À mes débuts, ce sont les cafés-théâtres qui embauchaient les artistes. Ensuite, c'était fifty-fifty : l'artiste payait une partie. Aujourd'hui, il faut soi-même louer la salle ou être embauché par un producteur. »

Otto Wessely est très attaché à Deauville. « En 2000 j'ai voulu voir une éclipse solaire qui avait lieu en Normandie. Je suis donc parti à Deauville. Cet endroit était comme un fantasme hors de ma portée, quelque chose d'inaccessible. J'ai pu le réaliser deux ans plus tard, en m'installant à Trouville, avec l'argent d'un contrat à Las Vegas. »

Côté famille, il a un fils de 23 ans, Thomas, qui veut devenir cinéaste. Il a acquis la nationalité française et le droit de vote. Mais ne s'est pas assagi. « Oui je suis de gauche. Mais ce que j'aime le plus chez Sarkozy, c'est Carla Bruni. Et mon dernier gag... C'était de voter socialiste aux régionales ! » Incorrigible.

Yann-Olivier BRICOMBERT.

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(Christian Fechner )

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Lundi 2 Février 2015 L'INDEPENDANT (PERPIGNAN)

Culture et Loisirs Kenris, magicien perpignanais et vice-champion d'Europe

Le 12 avril à 06h00 par J.M.C. | Mis à jour le 12 avril

Kenris et son épouse présentent un numéro alliant danse et magie : c'est celui-ci qui l'a propulsé au niveau international. Kenris et son épouse présentent un numéro alliant danse et magie : c'est celui-ci qui l'a propulsé au niveau international.

Quel enfant n'a pas un jour rêvé de faire disparaître son lapin d'un coup de baguette magique ? Ou de sortir une colombe du chapeau ? Kenris n'y a pas échappé, mais pour lui, la magie est devenue son métier et sa passion.

C'est à l'âge de dix-huit ans qu'il commence sérieusement, grâce à la rencontre décisive avec Hiatus, photographe et magicien perpignanais. "Il est devenu mon maître. J'étais déjà fasciné par cet univers, mais jusque-là je n'avais pas fait la rencontre décisive provoquant le déclic".

Jusqu'à la trentaine, la magie reste une passion, un hobby, en parallèle à la vie professionnelle.

Un jour, en voyant à la télévision le magicien suisse Peter Marvey, Kenris franchit une nouvelle étape de son étonnant parcours.

"Quand j'ai vu ça, je me suis dit qu'il fallait que je fasse la même chose, que j'arrive sur la scène internationale à la place qu'il occupait". Kenris pratiquait alors ce qu'on appelle la magie rapprochée ou le close-up, c'est-à-dire une suite de numéros faits de table en table en étant très proche du public.

Les rencontres se multiplient et les concours s'enchaînent. Il gagne une bonne dizaine de prix et remporte la plupart des compétitions françaises. "Je n'avais jamais encore tenté la magie sur scène, car il y a de nombreux paramètres à maîtriser, c'est beaucoup plus complexe. Je fais de la manipulation de cartes et de foulards. J'ai rencontré le champion du monde Pilou, je me suis entraîné avec lui et son coach. Là, j'ai vraiment progressé. Pendant toute cette période, je travaillais différents numéros tout en restant assez classique".

La magie du tango

Au fil des années, Kenris s'est construit son propre univers et a plus ou moins trouvé son style. Mais il fallait encore une autre rencontre pour qu'il mette en place le numéro qui allait le propulser au niveau international.

"J'ai demandé à un metteur en scène de m'aider et il m'a convaincu que je devais encore améliorer les choses. J'ai réfléchi, j'ai regardé ce qui se faisait dans le monde et c'est en entendant une musique de tango que l'idée de réunir la danse et la magie s'est imposée."

Des cours de danse, puis des mois de travail intensif avec sa femme devenue partenaire pour arriver à une véritable fusion entre magie et danse dans un numéro de sept minutes qui le consacra vice-champion d'Europe en février 2011.

"Nous proposons quelque chose de très fort, où chaque geste a son importance. Nous avons créé de nouvelles techniques et fabriqué nos accessoires. Aujourd'hui, il faut absolument innover, ne négliger aucun détail".

Devenu professionnel, membre de l'équipe de France de magie, Kenris se produit en Europe et dans le monde. Il revient de Dubaï et de Turquie et est invité à Las Vegas en 2012.

Pour le moment, la priorité, l'objectif principal, reste le championnat du monde à Blackpool en 2012, même s'il travaille sur le projet d'un spectacle dans l'esprit du Théâtre du Soleil.

