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Merci pour vos réponses éclairées. Il est vrai que je me consacre plus à la technicité des tours que je présente plutôt qu'à leur côté poétique ou scénique (la présentation quoi !!)

Je vais réflechir a vos réponses.

Merci à tous , magicelement p@luche....

PS : Vive le Périgord !!!

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Ouais Baienvrac... mais si on me demande de jouer, ça va pas être de la tarte, j'vais passer pour un con ... Et ceux qui on payé pour entendre jouer Clayderman, y vont sans doute me mettre vite dehors et laisser jouer le maître .

Ludo.

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J'ai jamais eu un client qui me paye pour me detruire ... Tu travail pour de drôle de personnages ... Bon, j'arrête là, sinon on va y passer la nuit, c'est comme discuter politique, ça abouti a rien, chacun garde son point de vue au final. Amis(es) magiciens(ennes) soyez bon dans ce que vous faîtes, le public vous le rendra . Bon courage .

Ludo.

Publié le

Je pense personnellement que c'est surtout au niveau des grandes illusions que le bât blesse... qui en effet, même s'il sait que certains magicien utilisent une LD ou un elmsley sera capable de resituer ces manipulations dans une routine de 3 minutes... et de toutes façons, il y a toujours des portes de sorties (comme l'explique, entre autres, très bien Giobbi dans son Somptueux "Card college"). La meilleure anecdote à ce sujet a été racontée il y a 2 ou 3 ans chez Mephisto par le fabuleux Gaetan Bloom au sujet des "ouah, je sais...c'est fait avec un fp"... Gaetan expliquait qu'il lui arrivait d'avoir sur lui un fp bien pourri (genre les fluos des boites de magie) et de dire au casse noisette en lui donnant le fameux fp pourri "ah ça??? Tu penses vraiment que j'utilise ça???" ou quelque chose dans ce genre... ce qui fait généralement taire le casse-peanuts... Il faut bien avouer que, comme je le disais au début de ce post... il est beaucoup plus facile de s'en sortir face aux débineurs de tous poils en faisant du close up que dans les grandes illusions où le magicien masqué,même si les illusions ont bien évolué, a malheureusement fait du dégat en dévoilant certains principes...quoi qu'il en soit, le meilleur conseil est de retourner au "Magic Way" de l'irremplaçable Tamariz et d'étudier le principes des "fausses solutions"...

Publié le

Ce sera tout aussi désagréable s'il te dit "à un moment tu as mis quelque chose dans ta manche", ou "tu en as pris 2", ou "tu l'as gardé dans l'aute main", etc ... etc ... même si tu n'as pas fait ce qu'il te supecte d'avoir fait. La seule différence, c'est que dans un cas l'explication est la bonne, dans l'autre cas, non. Dans les deux cas tu auras à te justifier ?

Conclusion ?

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Citation:

Débat lancé par P@luche:

"Magic Way", "fausses solutions"

Où trouver des infos sur le sujet ?

Où trouver des infos sur la façon de gérer les ...pardon, les perturbateurs ?

Le "magic way" de Juan Tamariz a été édité en français par Georges Proust sous le titre "le chemin magique", c'est là qu'est abordé le problème des "fausses solutions" (c'est à dire la démarche, le "chemin magique" à suivre dans la construction d'une routine pour anihiler petit à petit les débuts de solution des spectacteurs (imaginer ce qu'il pourrait penser pour le devancer...), c'est à mon avis un livre extrèmement important, comme tout ce que publie Tamariz (à mon avis) dont l'indispensable"les 5 points magiques". Bien sur, tu trouveras très peu de routines dans ces 2 livres mais des conseils sur la gestion de la psychologie du spectateur dans la construction de n'importe quelle routine: à mon avis aussi indispensable que le petit (en taille) "leading with your head" de Gary Kurtz chroniqué il y a qques jours dans ces pages... bien sur, si tu cherches "seulement" à gérer les casse noisettes, tu ne trouveras pas ton bonheur dans ces bouquins: à mon souvenir, ce dernier sujet est abordés dans les "cours de cartomagie moderne de Giobbi" (card college) édité en français par Hornecker ou dans le "book of magic" de Jean Merlin édité par Méphisto... voilà voilà...

Publié le

Je suis assez d'accord avec Serge Pradel:

Qui va vouloir aller sur un site de magie sans s'y interesser? Et même si il venait à connaitre un "truc" est-ce qu'il serait de le retenir plus de 3 jours?

J'aime bien proposer des casse tête en plus de mes tours et souvent j'entend cette phrase: "ah oui je connais ce truc là mais je ne sais plus comment ça marche"

Ce n'est pas pour autant que je vais dévoiler quoi que ce soit mais je ne m'inquiete pas non plus pour l'avenir de la magie, pour moi tant qu'il y aura des magiciens il y aura de la magie, et internet n'y changera rien.

L.K.

Celui qui marche éternellement sur les traces de son maitre ne peut espérer le dépasser.

Publié le

Au sujet des fausses explications par exemple et si j'ai un peu compris ce que vous m'expliquez, le tour du canif de Romaric est un bon exemple de tour avec des explications qui déroute totalement le spectateur et qui au final le laisse libre de penser ce qu'il veut....

J'ai un peu bon ou pas ?

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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