"Ce que je propose est technique et visuel. Ce n'est pas le matériel qui fait la magie, c'est notre corps, nous-mêmes. Pas besoin de tonnes de matériel. Il faut toujours aller au plus simple".

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(Christian Fechner )

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La voix du nord 25 novembre 2014

Valenciennes : le magicien Daniel Miraskill nous a quittés

Publié le 25/11/2014

La Voix du Nord

Il a émerveillé des dizaines de milliers d’enfants et d’adultes de part le monde. Le magicien Daniel Miraskill est décédé brutalement à son domicile, ce lundi à Valenciennes.

Daniel Dupont, alias Miraskill, est décédé, lundi, chez lui à l’âge de 57 ans. PHOTO DIDIER CRASNAULT VDN

Daniel Dupont plus connu sous son nom d’artiste magicien-mentaliste Daniel Miraskill, est décédé brutalement à Valenciennes ce lundi à l’âge de 57 ans. Cet artiste qui a émerveillé les petits et les grands proposait des numéros variés de cartes, cordes, balles, bague, lévitation, illusion de couperet, cabine aux échanges…

Il a côtoyé David Copperfield

Il a côtoyé les plus grands magiciens du monde comme David Copperfield et Criss Angel. Né à Valenciennes, initié dès l’âge de 12 ans par son père, prestidigitateur amateur, il a commencé une carrière de dessinateur industriel après son bac technique mais un licenciement l’a mené vers la scène. Il a d’abord monté un spectacle pour les enfants des écoles maternelles, programme qui a reçu l’agrément de l’Éducation Nationale.

Devenu artiste confirmé il a notamment réussi le célèbre tour de la Malle des Indes popularisé par Houdini mais en utilisant une malle transparente. Il a aussi obtenu le prix de la Grande Illusion décerné par ses pères en magie de l’association française des artistes prestidigitateurs dont il a été le vice-président.

«Il a vécu chaque instant de sa vie comme si c’était le dernier ».

Au cours de sa carrière, il a parcouru le monde, des États-Unis au Sénégal en passant par les pays méditerranéens, a inventé des tours vendus uniquement aux professionnels de la magie et s’est même produit devant des cours royales, des ambassades mais aussi dans la région lors de mariage, de communions.

« Mon père était un épicurien » indique son fils Charles-Harold qui travaille dans la banque et aimait l’accompagner le week-end pour se charger de l’éclairage, la musique et les décors. « I l a vécu chaque instant de sa vie comme si c’était le dernier ».

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(Christian Fechner )

Publié le

LIBERATION 2 AOUT 2003 à 0H30

Mort du magicien Pierre Jacques

2 août 2003 à 00:30

L'illusionniste franco-suisse Pierre Jacques, l'un des grands spécialistes du «pickpocketisme», auteur du livre Rien dans les mains, tout dans les poches... des autres (1981), est décédé dimanche à l'hôpital Bichat, à Paris. Monsieur Loyal du cirque Jean Richard dans les années 1970, membre de l'équipe de Gérard Majax au Magic Hall à Paris, président de l'association Les amis de la magie et précurseur de la sculpture sur ballon, Pierre Jacques se targuait, en outre, d'avoir donné des cours sur sa spécialité à Scotland Yard.

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

Publié le

Je suis surpris du peu d'enthousiasme pour le sujet .

Chaque magicien de province et d'ailleurs a eu le droit à un petit article dans le journal du coin ou du pays.

Ce genre de document est introuvable aussi si vous voulez mettre votre pierre à l'édifice mettez vos trouvailles sur Virtual.

D'avance merci !!!!

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(Christian Fechner )

Publié le (modifié)

Didier, si cela t'intéresse, dans le sommaire en bas, tu peux accéder aux archives des Actualités.

J'ai cessé d'en publier en mars 2012 (il faut donc remonter en cliquant plusieurs fois sur le lien du mois de gauche).

Tu y trouveras un sacré paquet d'articles publiés sur des magiciens durant ces années.

Modifié par mathieu

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Publié le (modifié)

Salut Thomas

On ne peut pas remonter à plus d'un an .......

Modifié par MORAX

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(Christian Fechner )

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    • Je suis allé 14 fois au congrès AFAP puis FFAP (FFM à présent). La première fois, souvenir mémorable pour moi, étant le congrès d'Angers en 2007. Je peux vous dire que je l'ai attendu le jour où allait commencer ce congrès. J'avais hâte d'y être et ce fut vraiment fabuleux. Un coût pas excessif...aujourd'hui ça l'est presque devenu car même si il est vrai que le prix de départ (avant augmentation) n'a pas augmenté tant que ça en 17 ans (j'avais dû payer dans les 160€ en 2007 contre 195€ pour le congrès de cette année il me semble, soit une augmentation d'environ 20% en 17 ans), les plateaux, à quelques exceptions près comme à Besançon (mais je sais quelle a été la particularité financière de cette année), sont plus au rabais et surtout annoncés trop tardivement ce qui fait que pour bénéficier d'un prix qui n'est pas trop excessif, il faut miser sur l'inconnu. Conséquence : très peu de nouveaux "clients" et des personnes qui y allait chaque année comme moi qui n'y vont plus qu'une fois sur deux et encore, quand ce n'est pas trop loin. Car le coût, c'est aussi l'hôtel et le transport (l'autoroute en particulier) qui ont bien augmentés. Autant on pouvait trouver facilement une chambre pour 50-60€ dans un 1ère classe, un Ibis ou un B&B (pas AirB&B mais B&B, la chaîne d'hôtels) jusqu'à 2019 (avant covid) et on se mettait à 2-3 magiciens (pour le transport aussi), autant aujourd'hui, on trouve rarement quelque chose de correct en dessous de 80-90€ pour ces hôtels alors on se rabat sur un AirB&B dans les 60-70€ avec un peu de chance (et si on s'y prend assez tôt) mais à titre personnel, mes amis magiciens sont plus loins à présent (nous ne sommes plus étudiants, on a nos vies) ou plus âgés. Alors je sais que le plus gros coût pour un congrès n'est pas le plateau mais le palais des congrès dont le coût a considérablement augmenté et réserve souvent bien des surprises sur ce qui est compris dans le prix ou non (encore une fois, j'ai aussi vu les choses de l'intérieur en 2021). Aujourd'hui, la sélection de la ville d'accueil du congrès se fait d'ailleurs essentiellement sur la base du coût du palais des congrès. Bref, je comprends qu'il faille faire des économies pour compenser le coût du palais des congrès et le choix a été de les faire sur le plateau plutôt que d'augmenter de manière trop importante le prix d'entrée (qui a a été un peu augmenté quand même mais de manière raisonnable). Et puis il y a eu ce système d'augmentation progressive du prix allant de paire avec la révélation progressive mais très tardive des artistes du plateaux qui selon moi a été un très mauvais choix. Certains ne veulent pas l'admettre et persistent à croire que c'est bien alors que c'est ce qui a principalement fait chuter le nombre de congressistes depuis des années. A la limité, que le tarif augmente progressivement (plus on s'inscrit tôt moins c'est cher) d'accord mais quand on s'inscrit au moins la moitié du plateau doit déjà être révélé. C'est ça le point noir sur lequel j'essaie depuis bien longtemps de faire bouger les lignes, que ce soit ici, au sein des clubs que je fréquente, sur ce forum ou par rapport à mes amis magiciens extérieurs aux clubs. Par rapport aux économies sur les plateaux, ils ont été faits au niveau des galas d'ouverture et de clôture qui sont à présent constitués d'un seul artiste qui fait tout son spectacle et de primés aux championnats de France qui présentent de nouveau leur numéro pour ceux qui ne l'auraient pas vu. C'est une bonne idée. Avoir un spectacle complet à un moment dans le congrès est parfois une meilleure leçon qu'une conférence et faire repasser les numéros primés à la fin permet à ceux qui auraient raté une partie des championnats de France de voir au moins certains numéros primés. Trop de conférences ? Je ne pense pas. Il y a du choix. A Troyes nous avions opté pour 9 conférences, la plupart doublées voire triplées (et ça n'a pas été évident de caser tout dans le programme mais c'est faisable). On ne peut pas tout voir, c'est sûr, mais entre 4-5 conférences qu'on peut toutes voir et 9 conférences qu'on ne peut pas toutes voir mais où on a le choix de voir un artiste plutôt qu'un autre selon nos préférences, je trouve cela mieux. Et puis cela réparti les spectateurs beaucoup mieux. Nous avions des salles avec 30-50 spectateurs parfois et on s'était dit que les conférenciers n'apprécieraient peut-être pas mais au final, après avoir posé la question à la plupart d'entre eux, ils étaient content car ils avaient fait plus de vente. Pourquoi ? Les spectateurs voyaient mieux. Car il est difficile de faire installer des petites scènes et/ou des écrans partout (c'est un coût énorme et avec les caméras, tous n'acceptent pas d'être filmés et ça peut se comprendre). Le nombre de conférences n'est pas un problème. Cependant : 1) Il faut aussi s'assurer de laisser au moins 30min de battement entre deux conférences car certains l'ignorent peut-être encore mais même 50 personnes, ça ne rentre pas dans une salle instantanément, il faut déjà laisser sortir le public précédent et il faut penser à laisser un peu de temps au conférencier pour faire ses ventes. 2) Un minimum de conférences en parallèle des championnats de France. Pour m'être chargé en grande partie du programme du congrès (plus de 20 versions avant d'en arriver à la version qui convenait au plus grand nombre), c'est un défi. Un beau défi mais un défi. Cela étant dit, d'une année sur l'autre cela devrait être de moins en moins complexe. Je suis heureux de voir que certains de mes choix ont été repris. Le talk show inutile ? Ce fût très difficile de le caser dans le programme également mais je pense qu'il a sa place aussi. La mise en valeur d'un artiste, de sa carrière est un évènement qui diffère d'une conférence, d'un gala et d'une foire aux trucs (pardon...le village marchand; parait que ça fait venir plus de monde selon certains. Personnellement je ne vois rien de péjoratif dans "foire aux trucs" et peu importe son nom, j'irai y faire un tour pour acheter quelques beaux trucs). La technique ? Les équipes actuelles font le job pour un tarif raisonnable pour celui ou celle qui s'y connais un peu. Nous avions juste été un peu déçu par celui qui gérait la partie vidéotransmission qui a laissé son équipe bosser à sa place avec pas mal de contraintes tout en profitant bien du congrès et en se permettant de critiquer (je vais encore me faire un ami...) mais il parait que c'est le moins cher (le chiffre était quand même bien rondelet; j'espère au moins que son équipe en a reçu une bonne partie). L'hôtelerie ? Là on est sur un  coût qui a bien augmenté. Et comparé aux congrès italiens où une somme globale est proposée aux artistes (cachet+frais d'hébergement-transport-repas), tout est géré à part (en tout cas c'était encore le cas en 2021) et cela coûte beaucoup plus cher (je dirais même que cela coûte le double). Alors faut-il faire comme les italiens ? De ce côté je ne pense pas car il s'agit du confort des artistes. Par contre, on pourrait proposer un cachet augmenté pour ceux qui préfèreraient se débrouiller (réserver leur propre chambre, se débrouiller pour les repas, etc...). Luc Apers préfère parfois faire ainsi par exemple. Juste proposer, pas imposer. Le gala public : je pense que c'est une bonne idée à condition d'assurer côté communication dans la ville. On devrait en avoir un à chaque congrès. Demander aux artistes de faire un deuxième gala est un coût, pour la salle aussi et il faut avoir deux salles sinon c'est presque impossible car au cours d'un congrès il faut caser les répétitions de tous (candidats aux championnats de France, artistes des galas), on y pense pas mais ce sont des heures de disponibilité de l'amphithéâtre du palais des congrès à trouver pendant les conférences, la foire aux trucs et bien sûr en dehors des galas et championnats. Réserver un jour de plus le palais des congrès est impensable financièrement. Donc il faut forcément louer une grande salle (un théâtre) en plus et qu'il ne soit pas trop loin à pied du palais des congrès. Mais même si il y a cette location en plus et les cachets plus importants pour les artistes qui vont présenter deux fois leur numéro, le gala public n'est à mon sens pas un gros risque financier et en général, même un peu bénéficiaire. Et puis faire profiter du congrès national au public profane est une excellente chose pour la magie et pour la FFM. Côté ambiance par contre, on peut prendre exemple sur les italiens (par pour le retard aux conférences matinales) : aménagement des hall avec des petits canapés, mange-debouts, chaises ou fauteuils de jardin couverts de houses pas trop cher, soirées à thèmes type "spaghettis parties" que l'on pourrait reprendre ou détourner en "Apéro magique" (petits gâteaux salés puis sucrés et bar proposant des bières et des softs) sans faire un vrai repas avec un traiteur (coût trop important). Tous les congressistes n'iraient pas et seules les boissons seraient à régler. L'organisation prendrait en charge les petits gâteaux salés / sucrés, ce qui n'est pas un très gros coût mais offrirai une dimension plus festive sur nos congrès FFM. Après se pose aussi le problème de la fermeture plus tardive du palais des congrès. Ce ne serait pas possible partout (pas à Troyes par exemple) donc il faut trouver un lieu comme un grand bar partenaire qui pourrait proposer des choses à grignoter dans un cadre un peu privatisé en échange d'une centaine de clients pour les boissons ou des réductions sur sa restauration / ses boissons. Ce qui compte c'est d'avoir un ou deux afters biens identifiés côté lieu, horaires, indiqués dans le programme et avec un thème : tout le monde en pyjama, tout le monde avec une casquette ou un chapeau jaune, peu importe, un truc qui permet de s'identifier entre nous et qui permet aux profanes de voir qu'il y a quelque chose qui se passe, de permettre une interaction entre les congressistes et les habitants. Tous les congressistes ne joueront pas forcément le jeu, forcément mais beaucoup le feront et ça suffira pour créer l'évènement. Je me souviens par exemple avoir fait une bataille de polochons avec Rudy Coby, un concours de dégustation de piments avec des italiens qui ont dû souffrir le lendemain aux toilettes, une soirée fluo avec Daryl qui dansait en chemise à fleurs. Ce sont des "bêtises" vous me direz, mais ça fait des souvenirs. Et puis le lendemain vous vous posez dans un canapé et Paul Harris s'assoit en fasse de vous pour manger ses chips et vous entamez une discussion sur les étoiles et les planètes (pourquoi on s'est mis à parler de ça, je ne sais plus, sans doute parce qu'à un moment il m'avait demandé ce que je faisais et que je lui avait dit que j'étais prof de Physique). Je pense au témoignage d'Otto qui a improvisé des apéros sur le parking du congrès FISM italien avec Voronin (preuve qu'il y a une demande pour ce genre de petits choses facilitant les échanges, sans tomber non plus dans les soirées trop arrosées). Peu importe les thèmes et le mobilier choisi dans le hall du congrès, toutes les petites choses qui facilitent les échanges pour un moindre coût sont à tenter. C'est ce qui manque un peu aux congrès FFM. Donc pour résumer les idées : 1) Annoncer au moins la moitié du plateau avant la première augmentation du prix. 2) Annoncer tout le plateau au moins 6 mois avant. 3) Proposer aux artistes une alternative pour l'hébergement et les repas : soit une chambre dans tel hôtel avec les autres artistes et des tickets repas, soit une augmentation de tel montant du cachet et il se débrouille. 4) Faciliter les échanges entre les congressistes et le public profanes en indiquant clairement sur le programme un lieu et un horaire à partir duquel se tiendra une soirée à thème ou deux. Installer un peu de mobilier dans le hall du congrès pour faciliter les échanges (il en manque un peu souvent). 5) Organiser un gala public. Des démarches en plus, un coût supplémentaire mais ça en vaut la peine et cela s'équilibre facilement si la communication est bonne (assez tôt !!! Et dans la programmation officielle de la salle réservée, celle que les habitués de cette salle ont l'habitude de consulter !) 6) D'une manière générale : reprendre ce qui a marché lors de congrès précédents. Ne pas insister avec ce qui ne fonctionne pas (mais encore faut-il en prendre conscience). Petite remarque : comme le congrès va de nouveau se faire à Troyes cette année et sans doute l'année prochaine, cela devrait faciliter grandement l'organisation donc ce sera l'occasion de passer de temps pour faire des démarches pour tester de nouvelles choses. Et à ceux qui se posent la question : non, je ne suis pas dans l'équipe d'organisation du congrès de cette année (repos) mais j'y suis inscrit en congressiste avec ma compagne et je vous y retrouverai avec plaisir. Après, je n'ai rien contre l'idée de participer de nouveau à l'organisation d'un congrès. C'était difficile, épuisant mais je suis content de l'avoir fait et si c'était à refaire, je le referai. Pour revenir au sujet initial (les masterclass), pourquoi pas un masterclass "Organisation d'un congrès" pour les clubs des villes candidates. Mais j'ai l'impression que les congrès ne s'organisent plus vraiment en coopération avec le club local depuis cette année (ou alors c'est exceptionnel). Quant aux masterclass au sein des congrès, je vois mal comment on peut en avoir ne serait-ce qu'un seul dans de bonnes conditions (pas plus de 6 personnes, sur une demie-journée voire une journée sans rater une grosse partie du congrès) donc je pense qu'il n'ont pas leur place ou alors il faut le faire sur une journée avant ou après le congrès.      
    • Oui.. mais par le réalisateur et animateur. On peut dire qu'il est aussi le co réalisateur puisque ce sont aussi ses idées et intentions qui font le résultat que l'on connait. Idem pour le Pinocchio que Guillermo DEL TORO a co-réalisé aussi en stop-motion de https://fr.wikipedia.org/wiki/Pinocchio_(film_d'animation,_2022) ... dont le producteur s'appelle Gary KURTZ 😉 https://fr.wikipedia.org/wiki/Gary_Kurtz_(producteur)
    • A quel minute et seconde ? 🙂 Par contre, j'ai le sentiment que l'on reconnait aussi @Georges PROUST et Philippe SOCRATE.
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